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Such a strange world ⁂ w. LEEVY

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w/ Leevy and César

J’étais rentré à Cambridge en éprouvant un certain soulagement. Bien sûr, les belles plages de Punta Cana me manquerait, mais dans l’ensemble, je n’étais pas mécontent de retrouver ma nouvelle petite routine à laquelle je m’adaptais tant bien que mal depuis janvier. Même si avec Meadow, nous nous étions réconciliés, ça restait tout de même tendu, pour moi du moins. Même si on ne s’évitait plus comme la peste, heureusement, mon père voulait encore me fiancer à une fille qu’il estimerait être de mon rang. J’étais pas sûr que Meadow colle à ses critères et quand bien même, par miracle, ce serait le cas, car elle est mon choix, je suis sûr que mon père irait à contre sens malgré tout. Enfin bref, j'avais été content de retrouver mon appartement, ma tranquillité bien qu'elle n'allait pas tarder à être troublée par l'emménagement de mon meilleur ami, mais ça, c'était différent. J'avais repris tranquillement les cours, tout bronzé et encore un peu douloureusement en raison de coups de soleil en guise de souvenirs. J'allais souffrir si on me frappait les épaules ou le torse, mais bon. Alors que j'arpentais le grand hall, je vis une silhouette familière, celle de Leevy. Je me dirigea vers elle sans réfléchir. J'avais le sentiment qu'elle me fuyait carrément. La preuve, je l'avais quasiment pas vue de tout le sb. Je me planta devant elle, souriant, quelques bouquins bloqués sous mon bras. Hey lançais-je gentiment.

(c) darkdreams/marine
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Au contraire, Leevy était tout sauf heureuse de rentrer à Cambridge. Elle aurait aimée profiter du SB pendant des jours et des jours. Après tout, là-bas elle se sentait libre, elle n'avait pas penser une seule fois aux plusieurs problèmes qu'elle avait à Cambridge. Mais après être descendue de l'avion elle était revenue vite à la réalité. De toute façon ça devait arriver, comme on le dit souvent les bonnes choses ont une fin. Depuis son retour, elle passait la plupart de son temps dans les livres, elle avait pris pas mal de retard n'ayant pas eu la tête à aller en cours ces temps-ci mais il fallait bien se rattraper un jour, après tout la blondie avait toujours été une élève studieuse et elle voulait que ça dur. Et c'est en milieu d'après-midi qu'elle eut la chance de finir ses cours sa bonne confiance lui ordonna d'aller encore réviser et sa mauvaise la persuader d'aller faire un tour en ville pour prendre un peu de bon temps. Elle décida d'écouter la mauvaise vu que depuis son retour elle n'avait pas pu prendre l'air une seconde. Elle marchait alors dans le grand hall de l'université étant obligé de passer par là pour quitter Harvard mais elle entendit alors une voix qui s'adressa à elle, une voix qu'elle reconnaîtrait entre mille. Elle releva alors son regard et vit le beau visage de César. Elle lui lança alors un léger sourire très peu enthousiaste. En réalité moins la blonde le voyait, mieux c'était. Elle connaissait cet homme depuis des années déjà et ils avaient une très bonne relation. Mais quand les parents s’intégraient dans une belle amitié ça pouvait vite finir en catastrophe. La preuve, Leevy était l'une des prétendantes au mariage de César. De toute façon la Cartwith savait que cette union ne pourrait jamais se faire vu qu'elle était enceinte et que César le savait très bien. D'ailleurs il était l'une des seuls personne à l'aider dans cette mauvaise période. Et elle sentait que plus elle passait du temps avec lui plus elle s'attachait. Ce qu'elle ne voulait surtout pas. Après tout il était en couple. C'est bien pour ça qu'elle se montrait distante avec lui et il avait dû finir par le remarquer. En même temps ce n'était pas vraiment compliqué, ce n'était pas comme si ils passaient peu de temps ensemble par le passé. Salut.. Dis j'ai pas trop de temps, on peut se voir plus tard ? Evidemment, c'était la bonne excuse mais elle ne devait plus le voir.
