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Taylor Lanton Badsworth fiche; terminée C'est le 3/07/1987 à Portmore(Jamaïque), que la famille Badsworth m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Taylor Lanton. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel à 100% et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Musique, je suis maintenant en septième année Et pour terminer, je fais partie des Mather House. |
Études Taylor étudie la musique. En fait, comme beaucoup le savent, il a pour ambition de devenir chanteur et notamment un rappeur. Malheureusement pour lui, l'étude de la musique n'est pas centrée sur un style de musique particulier mais au contraire possède un large éventail de styles de musiques divers et variés. Or, Taylor a une préférence pour le rap. Mais, il doit l'avouer, être étudiant en Musique lui a apporté une certaine ouverture d'esprit. Moins centré sur le rap, aujourd'hui il s'intéresse également à la pop, le funk et le reggae qui lui rappelle l'île dont il est originaire, la Jamaique. Il joue de la guitare, mais ce qu'il préfère c'est écrire et composer des chansons. Ses chansons sont étroitement liées à son vécu, son enfance difficile, ses disputes amoureuses, son addiction pour l'alcool et les drogues. Mais, il cherche également à ce que chacun puisse se reconnaître et s'identifier à ses chansons. Autre chose, le Badsworth fait de son accent jamaicain un atout: il l'utilise souvent dans ses chansons ce qui fait écho à ses racines afro-caribéennes. | Caractère Taylor est un personnage complexe, difficile à saisir. Timide mais extraverti, ambitieux mais fainéant, courageux mais lâche, beaucoup de caractères opposés réunis en un seul homme. Parfois, il peut se montrer très discret et passerait inaperçu. Parfois, on se dit qu'il est bien dur de ne pas le remarquer tellement qu' il se donne en spectacle. Il aime vivre au jour le jour sans vraiment se soucier de ce qui se passera demain. Il est plutôt terre-à-terre et pessimiste. On le surnomme "le briseur de rêves". Il n'aime pas vraiment ceux qui se bercent d'illusions pour fuir une dure réalité. C'est probablement dû à son passé. Il n'est pas très bavard mais il a la joie de vivre. Il est plutôt sociable et parfois peut se montrer généreux et serviable. Il est solidaire et aime profiter de la vie. Mais, pour son âge, il est peu mature et n'a pas vraiment le sens des responsabilités. Il lui arrive d'être cru et trop franc, dire des choses qu'il ne devrait pas et qui blessent. Il est assez maladroit mais lorsqu'il fera une erreur, il ne s'excusera pas car il a beaucoup trop de fierté pour le faire. Il aime bien être indépendant et refuse qu'on lui dicte ce qu'il doit ou ne pas faire. Il est aussi joueur, moqueur et peut s'avérer provocateur. Enfin, Taylor est protecteur et nerveux. Il perd vite son sang froid et peut devenir très agressif. Bref, un tempérament bien trempé mine de rien! |
Story of my life
C'est un 3 juillet 1987 que je suis né sur les bords de plage paradisiaque de Portmore, une ville portuaire à quelques kilomètres de Kingston, capitale de la Jamaïque. J'ai eu une enfance assez difficile. Je ne garde pas vraiment de très bons souvenirs de mon île natale. Mon père, Roscoe, a dû fuir la ville. Il avait été poursuivi pour une affaire de drogues et était donc en cavale. Je ne l'ai jamais vu. Je crois même qu'il n'avait pas été là le jour de ma naissance. Ma mère, Odessa, avait eu beaucoup de mal à s'en remettre bien qu'elle n'avait jamais eu vraiment de bonnes relations avec lui. Toute mon enfance, elle n'avait de cesse de me répéter que si elle était restée avec lui c'était pour mon bien. Elle s'est donc mise à fréquenter des hommes. Elle changeait d'homme comme de chemise et je n'avais pas vraiment d'exemple masculin sur lequel me baser. Les hommes qu'elle fréquentait la traitaient comme une moins que rien. Je ne comprenais pas ce qui la poussait à rester avec eux. Mon grand-frère Faxon étant parti vivre aux Etats-Unis, je me suis senti seul, laissé à l'abandon. Bien sûr, j'avais des amis mais cela ne me suffisait pas. J'avais besoin de la présence de ma famille. Or, ma famille n'était pas là pour moi...
J'ai donc appris à être autonome très jeune. J'ai étudié, travaillé du mieux que je pouvais. Après l'école, bien que je n'avais que seulement huit ans, je lavais les voitures des autres dans l'espoir de me faire un peu d'argent de poche. Nous n'étions pas pauvres mais ma mère considérait que tout ce que je voulais avoir n'était pas du domaine du nécessaire mais du luxe. Alors, elle refusait de m'acheter ce que je voulais. Du coup, j'essayais de gagner un peu d'argent. Avec mes amis, nous avions pour projet de rassembler notre argent de poche pour nous acheter le vélo dont nous rêvions tous. Nous avons fini par l'obtenir après quelques semaines d'acharnement. J'aimais beaucoup traîner avec mes amis dans les rues de Portmore après l'école. Parfois, nos mères nous laissaient même aller à la plage, seuls, siroter quelques délicieux cocktails et nager dans la mer turquoise des Caraibes...
