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[Charlixie] Donne moi ton coeur baby, ton corps baby, hey!

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Jour 6

Heure : 21h30
Lieu : La chambre d'hôtel de Charlie
Contexte : Priape croise Dixie sur la plage et l'aborde pour discuter avec elle
Participants : Dixie P. Hawson & Charlie I. Wilcox


Dixie & Charlie

J'allais le battre, ce garçon. J'en pouvais plus de cette distance, mais je ne supportais pas plus la jalousie qu'on éprouvait réciproquement chacun de notre côté. De mon côté, j'avais l'impression d'être beaucoup plus attachée que l'inverse, et s'il était pour se moquer de moi en me considérant seulement comme une parmi tant d'autres de ses conquêtes à qui il pouvait faire subir n'importe quoi et avec qui il pouvait jouer comme on manipule un yo-yo, j'aimais mieux lui dire ma façon de penser et m'éloigner le plus loin possible de lui. Ça serait dur. Extrêmement, parce que les sentiments que j'éprouvais à son égard étaient tout de même plus forts que je ne m'en était rendue compte jusqu'à maintenant moi-même.
C'est très énervée que j'arrivai devant la chambre d'hôtel où se trouvait Charlie. Énervée de par les SMS qu'on venait tout juste de s'envoyer à l'un et à l'autre. Il avait eu le temps de me répondre Comme si tu en avais. Ok avant que je ne parvienne à l'étage où se situait sa chambre. Pour reconstituer, ce que je lui avais dit juste avant c'est qu'il jouait avec mes sentiments. Avec les sentiments que j'éprouvais pour lui. Et il venait de me rejeter comme une guenille desséchée. Putain, il allait voir ce que je pensais, et de quoi j'étais capable, lorsque j'étais en colère. J'en pouvais plus de lui et des filles avec qui il trainait. Enfin, Calypso.  Je toquais à la porte en respirant pour tenter de me calmer, en vain. Sans même attendre qu'il ait ouvert la porte, je criai afin qu'il m'entende : « Comme si j'en avais? T'es qu'un con! Tu vois rien. C'est toi l'aveugle, maintenant! Pourquoi t'agis comme ça, ein? J'suis pas assez canon pour toi, c'est ça?! Ouvre, Charlie! »
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21h30. Je regardais les lettres rouges de mon réveil avec agitation et surtout sur les nerfs. J'en avais marre de ce Spring Break, de ce qui se chamboulait dans ma tête, et surtout dans mon esprit. D'un part parce que je m'étais fait frapper deux fois, et d'autre part parce que les Winthrop commençaient à me courir sans parler de Dixie. Je devais admettre que ma jalousie et ma possessivité la concernant n'était pas une chose normal. Non. J'avais envie qu'elle soit mienne et ce sentiment me terrifiait. Je m'étais promis de profiter de la vie après Mina, et je voyais encore une fois que je n'arrivais pas à tenir ma parole. J'étais donc trop faible pour me refuser à une femme ? Du moins en cet instant, la jeune femme avait réussit à m'indigner. Par son comportement mais aussi par ses paroles que je trouvaient trop forte. Je connaissais les femmes, une fois qu'elles se disent amoureuses, ça dure quelques semaines avant de vous tromper. Je n'avais pas envie de cela. Et puis, merde, je supportais plus la jalousie qu'elle arrivait à me faire ressortir. Je l'attendais donc, après avoir prit une bonne douche qui avait réussit ne serais-ce qu'un peu à me détendre, dans ma chambre. « Comme si j'en avais? T'es qu'un con! Tu vois rien. C'est toi l'aveugle, maintenant! Pourquoi t'agis comme ça, ein? J'suis pas assez canon pour toi, c'est ça?! Ouvre, Charlie! » Tiens, quand on pense au loup, en voilà le bout de la queue. Je n'appréciais d'autant plus, le fait qu'elle gueule devant la porte, après tout, je n'avais pas envie que tout l'hôtel soit au courant de notre dispute. Je me levais donc rapidement de mon lit, en ouvrant la porte pour la laisser rentrer, puis refermer celle-ci. Les sourcils froncés j'étais prêt à répliquer et à lui dire le fond de ma pensé. « Je suis qu'un con ? Ah ouais ? Vraiment ? C'est trop facile Dixie et arrête avec ta plastique, bien sûr que tu l'es merde ! Mais t'es trop compliqué. De une pourquoi tu m'as mentis sur tes yeux le soir de la pleine lune, hein ? Te promener sans ta canne, j'aurai du comprendre. Finalement t'a raison je suis trop con ! Mais sache que je hais les mensonges ! » Dis-je avec mécontentement, tandis que le ton de ma voix c'était élevé. Je ne comptais pas lui donner raison, j'étais bien trop têtue pour ça. Et même si je venais d'avouer d'une manière détourné que je me souvenais de notre première soirée, je préférais tourner la conversation à mon avantage.

