Kara M. Jenkins ► Sandra Kubicka

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Ninon et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi puisque j'y suis déjà!. Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Charlie I. Wilcox (Winthrop House) & Enzio V. Di Marzo (Eliot House). J'utilise Sandra Kubicka comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sweet Nothing. Je fais environ de 200 à 2000 (tout dépend de la personne) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je suis de retour pour vous jouez un mauvais tout. (a)
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Née à Newcaslte, en Australie, un certain quinze novembre, c'est ce jour-là que j'arrivais sur terre dans le but de la conquérir de mes charmes fou. Sous le doux prénom de Kara, Maïa Jenkins. Malheureusement pour moi, à seulement deux ans mes parents se séparèrent, je n'eus donc pas réellement le temps de comprendre ce qui m'arrivait. Je n'en avais pas trop souffert du moins, et même aujourd'hui je garde de très bon rapport avec mon père biologique, avec le quelle j'ai une très grande complicité. Ma mère, s'étant très vite remit en couple, je n'avais pas réellement percuté à cet âge là. Du moins, une différence était présente, celle que le petit ami de sa mère, était une femme. Eh oui. J'ai grandis entouré de deux maman et j'en étais bien contente. J'avais tous ce que je désirais malgré que mes parents ne roulent pas sur l'or. Je vivais donc sur un petit nuage jusqu'à mon entrée dans l'adolescence. Quand mes amis et par la suite toute l'école à apprit pour mes maman, une critique généralisé s'est engagé, se moquant même à l'absurde de moi. En rentrant à la maison tout les soirs, je pleurai les larmes de mon corps, en souffrant de cette situation. Bien sur je n'en touchais pas un mot à mes parents. Et puis, à mes seize ans, j'ai découvert le moyen d'apaiser mes peines, de faire une croix sur mes peurs, sur ma souffrance enfouie en moi que j’éprouvais depuis bientôt cinq ans. L'alcool. Un liquide qui avait vite prit possession de mon corps pour me faire tout oublier. D'enfin pouvoir me libérer. Bien sûr dès que les moqueries revenaient à la charge, je buvais, toujours plus et parfois pour ne plus m'arrêter. Je suis devenue alcoolique, bien que ce terme me paraît un peu trop fort. Je ne fais que boire.. Un peu. Oui, beaucoup. De plus, cela s'accentua quand j'eus enfin mon premier petit ami. Du moins, tout allait bien jusque là, jusqu'à ce que je lui donne tout mon être, mon corps et mon âme avec une confiance aveugle. Une confiance qu'il brisa rapidement en m'avouant après six mois de relation que tout cela n'était que mensonge, et qu'il n'avait eu comme but sur de coucher avec moi. Le soir même, je fis mon premier coma éthylique. Mes parents me changèrent de lycée où je finis finalement ma scolarité sans trop d'encombre. Mais j'étais devenue solitaire, le cœur meurtrie et le corps salit par un abrutie de première. Je me détestais, j'avais honte de moi et je me sentais tellement impur que cela continuait à me faire boire comme un trou. J'enchaînais les mauvaises fréquentations, sans jamais toucher à la drogue. J'avais tout de même un élan de lucidité. L'alcool me suffisait à me détendre. J'ai donc un fort caractère, et je peux être parfois agressive. Même très agressive, si l'on me cherche. Et quand je bois, cela se multiplie. J'ai finalement été reçue à Harvard, grâce à mes facilités de base. Heureusement qu'elles soient là, d'ailleurs. Cela fait donc trois ans que je suis dans cette université, munit de mes mauvaises habitudes comme d'habitude. Je suis ici dans le but d'étudier le design de mode. Bien que j'ai une passion folle pour l'art, en ce qui concerne le dessin, elle a toujours été attiré par les belles choses depuis toujours. Les belles femmes, les belles couleurs et enfin vêtements. Je fait des croquis depuis longtemps, et bien avant de boire. Je sais tout aussi bien dessiner autre chose. J'adore dessiner, ou peindre, cela permet de m'ouvrir l'esprit, de calmer mes pulsions d'impulsives et de faire autre chose que de me soûler dans un coin. J'ai d'autre passion, comme celle de l’astronomie, regarder les étoiles me donne un sentiment de bien être que j'apprécie. Si je n'avais pas pris Design de mode en majeur et art plastique en mineur, j'aurai sens doute prit cette matière en plus. D'ailleurs, je suis toujours dans les étoiles, un peu rêveuse, sûrement l'esprit d'artiste qui m’envahis. Sinon, j'ai trouvé un petit boulot afin de pouvoir me faire plaisir avec l'argent gagné. Je suis barman dans un bar du coin, où il m'arrive parfois de piquer des bouteilles pour ma consommation personnelle. Je ne me suis pas encore fait grande, et je suis en général discrète à ce sujet. Au niveau de l'amour, c'est finit pour moi, complètement, je préfère crever seul, ça fait moins mal. Et si l'espèce masculine tiens à son entre jambe, faîte qu'elle soit loin de moi ou sinon, je coupe tout.