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Je n'avais pas réussi à m'entendre au delà de discussions très superficielles avec la plupart des enfants que mes parents m'avaient présentés, estimant que c'était ces gens là qu'il fallait que je fréquente et personne d'autres. Ce tri, ce manque de choix, m'avait toujours frustré. En dehors du compte en banque bien fourni de nos parents respectifs, je n'avais rien en commun avec la plupart de ses gosses de mon âge et ça rendait ceux avec qui j'avais réussi à m'entendre encore plus spéciaux. Alors que j'étais pas disposé à porter ces gens dans mon coeur, ils avaient réussis à s'y faire une place. Leevy comptait parmi ses rares personnes. La jolie Leevy, avec son beau sourire et son caractère bien à elle. Je l'avais directement adoptée et j'étais très heureux de pouvoir la voir plus souvent maintenant que j'avais intégré le campus d'Harvard. Sauf que, fidèle à lui-même, mon père mettait une énième fois le bordel dans ma vie. Leevy faisait partie des rares amies qu'il m'avait choisi et que j'appréciais sincèrement et il voulait gâcher ça en la mettant sur la liste limitée des filles avec qui il envisageait de me fiancer. Quel emmerdeur franchement. Enfin, c'était mon papa et de toute façon, pour le coup, j'étais mieux informé sur ma prétendante qu'il ne l'était. Il pensait sans doute que car il connaissait ses parents, il savait tout, en déduisant donc qu'elle était "convenable" pour moi. Il envisageait pas qu'on puisse avoir des secrets. Et quel secret Leevy était en train de porter. Elle était enceinte. Mon père était difficile et même si je suis sûr qu'il n'aurait rien contre le fait d'avoir déjà des petits enfants, là, à ses yeux, ça ne pourrait qu'entacher la réputation des Jones, déjà noircie par la désertion des enfants. Et moi... Je voulais juste protéger Leevy. Alors j'étais d'accord pour l'aider à garder son secret en sécurité et j'étais d'accord pour être là pour elle, pour l'aider, toujours. Le truc, c'est que je commençais à ressentir une affection pour le bébé. Bon, ça c'était normal. Pour Leevy aussi, je l'adorais, c'était pas nouveau sauf que je savais ce que j'étais en train de commencer à ressentir et ça n'avait rien de sain. J'étais en couple, même si actuellement, mon père me considérait comme bon à marier et donc des plus disponibles. Disponible, je l'étais définitivement pas. Et de toute façon, elle ressentait sûrement rien de comparable. Elle m'adressa un sourire un peu figé, avant d'essayer de s'éclipser. Je fronça les sourcils. Ne le prends pas mal, je sais que tu n'as pas le temps de t'ennuyer, mais tu n'as pas souvent le temps pour moi, depuis quelques semaines. Dis-je, d'une voix plate, un peu froide, mais tout de même avec une forme de douceur. Je lui reprochais rien et au fond de moi, je savais qu'elle était la plus intelligente de nous deux en mettant un peu de distance. Sauf que dans ma bêtise, la voir me repousser, ça me vexait et puis, elle me manquait.

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D'un certain côté Leevy aurait pu être ravie de faire partie de la liste des prétendantes de César vu qu'elle le connaissait depuis jeune déjà et il y avait toujours eu une grande complicité entre eux. Quand elle était avec lui elle se sentait bien, chose assez rare pour Leevy vu qu'elle mettait pas mal de temps pour faire confiance aux gens qui l'entoure. Mais avec César c'était différent elle lui donnait une énorme confiance et elle savait qu'il pouvait se passer n'importe quoi elle serrait toujours présente pour lui comme il l'était pour elle. Mais se réjouir de faire partie de la liste ? Non. Elle savait qu'il était amoureux d'une autre femme et puis se genre de mariage arrangé elle trouvait ça tellement stupide. Elle était dans l'optique que le grand et le vrai amour existe et que l'argent ne faisait aucunement naître des sentiments. Mais ça c'était semblablement quelque chose que ne comprenait pas le père de César et Leevy. Mais à présent elle ne pouvait que le remercier de garder pour lui le fait qu'elle était enceinte vu qu'elle ne voulait mais même pas imaginer ce que lui ferrait son père en sachant que c'était le cas. Après tout il voulait qu'elle reste une gentille petite fille sérieuse dans ses études et rien de plus. Et ce n'était pas une fille enceinte qui allait le rendre fier c'était certain. Bref. Elle voyait bien que plus elle passait du temps aux côtés du brunet plus elle s'y attachait, elle ne devait pas. Déjà pour ne pas perdre cette belle amitié qu'il y avait entre eux mais aussi encore une fois parce qu'il était pris. Elle n'était pas du genre briseuse de couple et puis tout ce que la blondie espérait c'est qu'il soit heureux. Elle avait donc pris ses distances pensant que si c'était le cas ses sentiments partiraient au fur et à mesure mais ça ne marchait pas vraiment vu qu'elle y pensait constamment. Alors qu'elle voulue sortir de l'université pour faire un tour elle tomba justement sur lui. Encore une fois, elle fit mine d'être occupée pour à nouveau éviter de passer du temps avec lui. Elle pinça alors légèrement le coin de ses lèvres en entendant ses mots, elle se doutait que se genre de phrase il lui dirait un jour. Elle ne pouvait pas lui mentir plus longtemps, elle détestait mentir aux personnes qu'elle appréciait.  Écoute.. Si je suis comme ça en se moment avec toi c'est pas pour rien, j'ai mes raisons. Et ça m'arrangerait vraiment si tu pouvais le comprendre sans vouloir plus d'explication. Dit-elle d'un léger soupire, elle n'avait pas vraiment envie de passer pour une idiote en lui disant qu'elle avait finit par avoir des sentiments en son égard.