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« Je suis qu'un con ? Ah ouais ? Vraiment ? C'est trop facile Dixie et arrête avec ta plastique, bien sûr que tu l'es merde ! Mais t'es trop compliqué. De une pourquoi tu m'as mentis sur tes yeux le soir de la pleine lune, hein ? Te promener sans ta canne, j'aurai du comprendre. Finalement t'a raison je suis trop con ! Mais sache que je hais les mensonges ! » Ouais, j'pouvais pas le nier, il était vraiment con. Mais pas comme il le pensait. J'l'avais pas trahi... Il avait juste jamais réussi à lire mes messages. Ou plutôt, il avait jamais voulu. Il avait jamais compris pourquoi je rougissais en sa présence, non plus. J'étais une fille. Bien normale, avec des sentiments sincères, qui avait déjà connu la souffrance côté coeur et qui espérait ne pas souffrir de nouveau. Probablement comme bien des gens. Lui, je ne savais pas pourquoi il tenait tant à me repousser comme ça depuis... depuis après ce premier jour dont il ne se rappelait supposément pas. J'étais enragée comme jamais, et j'étais prête à crier dans tout le corridor s'il fallait, mais il n,en fut pas nécessaire, puisque Charlie m'avait tirée de force dans sa chambre en prenant bien soin de fermer la porte avant de me dire ce qu'il pensait lui aussi. Il élevait le voix. Ah ouais? Moi aussi j'étais capable de jouer à ce jeu là. Surtout que ce n'était pas bien difficile en ce moment même. Mais moi, ce jeu là, je jouais du côté de la sincérité. J'avouais tout, sans rien nier. Mais j'voulais pas avoir tord... Alors j'me battais. Avec férocité, même. « Oui t'es con, Charlie! J'arrête pas avec ça, j'te pose la question, parce qu'on dirait que justement j'suis pas assez bien pour toi et que j'le serai jamais! Pourquoi j't'ai menti? J't'ai jamais menti! J'voulais te garder la surprise, parce que... Parce que depuis cette soirée des fermiers, j'avais de l'espoir. Mais avoir d'l'espoir avec un gars comme toi c'est être naïve, ein! » Je commençai à marcher de long en large. J'tenais pas en place, j'pouvais juste pas rester figée devant lui alors que le sang me montait aux oreilles petit à petit. Je continuai sur ma lancée. « Moi, je déteste qu'on ME prenne pour une conne! Pourquoi t'es allée avec Calypso à ce party sur le yacht, ein?! Qu'est-ce qu'elle a de plus, ein? Ah, je sais... Elle avait des yeux! Oui, c'est ça! Alors que moi, à ce moment là, tu savais pas encore pour les miens... Alors là.. » Je sentis des larmes me monter aux yeux. Des colères de je ne sais quelles émotions. Tout était mélangé.
