Analind Noel Samuels-Fawkes ►MARION COTILLARD

C'est le 17 février 1979 à San Jose, que les membres de la famille Samuels (Fawkes étant le nom de mon mari) m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Analind "Line" Noel. Je suis veuve depuis 2 ans et fort heureusement (ou pas), mais si vous voulez tout savoir je suis hétéroseuxelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que professeur en astronomie depuis 5 ans et de retour après 2 ans d'absence. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens.

Analind N. S.-Fawkes

Looks alot like Marion Cotillard

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lou et j'ai 23 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à mes trois autres comptes (ouais 3 ). Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de elysia (+ mather), isaline (+ eliot) et mina (+ cabot). J'utilise Marion Cotillard comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par liloo-59. Je fais environ entre 100 et 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ et me revoilà avec une prof cette fois-ci Analind Noel Samuels-Fawkes ►MARION COTILLARD 1153642411

Analind Noel Samuels-Fawkes ►MARION COTILLARD 1153642411

Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Je n'étais pas présente ce jour-là. J'étais, comme à mon habitude, dans mon lit, en train de me goinfrer de glace, pour essayer d'oublier que mon mari m'avait quitté quelques mois auparavant. Je crois bien que j'étais dans un tel état de zombie que je me fichais pas mal. J'avais regardé les infos, mais je ne ressentais rien. Tout comme depuis que je l'avais perdu. Je me fichais des morts, ce n'était qu'une chose normal. Je me fichais de tout en fait. Et j'avais simplement éteint la télévision, sans même me sentir coupable de ne pas avoir été là pour certains des élèves que j'avais eu.

AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
Je me souviens de la première fois où j'ai mis les pieds sur ce campus. Je savais alors que, pour rien au monde, j'en choisirais une autre université. J'ai tout fait pour réussir, obtenant même une bourse d'excellence et une bourse sportive. Quand j'ai réussi ma lettre d'acceptation, j'ai tout simplement réveillé toute la maisonnée. Mes parents étaient tellement fiers de moi. J'ai même pleuré sur le coup. Et finalement, la rentrée arriva. Je débarquais sur le campus, étudiante en archéologie et mineure en sociologie à l'époque. J'ai tout de suite intégré les quincy, sans problème, et j'en devins même la présidente au fil des années. Et c'est d'ailleurs ici que j'ai rencontré l'homme qui deviendra mon mari après nos années d'études...

QU'EST-CE QUI VOUS A POUSSÉ À ENSEIGNER À HARVARD ?
Harvard a tout simplement été les meilleures années de ma vie, et, à la fin de mon doctorat (parce que j'ai voulu y rester à la fin), je ne me sentais toujours pas prête à quitter cet endroit. Mais il le fallait, j'avais obtenu un travail dans un planétarium. Finalement, je quittais Cambridge, mais je restais à Boston. Au bout de 3 ans, je me rendis compte que ce n'était pas ce que je voulais, alors je suis revenue, devenant ainsi enseignante auprès de mon mari. Seulement, sa mort me perturba tellement que je devais m'enfuir de ce lieu qui me rappelait trop cet homme. Il m'a fallu 2 ans. 2 ans pour essayer de me remettre. Maintenant, je suis de retour. Parce qu'il l'aurait voulu.

(Invité)

« Mon amour,

Deux ans déjà. Je t'en ai tellement voulu, de m'avoir abandonnée lâchement. Mais je sais que ce n'est pas de ta faute. Je l'ai compris. J'ai hurlé, j'ai pleuré, j'ai crié pour que tu me reviennes. Sauf que tu ne t'es jamais relevé. Ton départ a tout chamboulé. Nous avions des projets, un avenir. Tout s'est écroulé en une seconde. J'ai eu beaucoup de mal à accepter le fait que tu ne sois plus là, mais je me suis rendue compte de mon erreur. Tu es toujours là, près de moi. Comme cette photo posée sur la table de nuit. Et tous les matins, je me réveille sous ton sourire. Je suis heureuse. Je te le promets. 2 ans déjà et je n'ai toujours pas eu la force de te remplacer. Je ne peux pas. Je sais que tu l'aurais voulu, mais c'est encore trop tôt. Tu es le seul amour de ma vie. Mais ne t'en fais pas, je suis heureuse. Parce que nous avons vécu. Nous avons été si heureux pendant ces 8 années. 8 années de mariage, mais en tout, nous pouvons bien compter 10 ans, n'est-ce pas? Te souviens-tu de notre premier rendez-vous? De notre premier baiser? De notre première nuit. Et de nos derniers 'je t'aime". Moi, je m'en souviens encore. Tu as toujours été là pour moi. Mon amour, mon meilleur ami, mon amant. Toi, qui connait tout de ma vie, n'a jamais baissé les bras, ou ne m'a jamais abandonnée, même quand je t'ai repoussé les premières fois. Tu disais me comprendre, je n'ai pas voulu le croire. Je me suis trompée. Malgré la vie fortunée que tu as pu vivre, tu a tout laissé pour une fille comme moi. Et là, je peux encore t'entendre dire "comment ça une fille comme toi? Tu ne te rends pas compte à quel point tu es parfaite Line". Oui, cette phrase, mot pour mot, est celle qui m'a fait tombée amoureuse de toi. Sauf que la chute en est d'autant plus douloureuse quand je t'ai perdu. Toi qui m'avais promis de ne jamais m'abandonner, comme l'avait fait mon père, tu avais échoué dans tes paroles. Je ne t'en veux plus, je te l'assure. Je ne peux que ressentir de l'amour pour toi, tu le sais bien, et je te le redis encore, parce que ce ne sera jamais assez pour moi. Pourtant, j'aurais voulu garder ce dernier cadeau que tu m'as offert avant de partir. Je n'ai pas pu. Pardonne-moi. Je suis certaine qu'il ou elle est à tes côtés en ce moment, et ça me rassure. Au début, j'ai voulu vous rejoindre, sauf que je n'en ai pas eu la force. Excuse-moi pour ma lâcheté. Je vais beaucoup mieux maintenant. J'ai retrouvé un sens à ma vie. Tu aurais voulu que je continue ce que tu avais commencé. Et je continuerais de vivre pour toi. C'est pour cette raison que je suis retournée à Harvard. Et puis, je l'ai rencontré, LUI. Ne t'en fais pas, il n'a pas pris ta place, ni dans ce canapé, et encore moins dans ce lit. Mais il m'aide à aller de l'avant. Il a vécu la même perte, il me comprend et je sais que, c'est en partie grâce à lui que je peux t'écrire cette lettre aujourd'hui. Pour te rassurer que ma vie est complète, même si tu me manques atrocement. J'aimerais tellement te voir, encore une fois, mais je sais que c'est impossible. Pas maintenant. Mais je te le promets, un jour, je vous reviendrais. Et ce jour-là, nous reformerons la famille que nous étions supposés être. En attendant, je te remercie déjà pour toutes les minutes de bonheur que tu pourras m'offrir par ta présence à mes côtés, ou tes petites attentions. Parce que je sais que le bonheur prochain, il sera envoyé de ta part.

Je ne t'oublierais jamais mon amour.

Ta Line, à jamais.

PS: Ever thine, ever mine, ever ours. »

The End

(Invité)