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J'avais tendance à penser qu'avec d'autres parents, en portant un autre nom que le mien, j'aurais put mené une vie infiniment plus simple. J'avais eu une mère très aimante et je n'étais pas totalement irrécupérable, je savais que c'était un cadeau, sauf que ça aurait put être mieux. Personne n'est parfait, soit, mais bon. J'aurais aimé mener une vie ou j'aurais été plus libre, ou mes parents m'auraient davantage fais confiance, ou mon père n'aurait pas eu de tels principes, des idées aussi tranchées sur à peu près tout. Tout aurait put être plus simple, ça n'avait pas toujours à être à ce point compliqué. Les complications, on se les cherche, voilà tout. Sauf que justement, si je faisais un peu preuve d'honnêteté, il fallait que j'admette que j'avais ma part de responsabilité pour ce qui était de Leevy. Cette histoire de fiançailles, cette petite liste de prétendantes, c'était ridicule, grotesque à souhait. C'était faux, calculé, dépourvu de sens et de saveur. Je ne pouvais pas être heureux ainsi. Et pourtant, quand je regardais Leevy, je n'avais pas le sentiment que quoi que ce soit puisse être si terrible avec elle. Je me surprenais même à envisager ce que ça pourrait donner. A l'évidence, mes sentiments avaient évolués, je le savais pertinemment ainsi elle n'avait pas à dire plus que ce qu'elle me répondit. Je n'étais pas un attardé, j'avais également compris ce qu'elle s'efforçait de ne pas avoir à dire à voix haute. Tu n'as pas à m'expliquer dis-je en portant ma main libre à ma nuque. Je me mis à la caresser, signe caractéristique de frustration chez moi. Je crois que j'ai compris tes raisons et je sais que tu fais ce qu'il faut, car c'est plus facile, mais tu n'as pas à... Je me coupa. Je me perdais dans mes propres discours. Elle n'avait pas à s'éloigner. Je savais que c'était pas raisonnable et que j'avais Meadow et que je la faisais déjà souffrir assez comme ça, sauf que rien de tout cela n'était facile et je ne pouvais pas juste arrêter de voir Leevy. Mes nerfs risquaient de lâcher, sinon. Ce serait bon pour personne. J'haussa les épaules, avec impuissance. Tu me manques. Lâchais-je enfin.

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Leevy n'avait pas non plus eu une enfance vraiment facile. En réalité les familles riches n'avaient rien à envier. Alors que les familles venant d'un milieu moins aisé devaient se serrer les coudes et être proche entre eux. Chez les Cartwhith c'était du genre les parents qui bossent constamment et font garder leur fille par une nourrisse. Et encore Leevy avait bien eu de la chance d'avoir sa nourrisse qui était devenue comme une mère pour elle. Parfois elle se demandait ce que ça serrait de vivre dans une famille normale où l'argent n'était pas roi, elle se demandait si elle serrait plus heureuse, en fait, elle en était certaine que oui elle serrait heureuse. Mais comme on le dit souvent, on ne choisis pas sa famille. Et apparemment tous les parents riches étaient dans l'optique de marier leur enfants avec d'autre enfant riche. Et c'est ce que voulait absolument le père de la blondie pour avoir réussis à intégrer le nom de Leevy dans la liste des prétendantes au mariage de César. Quand elle l'avait su, évidemment qu'elle s'était dit, pourquoi pas ? Vu qu'elle avait une très bonne entente avec lui et qu'elle savait qu'avec le temps plus que de l'amitié viendrait entre eux. Mais très vite elle redescendit sur terre vu qu'elle était enceinte et lui en couple. Mais des sentiments à son égard arriva très vite, bien plus vite qu'elle le pensait. Après tout quand elle n'allait pas bien, c'était lui qui était là pour elle et personne d'autre. Et maintenant qu'elle avait pris ses distances, il lui manquait. Elle ressentait comme un vide. Comme si elle avait perdue une partie d'elle même. En même temps elle passait la plupart de son temps avec lui, c'était certain que ça faisait un vide. Elle avait finit par lui dire que si elle prenait ses distances ce n'était pas pour rien. Et César compris très vite pourquoi, il n'était pas bête. Pour le coup Leevy se sentait tellement stupide et tellement gênée de la situation, après tout elle était certaine que ça n'était pas réciproque et qu'après ça César se montrerait sûrement aussi distant avec elle. Mais elle ne put quand même pas s’empêcher d'afficher un sourire quand il lui annonça qu'il lui manquait aussi. Elle resta plusieurs secondes qui parut pour une éternité sans un mot. Elle vient alors rapidement le prendre dans ses bras en serrant sa carrure musclé contre elle. Tu me manques aussi.. Mais je peux plus être comme avant avec toi, je suis désolée.. Je suis tellement stupide.. Ça se voyait dans sa voix qu'elle s'en voulait vraiment.