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J'étais conscient que me défouler sur elle, n'avait rien de bon, mais j'en avais se besoin. Celui de mettre tout au clair pour peut être repartir sur de bonnes bases ou du moins, il fallait que je soit fixé. Je ne comprenais pas ce mensonge sur sa vue retrouvé, sa jalousie et son rapprochement avec Feliks. Je voyais tout aussi bien sa colère que j'avais bien du mal à comprendre sur le coup. Ce n'était pas la même Dixie qui avait dit à ce con de Winthrop que j'étais qu'une simple distraction. Je l'avais plutôt mal digéré puisqu'en général la gente féminine m'accordait de l'attention de part mon physique mais aussi ma prestance. L'idée que je ne la séduise pas ou bien que je sois quelqu'un sans importance m'énervait à un point que je n'arrivais pas à comprendre. A part me dire que ce sentiment ressemblait à de la jalousie, j'étais perdu. « Oui t'es con, Charlie! J'arrête pas avec ça, j'te pose la question, parce qu'on dirait que justement j'suis pas assez bien pour toi et que j'le serai jamais! Pourquoi j't'ai menti? J't'ai jamais menti! J'voulais te garder la surprise, parce que... Parce que depuis cette soirée des fermiers, j'avais de l'espoir. Mais avoir d'l'espoir avec un gars comme toi c'est être naïve, ein! » Elle avait de l'espoir ? Trop naïve à mon sujet ? Je leva les yeux aux ciels en comprenant peu à peu qu'elle était mordue. Je n'étais pas gêné par cela, puisque j'en avais aussi l'impression envers elle, non mais tout ses coups de jalousie m'avait pourrit plus d'une soirée et je ne le supportait plus. « Je suis con, vraiment ? Je me demande lequelle de nous d'eux l'est le plus après ce qu'il s'est passé à la soirée des fermiers justement. Et puis, j'aurai aimé le savoir avant.. Feliks par exemple ! Naïve ? Je t'en supplie ! En quoi tu l'aurai été, hein ? Je ne t'ai jamais rien promis. » Je n'allais certainement pas lui avouer que j'étais attaché à elle, non mon égo prenait bien trop le dessus. J'étais en colère, et mes poings se serrèrent, chose que je faisais à chaque fois que je montais sur mes grands chevaux. « Moi, je déteste qu'on ME prenne pour une conne! Pourquoi t'es allée avec Calypso à ce party sur le yacht, ein?! Qu'est-ce qu'elle a de plus, ein? Ah, je sais... Elle avait des yeux! Oui, c'est ça! Alors que moi, à ce moment là, tu savais pas encore pour les miens... Alors là.. » Pourquoi ? C'était une bonne question étant donné qu'elle n'était pas venue et qu'elle m'avait planté en beauté. « Je ne te prend pas pour une conne ! Calypso, c'est Calypso, on a pas a amener le sujet sur elle. Et arrête de ramener tout à ta vue, j'ai jamais été gêné par ça. Qu'est-ce que tu voulais ? Que je te baise comme toutes les femmes qui sont passés dans mon lit et qu'on parte, ainsi ? Si je t'y est pas mis c'est parce qu'il y a une bonne raison, merde ! » Les mots sortaient à une allure fulgurante de ma bouche, et je n'en avais presque plus le contrôle. Bien sûr que sa cécité m'avait barré la route pour la conquérir bien que je sois réellement attiré par elle mais était-ce vraiment une chose à dire ? Je n'aimais pas particulièrement avouer à une femme qu'elle me plaisait bien plus que pour un soir. Détaillant Dixie dans un état de colère, je ne pouvais m'empêcher de la trouver sexy. Le soleil était vraiment son élément. Je le voyais à sa peau hâlé sans parler de sa tenue courte qui dévoilait une partie de ses longues jambes. C'était devenue tout à coup un vrai supplice de s'engueuler avec elle.

