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Cerceï-Rae ✘ You're not a monster, i'm the real monster.

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Cerceï-Rae & Duncan

Je perdais mon temps à parler avec elle, certes c'était drôle de me moquer d'elle, de voir le visage des passants rire à mes moqueries et voir la figure de Ceïrce devenir rouge comme une tomate, mais ça ne me donnait en aucun cas mauvaise conscience, au contraire j'aimais encore plus ça. Elle n'aurait pas dû parler de mon futur bébé, du fruit de l'amour que je partage avec ma belle blonde. Je décidais finalement de partir, elle me gonflait et j'ai perdu bien trop de temps avec elle, sauf qu'elle s'amusa à marcher vers moi, me dépassant et me bloquant le chemin, putain mais elle est suicidaire ou quoi ? D'autant plus qu'elle remit mon enfant sur la table et je sentais mon sang taper dans mes oreilles. Mais putain c'est quoi le rapport entre toi et mon futur gosse bordel ?! Rien, aucun, kedal ! J'en ai rien à foutre de son physique, c'est pas ça qui changera l'amour que j'aurais pour lui. Toi c'est différent, alors arrête de me casser les couilles avec ça. Elle me mettait hors de moi en parlant de mon enfant, encore heureux qu'elle ne sache rien de ma relation avec Lily, que fut un temps pas très lointain où nous étions censé être lié par le lien, être frère et sœur et que je suis amoureux d'elle depuis des années, sans quoi elle aurait utilisé cela contre moi. Mais dans tous les cas, ses propos sur sa vie sexuelle me fit rire alors qu'elle partait. Elle est sérieux ou bien elle me charriait ? Il y avait un mec assez fou pour coucher avec elle ? Alors qu'elle marchait, je ne pu m'empêcher de lui dire à voix haute, quitte à ce que les gens continuent de nous écouter. Je n'ai aucun remord à l'humilier davantage. Oh non de Dieu, tu vas pas me dire qu'un mec est assez fou pour fourrer son engin dans ce truc ? Rassure-moi, il est aussi énorme que toi non ? C'est un ring de sumo qu'il vous faut, pas un lit, il risque de céder sous votre poids. Disais-je en rigolant comme le bel enfoiré que j'étais. Qu'allait-elle faire ? Rien. Simplement continuer son chemin et probablement pleurer, jamais elle n'oserait encore me tenir tête ou m'en mettre une, car dans tous les cas elle sait qu'elle sera perdante et que j'aurais toujours le dernier mot pour la mettre encore plus mal, l'humilier encore plus et faire de sa vie un cauchemar sans faille.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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You're not a monster, i'm the real monster.
w/ Duncan m.s. O'callaghan.

Je partais avec le peu de dignité qui me restait je n'avais plus que cela à faire après tout, après m'être fait humilier et insulter comme une moins que rien. J'avais rencontré des connards durant ma vie, j'ai rencontré des gens qui ne supportaient pas mes rondeurs, le fait que je sois grosse, je suis mon pire ennemi, mais je n'avais jamais vu aucun acharnement de la sorte. Souvent, j'ai rêvé avoir un sauveur, une personne capable de mettre à terre ce genre de personne. Mais je suis seule face à lui, alors il ne me reste plus qu'à m'isoler de m'effondrer mais j'ai une dignité. Heureusement. « Mais putain c'est quoi le rapport entre toi et mon futur gosse bordel ?! Rien, aucun, kedal ! J'en ai rien à foutre de son physique, c'est pas ça qui changera l'amour que j'aurais pour lui. Toi c'est différent, alors arrête de me casser les couilles avec ça. » L'hôpital qui se fout ouvertement de la charité, ma parole. Je n'ai pas le droit de mentionner son enfant, mais lui peut me rabaisser en me rappelant que je suis grosse. J'ai envie de lui foutre mon poing dans la gueule, mais cela ne servirait à rien, qu'à me montrer plus bas que lui. Jamais. Je veux rétorquer quelque chose, rien ne vient, pas le temps, il continue, il m'achève. « Oh non de Dieu, tu vas pas me dire qu'un mec est assez fou pour fourrer son engin dans ce truc ? Rassure-moi, il est aussi énorme que toi non ? C'est un ring de sumo qu'il vous faut, pas un lit, il risque de céder sous votre poids. »Ses paroles me blessent, font mal... Dégouline sur mon corps et je me sens tomber, intérieurement j'explose en un millier de morceaux repensant chaque mot qu'il prononce. Le pire c'est qu'il ne sait rien et je suis persuadée qu'il a raison. comment un homme peut s'intéresser à moi avec ce physique là. Je ne veux pas m'effondrer, je rassemble le peu de force qu'il me reste. « Je dois fermer ma gueule parce que mes paroles dérangent mais toi tu rabaisses et insultes des gens que tu ne connais même pas. Tu sais quoi, Va te faire foutre Duncan, t'es qu'un pauvre type et je te prouverais un jour que ça... Ce physique que tu détestes tant sera plus digne que tout ce que tu peux croire. » La tête haute, je soupire fortement, ravale mes larmes et je fais demi tour, je me casse... Je me casse de ce pauvre mec. CONNARD !
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Cerceï-Rae & Duncan

Si seulement j'arrivais à me contrôler, à me rendre compte que j'allais trop loin avec cette fille, mais j'y arrive pas. Elle est comme mon défouloir, celle qui me permet de calmer mes nerfs car je suis en manque de drogues. Elle ne m'avait rien fait auparavant, mais c'était comme ça, inexplicable. Et le fait qu'elle parle de mon enfant, de la seule chose qui me donne une raison de vivre, une raison de me lever le matin avec la présence de Lily, ça me tuait et ça m'agaçait au plus haut point. Elle termina ensuite par vider son sac en m'avouant qu'un jour ou l'autre, elle me prouvera qu'avec son physique, elle pourra faire de grandes choses. Je pouffais de rire avant de lui répondre. Oulah non ne t'emmerde pas à vouloir me prouver quoi que ce soit ! Ça reviendrait à devoir te revoir et te reparler, hors si j'ai envie de voir quelque chose d'horrible, j'irais au cinéma pour voir un film d'horreur! Disais-je en me marrant bêtement. Ça ne volait pas haut et j'en étais conscient, mais je m'en moquais. Elle faisait alors demi-tour et partait pour de bon, je me tournais légèrement vers elle en parlant à voix haute pour qu'elle puisse m'entendre une dernière fois, comme un coup de grâce avec toutes les vacheries que j'ai pu lui dire depuis quelques minutes. Dégages et surtout évite de passer devant une école maternelle, ne va pas choquer ces pauvres gens. Ils ont encore toute la vie devant eu avant de voir une telle atrocité. Sur ces mots, je souriais fier de moi. Oui j'étais un parfait connard et je l'assumais pleinement. Je terminais par faire marche arrière à mon tour afin de rentrer chez moi pour embrasser et admirer ma parfaite petite-amie, la mère de mon futur enfant.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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