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Je savais pertinemment que Leevy était la plus raisonnable de nous deux en ayant prit l'initiative de commencer à m'éviter. Elle avait comprit tout aussi vite que moi qu'un petit truc était en train de changer entre nous, quelque chose qui serait pas simple à gérer. On aurait put penser que ça faciliterait tout : je devais faire la fierté de mon père, elle ne voulait sans doute pas se brouiller avec son père, on s'aimait bien tous les deux, je développais des choses de sortes qu'un mariage me ferait pas non plus totalement l'effet de repartir dans ma cage dorée, une cage encore plus étroite et étouffante. Oui, ça aurait put tout faciliter. De un, car il y avait Meadow, mais même si ça faisait vraiment mal de le dire, elle allait sans doute finir par être blessée dans cette histoire. Malgré mon envie d'indépendance, toujours aussi ancrée en moi qu'au cours de mon adolescence, j'étais de moins en moins sûr d'être en mesure de prendre de la distance avec mon père. J'étais juste épuisé d'être en guerre contre lui. C'était pas sensé être comme ça. Mon père n'était pas sensé être mon adversaire, au contraire il devrait être parmi les alliés. J'avais envie de commencer à résoudre son problème, même si ça sous entendait de perdre Meadow dans la balance. Mais de toute façon, le second problème rendait celui-ci minime : Leevy et son petit ventre de plus en plus rond. Arrêtes enfin, tu n'es pas stupide. Dis-je en secouant la tête, malheureux de la sentir si mal. Je sais pourquoi tu fais ça et je sais que t'as raison, que j'ai pas à ressentir ce que je ressens, mais.. Dis-je. Je referma la bouche, à défaut de savoir trop quoi ajouter. Enfin, je pouvais pas contrôler mon rythme cardiaque quoi. Je sentis une petite sensation de brulure. Dites moi que j'étais pas en train de rougir. Je détourna un peu le regard, me raclant au passage la gorge.

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Entre César et Leevy il n'y en avait vraiment pas un pour rattraper l'autre. Ils étaient tous les deux dans une situation vraiment difficile. Entre les pères qui voulaient diriger la vie de leurs enfants et ensuite les problèmes de couple. Quoi que, César avait bien de la chance il avait quelqu'un qui l'aimait avec lui alors que Leevy n'avait vraiment personne pour l'aider vu que le père de son enfant n'était juste qu'un coup de plusieurs soirs. En fait c'était César qui prenait cette place de protecteur, pas étonnant qu'elle s'y soit attachée. Quelque fois elle se disait que tout serrait mieux si il n'était pas en couple, vu qu'ils pourraient se fiancer et leur deux pères serraient sûrement content. Elle savait très bien que c'était mal de penser ça et c'était sûrement une pensée qu'elle ne dévoilerait pas au brun. Elle avait donc voulue être raisonnable et prendre ses distances. Elle ne pensait d'ailleurs pas que ça serrait aussi dur, pendant tout le temps du spring break Leevy avait été dans l'hésitation de le rejoindre pour profiter de ces vacances avec lui. Mais maintenant qu'elle le voyait en face d'elle entrain de lui dire qu'elle lui manquait tout changait, elle avait juste envie de tout déballer et lui dire à quel point il pouvait compter pour elle. Elle lui montrait bien qu'elle s'en voulait de s'être attachée, pour elle c'était ça qui gâchait leur si belle amitié. Si elle n'avait pas été aussi stupide tout irait bien à présent. Elle avait finit par venir dans ses bras ayant besoin de retrouver son étreinte, elle ne savait pas si c'était à cause des hormones de sa grossesse mais la blondie était vraiment sensible pour le coup, elle avait l'impression qu'elle était capable de fondre en larme n'importe quand. Elle fronça ensuite légèrement ses sourcils à l'écoute de ses mots, elle avait bien compris ? Lui aussi ressentait quelque chose ? Elle finit par doucement glisser sa main contre sa joue afin de tourner son visage vers elle et souris alors doucement. Sois pas gêné t'es mignon quand tu rougis. Dit-elle d'un doux sourire essayant de détendre l'atmosphère. Elle ne savait vraiment plus quoi faire avec lui.