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« Je suis con, vraiment ? Je me demande lequelle de nous d'eux l'est le plus après ce qu'il s'est passé à la soirée des fermiers justement. Et puis, j'aurai aimé le savoir avant.. Feliks par exemple ! Naïve ? Je t'en supplie ! En quoi tu l'aurai été, hein ? Je ne t'ai jamais rien promis. » Pourquoi il jouait cette carte là? J'voulais avoir le dernier mot sur lui, parce que sans cet atout...J'arriverais probablement à rien. J'criais fort, mais je n'arrivais pas à mordre. Il me faisait complètement craquer, mais m'enrageait à la fois, c'était fou cet effet contradictoire qu'il avait sur moi. J'ouvrais la bouche pour répliquer, mais la refermai. Je ne m'arrêtais pas de marcher de long en large dans la chambre. C'était comme si ça me calmait, alors que bien au contraire, ça nourrissait ce que j'avais à lui dire. « Parce que c'est moi qui serait la plus conne dans l'histoire? J'avais pas à te l'avouer avant Feliks, t'avais déjà une autre fille pour t'faire oublier mon existence. Après ce qui s'est passé à la soirées des fermiers... Ouais, j'avais de l'espoir après ça. Tu m'as rien promis. Mais tu m'as embrassée sur la plage. Tu m'as dit des trucs... Mais j'aurais dû m'en douter, t'avais bu comme une vraie merde ce soir là. » On était tellement pathétiques, tous les deux... Moi j'arrivais pas à me calmer, et je voyais bien que lui non plus. Il serrait les poings durement et c'était évident qu'il m'en voulait, ou qu'il me détestait, ou peu importe qu'est-ce qu'il ressentait. J'éprouvais la même chose que lui, voilà tout. « Je ne te prend pas pour une conne ! Calypso, c'est Calypso, on a pas a amener le sujet sur elle. Et arrête de ramener tout à ta vue, j'ai jamais été gêné par ça. Qu'est-ce que tu voulais ? Que je te baise comme toutes les femmes qui sont passés dans mon lit et qu'on parte, ainsi ? Si je t'y est pas mis c'est parce qu'il y a une bonne raison, merde ! » Alors là... La dernière phrase eut le don de me choquer. Dans le sens de me perturber assez pour bégayer quelque peu. « Je... Si Calypso c'est Calypso, alors Feliks, c'est Feliks. C'est toi qui...qui a commencé ça après tout. Putain j't'en veux. J'm'en veux. Tu m'énerves! J'te hais tellement! » Plus pour moi-même que pour nous deux, j'ajoutai : « Alors c'est quoi, la raison? » Mais je ne me rendis compte qu'après que je l'avais dit un peu trop fort, de sorte à ce qu'il puisse l'entende, lui aussi. Pour cacher ma honte, je continuai d'arpenter la pièce. En marchant toujours de long en large, je me cognai le pied sur un truc qui traînait au sol. Je grognai silencieusement de mécontentement. Ça me rendait encore moins crédible que je ne l'étais déjà. J'en avais marre, j'voulais sortir d'ici. Mais alors que je relevai la tête pour déterminer où se trouvait la porte, je remarquai le regard de Charlie posé sur moi d'une étrange façon. Qu'est-ce qu'il avait, encore? « Qu'est-ce que t'as à me regarder comme ça!? », demandai-je en fronçant sévèrement les sourcils et en m'arrêtant de marcher près du mur, à un mètre et demi de lui environ. C'qu'il me rendait folle, dans tous les sens du termes.
