Donatello S. Pradier ~ Je suis gourmand, j'aime les curly..et les amis

Donatello est né à Florence en Italie il y a 24 ans, il a un frère aîné Julio avec lequel il s'entend très bien. A l'école il était un élève excellent, souhaitant obtenir les meilleures notes, la meilleure place pour que ses parents soient fiers de lui et il y réussit. Il eut une enfance et une adolescence sans histoire, lorsqu'il révéla son homosexualité à sa famille, celle-ci le prit plutôt bien même si son père mis du temps avant de l'accepter. A l'âge de quinze ans il fit la rencontre de son premier amour, Luigi, il devint sa muse et le jeune homme ne pouvait s'empêcher de le dessiner tout le temps. Ils parlaient souvent de leur avenir et Luigi lui révéla qu'il souhaitait plus que tout étudier à Harvard. Malheureusement, une balle perdue eut raison de ces projets, en effet, alors que cela faisait deux ans qu'ils étaient en couple, un jour que Donatello rentrait d'une journée à la campagne, son père lui appris que Luigi venait de mourir, victime d'une balle perdue. Le jeune homme en fut dévasté. Il refusa de sortir de sa chambre pendant plusieurs semaines jusqu'à ce que son frère le secoue et lui fasse comprendre que cela ne servirait à rien. Donatello décida alors qu'il réaliserait le rêve de son amour et irait étudier à Harvard à sa place. Niveau sentimentale, il enchaîne les histoires sans lendemain, ayant peur de s'attacher et qu'on lui arrache à nouveau la personne qu'il aime.

texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte texte