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J'avais toujours eu horreur de manifester certaines émotions en publique. Je pouvais compter sur les doigts d'une main le nombre de personnes m'ayant vu pleurer et même si c'était de mon avis moins grave, tout de même, (en admettant que pleurer en publique puisse être considéré comme grave) je n'aimais pas davantage sentir mes joues virer au rouge cerise. Naturellement, Leevy perçu ma gêne et voulu me rassurer. Comment expliquer aux filles que le terme "mignon" n'était pas l'adjectif préféré d'un mec ? Les petits chiots sont mignons, ça suffisait très bien. Enfin, j'étais pas macho au point de le formuler. Je ne la remercia pas non plus. Si tu le dis. Répondis-je d'une voix neutre en me priant intérieurement de retrouver mon teint naturel et ce en vitesse. Je resta donc silencieux quelques instants, me rendant compte qu'on était toujours dans un hall qui se remplissait doucement. Lorsque j'estima que ça devait se voir moins, que j'avais piqué un fard, je repris la parole. Mais cette situation est gênante. On peut pas continuer comme ça. On peut pas s'éviter, comme ça. Dis-je. Elle pouvait peut-être, mais moi non, définitivement. Je m'étais trop rapproché d'elle pour couper les ponts, d'un coup. C'était peut-être pas la chose la plus intelligente, la plus mature à faire, mais ce serait pas la première des décisions immatures que je prendrais. J'étais plus à ça près. Je me mordis la lèvre, la regardant à nouveau dans les yeux. Je savais que c'était déjà pas simple, pour elle comme pour moi. Et je savais que je faisais déjà de la peine à Meadow en envisageant d'épouser une fille que je n'aimais pas. Je savais que ce serait pire pour elle d'envisager la même chose avec une fille pour qui j'éprouvais définitivement plus que de l'indifférence. Mais ignorer Leevy... C'était ridicule. J'en n'avais pas envie. Je baissa les yeux sur son ventre. Je voulu l'effleurer, mais nous étions en public alors je m'abstenu.

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La cabot avait bien vu que César était gêné de la situation et qu'il n'aimait pas être comme ça, après tout depuis le temps qu'elle le connaissait elle savait très bien comment il était. Et rougir pour lui n'était pas vraiment quelque chose d'habituel, c'est bien pour ça qu'elle avait essayée de le rassurer comme elle le pouvait. Le brunet avait un grand dont pour réussir à cacher ses sentiments quand il le fallait mais des fois c'était moins facile et Leevy pouvait le comprendre vu qu'elle était pareil. De base elle ne se montrait pas vraiment comme une fille douce et gentille bien au contraire elle préférait passer pour une garce sans coeur mais c'était juste une couverture ayant bien trop peur d'être blessée à cause de sa grande sensibilité. Elle restait alors face à lui, peut-être qu'elle aurait dû partir comme elle le voulait au début et ils n'auraient pas eu cette discutions qui ne menait sûrement à rien vu qu'il n'y avait aucune solution pour arranger leur problème. La blondie lâcha alors un léger soupire aux mots de César, qu'est ce qu'elle pouvait bien répondre à ça ? Il était impossible pour elle de réussir à prendre ses distances si César lui disait clairement qu'il ne le voulait pas. C'était déjà bien dur pour Leevy de passer à autre chose alors c'était certain qu'il n'arrangeait pas vraiment la situation. Crois-moi j'ai pas envie de t'éviter non plus, mais si on continue comme ça tu sais très bien comme ça va se finir et on sait tous les deux que c'est pas possible. La seule solution est donc de prendre nos distances.. Dit-elle en pinçant légèrement sa lèvre signe de sa pars qu'elle se sentait pas vraiment bien de tout ce qu'il se passait. Elle aimerait tellement pouvoir claquer des doigts et savoir qu'il n'y avait plus de complication entre eux et qu'ils puissent continuer leur belle amitié sans problème, mais c'est clair que c'était impossible.
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