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si j'avais su, j'aurais pas venu ↛ blake

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Jour 9

Heure : 22 heures
Lieu : sur le chemin vers THE soirée avec David Guetta
Contexte : Joan et Blake se rendent à la soirée ensemble, et ce boulet veut pas écouter les indications de la Queen J  si j'avais su, j'aurais pas venu ↛ blake 927261665 
Participants : Joan-Frances M. Lindley ( si j'avais su, j'aurais pas venu ↛ blake 208576344 ) et Blake J. Miller ( si j'avais su, j'aurais pas venu ↛ blake 2399534397 )


Dans sa vie Joan traînait deux sortes de boulets : les boulets qu'elle supportait parce qu'elle les aimait de tout son cœur – par exemple sa mère et son père – et les boulets qu'elle supportait parce qu'elle n'avait pas d'autre choix. Blake en faisait partie. Il était vingt-deux heures, David était probablement déjà vexé de leur absence, ils allaient se faire refouler à l'entrée de l'hôtel parce que des centaines de touristes seront déjà sur place, mais nooon, monsieur Miller met plus de temps qu'une fille à se préparer. La jeune femme était en sueur dans sa robe de plage, elle voulait aller à cette fichue soirée pour faire ce que tout le fait en période de Spring Break, c'est-à-dire la fête, mais malheureusement quand il avait fallu trouver quelqu'un pour s'y rendre, tout le monde était partie et il n'y avait plus que le blond pour l'accompagner. Encore une fois – c'était la cinquième – elle tambourina contre la porte de la chambre du Quincy. « ça te dérangerait d'accélérer le rythme ? On va arriver Guetta sera déjà dans l'avion pour Los Angeles, et tu sais quoi ? C'est super loin Los Angeles on entendra pas ce qu'il fait. Bouge-toi c'est pas vrai ! » Lindley redonna un coup dans la porte de l'hôtel, au pire si elle la défonçait, c'était pas à elle de payer la caution. « Allez, enfile tes escarpins Cendrillon et on y va, on va pas au bal là ! »
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Blake était toujours en retard. Ca il l’admettait c’était une vrai plait à ce niveau-là et encore plus pendant le spring break. Pourtant il y mettait du sien, là il était rentré super à l’avance, se disant qu’il pourrait ainsi bien se préparer pour THE fête, et puis, bah il a pris de temps. En fait au départ, il a jugé utile de se reposer un peu, parce qu’après, il allait être grevé et pourrait pas bien profiter. Et puis il s’était réveillé à la bourre. Et oui, il s’énervait sur lui-même et encore deux fois plus quand il entendait de la voix de la seule Quincy qu’il pouvait à peine supporter. Elle était insupportable. Elle lui râlait dessus mais elle était pas mieux, elle aurait pu déjà y être si elle avait mieux gérer non ? Bon bref, il tenta une dernière fois de faire quelque chose de ses cheveux. Putain j’aurai du les couper avant le spring break. Il était en tenu habillé mais décontracte, parce que bon tu peux pas non plus te ramener trop débile devant David quoi. Il entendit le cinquième toquage, si elle défonçait la porte, elle allait payer. Quoi que non, elle aurait jamais assez de force pour le faire. Il ouvrit alors la porte d’un coup. «  Tu m’étonnes que t’es trouvé aucun ami pour t’y accompagner, tu as un don ma chère, un don pour stresser les gens » il lui sourit gentiment, mais un peu pour se moquer quand même. Il s’avança dans le couloir d’un pas pressé, passant devant Joan « bon tu te dépêches ?» Il rigola un peu, mais c’était trop tentant.
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Frances pressa le pas pour se mettre au niveau de Blake. Enfin le niveau, genre marcher sur la même ligne, par que niveau intellectuel elle était nettement plus élevée que ce babouin blond. D'ailleurs, elle courait presque. Il faisait de grands pas cet abruti. Quoiqu'il faisait sûrement exprès pour embêter Joan, comme tout ce qu'il faisait. Elle le voyait bien en short brillant et marcel doré, tapant dans un pushing-ball sur lequel il aurait collé la photo de la Quincy. Même pas c'était méchant, mais Joan s'inquiétait sérieusement pour la santé mentale de ce pauvre Miller. Elle avait lu un jour un article sur le village de 100 personnes censé représenter la population mondiale. Elle avait trouvé tout le monde sauf le malade mental, et en fait, en y pensant, elle venait de le trouver. Alors qu'ils marchaient, elle le regarda un moment, elle était vraiment désolée pour lui. Elle était prête à devenir adorable avec lui, il méritait d'être bien entouré. Quoique... « Je stress absolument personne, il n'y a que toi, parce que tu es le seul qui me donne pas envie d'être détendue. Je me dis que si je te lâche une seule seconde tu vas voler un avion dans la mer à l'Est de la Chine et qu'on ne le retrouvera jamais. Tu es dangereux Miller, je le vois dans tes yeux. » Joan appuya en même temps sur le bouton de l'ascenseur puis elle fit une courbette. « Après vous ma chère. »
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Joan était la fille la plus énervante et la plus compétitive qu’il avait jamais rencontrée. Mais Blake en était sûr, si elle l’énervait autant c’était parce qu’elle avait un faible pour lui. C’était connu non ? Qui aime bien châtie bien. Bon personne n’était de son avis, mais lui il était certain de ça. Il lui fit la plus mauvaise moue qu’il pouvait lui faire. Si elle croyait qu’il allait un jour devenir son petit chien chien : JAMAIS ! L’ascenseur était super lent, très lent, plus lent qu’à l’habitude. Il ne répliqua pas à son énième pic. Mais la vengeance est un plat qui se mange froid. Il était un Emilie Thorne en lui-même quand il le voulait. N’empêche elle était culoté de me comparer à un détourneur d’avion, après il avait passé une année à Haïti. Et puis il avait peur de l’avion, tant qu’à faire, il aurait détourné un bateau. Il se laissa tombé, l’épaule sur le « mur » de l’ascenseur, ils faisaient trop chaud dans cette boite. Et lorsque son épaule toucha le mur froid, l’ascenseur se cala. « Oh non Lindley qu’est-ce que t’as encore fait ? » Ok, là ils allaient définitivement être en retard. Il appuya sur le bouton d'alerte. Non mais quelqu'un allait venir les aider. Parce que dans cette endroit confiné avec une chaleur pareil et surtout avec ELLE. Il ne tiendrait pas une minute de plus

