LISANDRU-ANDREA M. LUCCIA ► Josh Franceschi

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas et j'ai toujours voulu être mannequin pied. Je suis une héroïne des temps moderne, je parcours le pays à l'aide d'un bus jaune et avec des enfants. Je suis ... Je suiiiis ... et j'ai connu le forum grâce à bah c'est une excellente question ça.  Les tétons du mec sur la bannière pointe alors j'ai décidé de m'inscrire ET Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Luke J. Lewis (Mather) & Julian C. Leaneagh (Quincy). J'utilise Josh Franceschi comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Arctic Love. Je fais environ 150 à 2000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ À moi seul, sur mes trois personnages, j'ai deux des dix plus beau cul de la planète. Et encore, j'ai pas vu celui de Sheehan.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Je suis un petit génie. Le genre de mec qui a pas besoin de bucher pendant trois heures sur un sujet pour comprendre de quoi il parle. Ça m'a toujours servit, pour me démarquer des autres notamment. Je ne suis pas prétentieux. J'pense jusque qu'il y a des gens bien plus intéressants que d'autres. Par exemple, j'ai jamais comprit l'intérêt des meufs pour le vernis à ongles. Ou l'intérêt des gars pour les grosses voiture de tunning. J'aime les choses simples, les balades dans la forêt de Vizzavona, quand j'allais chez mes grands parent le week-end. Les semaines entières à parcourir mon ile, avec pour seule compagnie, une vieille guitare empruntée à mon oncle, et jamais rendue. L'odeur du figatellu qui cuit à la cheminée alors qu'au fond, je déteste son gout. Les été passés avec mes potes au Vecchio, à brancher des nanas allemandes qu'on pourrait jamais avoir. Rester toute la nuit sur le muret du cimetière du village, à parler de tout, de rien, surtout de rien. Refaire le monde. La pizza à la poire, et toute ces choses habituelles qui te manquent dès que tu poses un pied hors de ton ile.

J'vais pas faire un topo sur mon enfance, de un parce qu'elle était plus que normale, et de deux parce que j'suis assez contre la retrospéction. J'étais juste ce gamin lambda, avec ses potes, ses pétards à faire péter à vingt deux heure qui se prenait pour un rebelle, alors que la mairie, quand elle a sauté, ça a fait bien plus de bruit. On m'a toujours dit que j'étais quelqu'un de brillant, qui irait loin. J'ai toujours pensé que je finirais dans une cabane à chasser le sanglier, ou le pinzutu. Au choix. Alors, on m'a fait sauté le CM2, parce que les surdoués, ça doit sauter des classes pour pas s'ennuyer en cours et tirer des gommes dans la tête de Madame Costa, qui oublie parfois de mettre du déo. J'ai choisi la section scientifique, parce qu'on m'a toujours dit que je gâcherai mes capacités en littérature ou en économie. J'avais pas pour ambition de finir bibliothécaire de toute façon. J'préfère le silence des montagnes à celui des rats de bibliothèque.  

Quand à la fin de mon lycée, j'ai choisi d'étudier la physique, on a tout de suite fait l'amalgame, avec mes origines. Un corse, la physique, ça va forcément finir en militant indépendantiste à tendance terroriste. J'en ai un peu rien à branler, au fond de l'indépendance. Et ça serait con de dire que la Corse pourrait s'en sortir dans l'aide de la France. Chacun son point de vue. J'suis donc partie sur la Sorbonne. Pas que l'université de Corte me dérange, mais j'pense que j'ai toujours eu la folie des grandeurs. J'aime bien Paris. Les gens sont froids, distants, râlent pour rien. Mais c'est plutôt jolie, au fond, comme ville. J'ai passé mes six premières années d'études la bas, et en ait commencé une septième en postulant pour une bourse d'étude pour faire au minimum un semestre dans la prestigieuse université d'Havard. Quand on est major de promo six années d'affilée, ça aide pour obtenir ce que l'on souhaite. J'ai donc posé mes valises en territoire américain le 7 janvier 2014. Moi, le petit Corse qui n'avait jamais quitté le sol français. Le petit corse avec l'accent anglais digne d'une belette hongroise. Mais j'ai pas peur. J'ai toujours aimé les défis.