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« Parce que c'est moi qui serait la plus conne dans l'histoire? J'avais pas à te l'avouer avant Feliks, t'avais déjà une autre fille pour t'faire oublier mon existence. Après ce qui s'est passé à la soirées des fermiers... Ouais, j'avais de l'espoir après ça. Tu m'as rien promis. Mais tu m'as embrassée sur la plage. Tu m'as dit des trucs... Mais j'aurais dû m'en douter, t'avais bu comme une vraie merde ce soir là. » Il était clair que Dixie me montrait sa jalousie à plein nez et que j'en étais tout de même satisfait. Elle s'était tellement montré indifférente à mon sujet que j'en avais des pulsions de colère, de rancœur et de jalousie moi aussi. Je m'en rendais bien compte que j'étais épris d'elle et que mon envie qu'elle m'appartienne s’amplifiait du jour en jour. Surtout en la voyant dans les bras d'un autre Winthrop qui n'avait qu'une seule envie, celle de la sauter. « Alors pour toi Feliks, un mec que tu rencontre le jour même parce que oui, je le sais très bien que tu l'as rencontré le soir de la soirée, tu pense que c'est mieux à moi ? Je pensais que je valais mieux que ça. Je t'ai invité pour la Saint Valentin alors que je fête pas du tout cette fête et tu me remercie en me méprisant de la sorte ? Je rêve ? Mais bien sûr que je t'ai embrassé l'autre jour. Parce que j'en avais envie mais j'étais perdu.. Bref.  » Dis-je en soupirant presque exaspéré. J'allais presque lui dire ce que j'avais sur le coeur, alors que s'en étant pas du tout mon envie. Comme si je pouvais lui confier mes doutes et mes peurs la concernant. J'étais un homme et je comptais bien renfermer les sentiments que j’éprouvais. Je la regardais faire les quatre cent pas devant moi tel une furie surement du à mon comportement. Mais je n'allais pas lui donner raison, certainement pas. J'étais têtue jusqu'à la moelle. « Je... Si Calypso c'est Calypso, alors Feliks, c'est Feliks. C'est toi qui...qui a commencé ça après tout. Putain j't'en veux. J'm'en veux. Tu m'énerves! J'te hais tellement! Alors c'est quoi, la raison? » Merde, je venais tout simplement de me prendre à mon propre piège. Je déglutis le temps de trouver une raison valable. « Non Feliks il n'a aucunement le droit de te toucher, surtout avec ce qu'il a déjà touché. Je t’énerve ? Vraiment ? Tu crois que je me met en colère pourquoi là ? Et la raison ? .. Parce que j'avais tout simplement pas envie de t'y mettre et de te voir comme une conquêtes, c'est un crime ? » Dis-je un peu hargneux de devoir lui dire une partie de ce que je pensais réellement. J'étais loin de me douter que sans le savoir, sur le coup de la colère, j'avouais par mégarde ce que je ressentais à la jolie jeune femme. Et bien qu'elle me regarde avec colère, je l'a trouvais séduisante, oui, j'étais en contraction. Je m'approchais vers elle en l'attrapant par la taille d'une main pour la coller contre mon bassin. Je plongeais alors mon regard bleu, énervé dans le sien avant de lâcher quelques mots. « Rien et arrête de trépigner comme ça, tu m'agace. » Dis-je en fronçant d'avantage les sourcils. Je sentais à présent son souffle sur ma peau nue et son visage vu d'un peu trop près me faisait perdre ma motivation à l'engueuler.

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« Alors pour toi Feliks, un mec que tu rencontre le jour même parce que oui, je le sais très bien que tu l'as rencontré le soir de la soirée, tu pense que c'est mieux à moi ? Je pensais que je valais mieux que ça. Je t'ai invité pour la Saint Valentin alors que je fête pas du tout cette fête et tu me remercie en me méprisant de la sorte ? Je rêve ? Mais bien sûr que je t'ai embrassé l'autre jour. Parce que j'en avais envie mais j'étais perdu.. Bref. » Suite à ce qu'il venait de dire, un rire rauque s'échappa d'entre mes lèvres. Un rire ironique et sarcastique, qui signifiait que je n'avais même pas envie de rire. Ce qui me faisait le plus chier, c'est que Calypso avait été l'une de mes meilleures amies, autrefois. On s'était éloignées, parce que l'on partageait un horaire différent et différents points d'intérêt. J'étais donc plus que jalouse de voir Charlie accroché à son bras ce soir là. Si ça avait été une autre fille, je ne