Ma mère est morte d'un cancer. A cette époque-là, je rentrai à peine au lycée. La nouvelle a été bien entendu un choc émotionnel pour moi. C'était le seul parent qui me restait et elle était partie. C'est chez mes grands-parents maternels que je suis parti vivre, à Kingston. Là, a commencé la véritable descente aux enfers. Je me suis renfermé sur moi-même. Puis, je me suis laissé enrôlé, entraîné par les délires de mes fréquentations. J'ai d'abord touché à l'alcool. Au début, je buvais occasionnellement. Puis, j'ai vu que boire me faisait oublier ma souffrance. J'ai alors commencé à boire de plus en plus et plus souvent jusqu'à en être totalement dépendant. Après l'alcool, j'ai été accro aux drogues. Là encore, je n'avais au départ touché qu'une seule fois aux drogues. La première fois que j'avais fumé de la marijuana c'était lors d'une soirée. Mais très vite, les drogues ont fait parti de mon quotidien. Tous les soirs, on me retrouvait dans un état lamentable. Je sortais, saoul ou défoncé, et me pavanais dans les ruelles des quartiers malfamés de Kingston. Mes grands-parents, inquiets, avaient même dû envoyer la police à mes trousses de peur qu'il m'arrive un malheur. Finalement, incapables de me raisonner et de me prendre en charge, ils m'ont envoyé chez mon grand-frère, à Cambridge dans le Massachusetts dans l'espoir que lui au moins puisse me raisonner.
C'est à l'âge de 17 ans que je débarque dans le Massachusetts. Mon grand-frère Faxon ne m'a pas réservé un accueil chaleureux. J'ai très vite compris que j'allais devenir un fardeau pour lui. Faxon, avait toujours été plus sérieux que moi. Il étudiait la Géographie à Harvard, l'université la plus prestigieuse des States. Cela ne voulait pas dire que c'était une "tête d'ampoule". Il avait des résultats corrects et était un bon vivant. Il aimait profiter de la vie tout comme moi. Lui, n'avait pas ressenti la mort de ma mère comme moi je l'avais ressenti. En fait, il n'avait pas non plus vraiment eu de lien très fort ni avec ma mère ni avec mon père. Il vivait dans un modeste appartement avec sa petite amie. Il me mettait la pression pour que je trouve un travail même si j'étais toujours au lycée. J'ai compris que j'étais devenu trop envahissant même si j'avais fait de mon mieux pour ne pas perturber son quotidien. J'avais finalement trouvé un petit boulot: serveur dans un restaurant. Ce n'était pas le métier dont je rêvais mais cela m'importait. Mon but était de trouver de l'argent de me tirer de chez mon frère. Le plus vite était le mieux! Après les cours, je me rendais donc au restaurant où j'étais serveur. Je finissais mes journées tard et j'avais donc moins de temps à consacrer à mes devoirs. Cela s'est ressenti dans mes notes qui étaient en pleine chute. J'ai compris que si je voulais devenir quelqu'un je devais me ressaisir. Etant mineur, mon grand-frère me menaçait de m'envoyer en centre de désintoxication. J'ai donc réduis ma consommation d'alcool comme de drogues. J'ai un peu plus travaillé dans l'espoir qu'un jour, moi aussi, j'entrerai à Harvard et j'en sortirai diplômé.
A seulement 18 ans, j'entre à Harvard mais de peu. Mon dossier avait été en attente, rien d'étonnant quand on voit les élèves brillants qu'il y'avait. Après discussions, j'ai finalement été accepté. C'était un véritable soulagement et complètement inattendu. Faxon me l'avait pourtant répété: " Rêve pas, tu n'y rentreras jamais, Harvard c'est pas pour toi!". Et pourtant, j'avais fait mes preuves. C'était sûrement la chose dont j'étais le plus fier. Seulement voilà, je ne savais pas vraiment ce que j'allais devenir. Je me voyais nul part. J'avais donc décidé de m'orienter vers quelque chose qui me plaisait, une passion. Sans hésiter, c'était le rap. Depuis petit, j'aimais rapper que ce soit sur du dancehall ou du rap américain. Je me suis donc inscrit en musique. Mais j'ai été très vite dégoûté et déçu. Je croyais que j'allais enfin faire quelque chose qui me plaisait c'est à dire le rap et uniquement le rap. Au lieu de cela, j'ai pris des cours de chant, j'ai chanté de vieilles chansons, du classique jusqu'à la musique moderne. Bref, ce n'était pas vraiment ma tasse de thé. On me demandait ensuite d'apprendre des termes précis, d'apprendre à jouer d'un instrument, des choses auxquelles je ne m'attendais vraiment pas. Cela m'a en quelque sorte démotivé. Mais il fallait bien que je me construise un avenir. J'ai donc continué, à contrecoeur. Et, contre toute attente, dès la deuxième année, j'ai fini par m'y plaire. Mon oreille s'était peu à peu habitué aux différents styles musicaux. Classique, pop, funk, reggae, musique ethnique, hip-hop, rock, j'ai fini par m'ouvrir à plusieurs styles de musique, à écouter et comprendre ce qu'était la musique et ne pas seulement détester une chanson parce qu'elle n'entre pas dans notre style ou goût musical. Après les cours, je me suis mis à écrire des chansons, à en composer. J'ai très vite compris que je voulais faire de la musique mon métier. Je me suis fixé un but: obtenir une formation de qualité pour devenir chanteur et musicien.
the face behind
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