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Bizarrement elle le sentait mal, un ascenseur c'est pas une fusée qui décolle vers le ciel, surtout qu'en théorie ils devaient descendre puisqu'ils avaient appuyé sur le bouton 0, mais ça allait tout de même un peu plus vite que ça. Puis il s'arrêta le traître. Pour la deuxième fois en deux semaines. Joan commençait sérieusement à songer à porter plainte contre l'hôtel ou même à leur payer un nouvel ascenseur qui ne s'arrête pas systématiquement à chaque fois que la jeune femme veut le prendre pour descendre plus vite. Là encore, tout ça n'est que théorie. Vu que quand elle le prenait il tombait en panne, elle mettrait deux fois moins de temps à descendre directement les escaliers. Mais le pire dans tout ça, c'est qu'être enfermée dans un ascenseur avec Joshua Dwight c'était vraiment un truc qu'elle avait aimé, mais avec Blake Miller c'était clairement un cauchemar, pourquoi le sort s'acharnait-il sur elle ? Et en quoi c'était sa faute à elle ? Elle n'était pas l'ascenseur, elle était dans l'ascenseur. Nuance. Elle n'avait donc aucunement à voir avec l'arrêt de celui-ci. « Tu te fous de moi ? J'y suis pour rien ! » Joan préféra rester debout avant de marmonner. « J'en étais sure, j'aurais du rester dans ma chambre, déjà il fallait que j'y aille avec toi, c'était un signe pour me dire qu'il fallait pas que j'y aille. »


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Joan était la femme la plus chanceuse en ce moment, enfermé avec lui beaucoup de femmes en rêvaient. Il laissa échapper un rire, il fallait bien l’admettre elle était quand même marrante la petite Joan. Il se releva, et bien qu’en train de rater toute la soirée, il s’amusait quand même. Il appuya plusieurs fois sur le bouton zéro. Il appela sur le bouton urgence. « Je n’ai jamais cru au signes du destin. Parce que si il y a un destin, c’est un enfoiré » sa phrase avait l'air sèrieux d'un coup, c'était rare mais cela cachait un stress maitrisé... il fit un petit sourire en coin et puis personne ne répondit: Le bouton d’urgence ne servait à rien. « Putain que de la merde ! » il tape du poing sur le mur de l’ascenseur. Et celui-ci redémarra. Il se retourna, au ralenti, vers la demoiselle, un sourire de vainqueur sur le visage. « Oses dire après ça que je ne suis pas le mec le plus génial que t’as jamais rencontré » Il souleva un sourcil, son sourire toujours scotché sur le visage. Bon il avait quand même où de la chance, parce que Blake était très mal dans des endroits confinés, son côté viril en aurait pris un coup. Et il donnerait tout pour ne pas montrer un seul signe de faiblesse à Joan.

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Croyez-moi bien, dans la tête de Joan, être enfermée dans trois mètres carré avec Blake Miller le blond lui plus blond qui lui avait été donné de rencontrer, ça n'avait vraiment rien du rêve. Même pas un cauchemar, c'était pire qu'un cauchemar. Parce que dans le cauchemar, la fille peut au moins courir, au risque de mourir sous un coup de hache d'une armure de chevalier vivante dans le couloir vers la sortie du château hanté du vampire tueur. Mais non, là, la seule sortie possible c'était la trappe au plafond. Au moins son expérience de la panne d'ascenseur première version quelques jours plus tôt lui aura au moins permis de prendre connaissance des différentes possibilités qui s'offraient à elle au cas où ça arriverait de nouveau. Et alors que la brune était en panique totale à l'idée de mourir d'étouffement dans un ascenseur avec Miller, monsieur se la jouait intello super profond émotionnellement et psychologiquement. C'est bon pas la peine de prendre Einstein pour un Segpa, c'était clairement l'histoire de la souris qui assure au chat qu'elle est un chien pour pas se faire bouffer. Sauf que le chat est pas débile. Elle hésitait entre répliquer ou se foutre de la gueule du Quincy qui s'excitait tout seul contre l'ordinateur de l'ascenseur quand ô miracle il redémarra. « Ça va Miller, redescend sur Terre, t'as jamais rien réussi, c'est pas toi qui va arriver à faire redémarrer un ascenseur. »
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