me serais pas empêchée de me pointer à la soirée seulement pour foutre une gifle à la figure de la garce pour repartir immédiatement après. « C'est pas de ma faute s'il me trouvait intéressante, lui! Mais tu vaux bien plus que ça, Charlie! Fait pas comme si tu le savais pas! En gros, tu m'as embrassé parce que t'en avais envie, mais c'était que pour voir si tu aimais vraiment ça? » C'était comme ça que je le comprenais. C'qu'il me disait, ce qu'il m'avouait petit à petit calmait mes ardeurs, mais cela suffisait à nourrir ma colère. J'voulais pas perdre la face devant lui, déjà que j'avais eu l'air plus qu'idiote de nombreuses fois devant lui, c'était bien assez comme ça. Je me passai une main nerveuse dans les cheveux, puis dans le cou, en lui jetant quelques coups d'oeil à l'occasion. « Non Feliks il n'a aucunement le droit de te toucher, surtout avec ce qu'il a déjà touché. Je t’énerve ? Vraiment ? Tu crois que je me met en colère pourquoi là ? Et la raison ? .. Parce que j'avais tout simplement pas envie de t'y mettre et de te voir comme une conquêtes, c'est un crime ? » Je baissai la tête après avoir plongé mon regard dans le sien, à la recherche d'un quelconque signe. Bingo! Il faiblissait, lui aussi. Je le voyais dans son regard bleuté, dans ses yeux que j'arrivais à voir depuis le début du Spring Break et qui me faisaient tant rêver. Il avait cet effet si fort sur moi que j'arrivais plus à m'en défaire. Plus fort encore que lorsque j'étais avec Sören. J'avais même pas le temps de répondre, qu'il s'approcha de moi en m'agrippant par la taille et en m'attirant presque férocement à lui. J'étais maintenant tout contre lui. Ma bouche était entrouverte par l'effet de surprise, et de désir. « Rien et arrête de trépigner comme ça, tu m'agace. » Cette petite phrase fit naître un faible sourire en coin sur mon visage. Je trouvai alors la force de soutenir son regard. « J'sens que j'vais le regretter. » J'en pouvais juste plus. L'adrénaline montait, et j'allais certainement pas me retenir. La colère, le désir, l'envie, les sentiments, la jalousie, tout ça... Je restai collée à lui et passai une main sur sa nuque en aggripant ses cheveux, avant de poser mes lèvres avec férocité sur les siennes. J'étais comme folle : comme si ça faisait longtemps que j'attendais ça. Le baiser sauvage dura quelques secondes, puis je reculai mon visage, y mettant fin. Mon regard s'était adouci, mais j'ressentais toujours la même chose. Aucun mot ne sortit de ma bouche, comme si j'attendais silencieusement la suite. Si je ne me reculais pas pour m'éloigner physiquement de lui, c'était bien pour une raison : j'me sentais bien, mais y'avait toujours un truc en moi qui bouillonnait.
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J'étais à présent collé contre elle, malgré mon énervement toujours bien présent. Je n'en pouvais juste plus de la voir marcher de long en large et de l'entendre déchaîner sa colère sur moi. Oui, j'avais couché avec Calypso. Je n'allais pas mentir la-dessus. Mais le sentiment que j'avais ressentis lors de son rapprochement avec Feliks m'échappait toujours. J'étais jaloux et je ne comprenais pas la raison. Oui, j'étais attaché à elle, mais au point d'être jaloux ? J'étais perdu, et ce moment avec Calypso me permettait juste de faire une pause, un break qui me faisait un énormément bien. Même si mes sentiments étaient encore brouillé. « C'est pas de ma faute s'il me trouvait intéressante, lui! Mais tu vaux bien plus que ça, Charlie! Fait pas comme si tu le savais pas! En gros, tu m'as embrassé parce que t'en avais envie, mais c'était que pour voir si tu aimais vraiment ça? » Comme si je l'a trouvais inintéressante. Sérieusement ? J'avais cogné un mec pour elle, et je l'avais invité lors de la saint valentin. Je l'avais embrassé pour savoir si j'aimais ça ? Je plissais les yeux en soupirant fortement. Je l'avais embrassé parce que j'en avais envie, j'en mourrai d'envie depuis notre rencontre. « Comme si je te trouvais inintéressante ! Tu sais très bien que je te porte de l'attention et ça depuis un moment déjà ! Et oui, je m'en souviens très bien, mais je ne l'ai pas fait pour savoir si j'aimais ça, merde ! J'ai peut être bu ce jour-là, mais quand j'ai envie d'une chose je le fais par envie, et non pour savoir si j'aime ça ou je ne sais quoi. Tu comprend pas quoi la-dedans ? » Dis-je sur un ton rauque et décidé. Je perdais le fils de la discussion à cause de la jeune femme, de se rapprochement si soudain que j'avais crée. Un silence se fit alors, tandis que nos regards se soutenaient et que ma main se trouvait toujours dans le bas de son dos. Je n'arrivais plus à bouger, bien trop occupé à rester hypnotisé par ses beaux yeux vert. « J'sens que j'vais le regretter. » Je ne comprenais pas bien ses mots sur le moment, ou du moins, je m'attendais à recevoir une gifle mais au lieu de cela, elle vint m'agripper les cheveux et m'embrasser sauvagement. Bizarrement, je n'avais pas cherché à savoir le pourquoi du comment, non, je m'étais tout simplement exécuté de même en suivant le baiser qu'elle me donnait. Puis, elle se recula rapidement et j'arrivais à lire dans son regard la même incompréhension que moi. On venait tout deux de s'embrasser alors que nous venions de s'engueuler. J'étais surpris mais à la fois, je ressentais que j'aimais ça. Surtout la façon dont elle m'avait donné ce baiser si fougueux et sensuelle à la fois. Tel un idiot, je restais planté sur place avant de m'approcher à grand pas vers elle et de l'embrasser avec passion et envie. Depuis le temps que j'en voulais. Que je désirai l'embrasser. Toucher lentement son cou frêle, ou du moins en cet instant, je me montrait pressé, et rapide étant donné que mes pulsions de colères se changeaient peu à peu en envie. Moi qui m'étais toujours interdit cette relation avec elle, je craquais sous le poids de sa beauté et de son côté sexy une fois énervé. En l'embrassant, je ne lui laissais aucun répit. J'avais assez attendue comme ça, et je sentais que l'attirance était présente, sans parler de nos sentiments respectifs que je devais bien admettre, étaient réels.

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« Comme si je te trouvais inintéressante ! Tu sais très bien que je te porte de l'attention et ça depuis un moment déjà ! Et oui, je m'en souviens très bien, mais je ne l'ai pas fait pour savoir si j'aimais ça, merde ! J'ai peut être bu ce jour-là, mais quand j'ai envie d'une chose je le fais par envie, et non pour savoir si j'aime ça ou je ne sais quoi. Tu comprend pas quoi la-dedans ? » Tout ça, cette guerre, cette espèce de bataille mutuelle qu'on s'offrait à l'un et à l'autre depuis des jours pour rendre l'un et l'autre jaloux, et pour provoquer, attirer l'attention, ou je sais pas quoi.. Enfin, je savais pourquoi, je comprenais pourquoi, mais j'en pouvais plus de jouer à ce jeu. J'sentais que j'allais regretter mon geste. L'embrasser avec cette fougue... Ce côté sauvage, sensuel, attiré, envieux, sentimental... Il aurait pu me repousser. C'est pour ça qu'après seulement quelques secondes, je préférai rompre le baiser et reculer de quelques pas, non seulement afin de reprendre mon souffle, mais également pour voir sa réaction. Son envie à lui... Dans des moments comme ceux-là, j'arrivais pas à parler. Ou presque pas. Surtout que ma bouche fut de nouveau occupée par nulle autre que la sienne. Il revint à l'attaque. Ses lèvres qui agrippaient les miennes pour m'embrasser de nouveau. Ça allait vite, même trop vite, mais je m'en foutais, parce que j'ressentais cette envie, et lui aussi ressentait la même chose. Pas difficile à deviner, non plus. Pas besoin d'avoir des dons pour le ressentir. Je prolongeai le baiser quelques instants avant de le rompre une nouvelle fois. Mon regard plongea directement dans le sien. Il était plus doux, plus calme, et bien moins colérique ou dégoûté. J'pouvais pas lui résister à l'instant même. Je pris sa main et tout en reculant lentement, sans le quitter des yeux, je l'attirais à moi, pour nous entraîner ensemble, dans une chute, qui nous fit tomber directement sur le lit. Mes mains passaient sous son chandail, dans le haut de son dos, et je mordillais sa lèvre en reprenant le fougueux baiser. « J'en ai envie.. Merde, j'ai envie de toi. » C'était sorti. J'avais envie de lui comme jamais. Je pouvais tout simplement plus me retenir, maintenant.
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