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l'amitié née d'un rien, fleurit d'un tout + ARTUR

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l'amitié née d'un rien, fleurit d'un tout.
w/ Artur K. Mordachov.

Il faisait beau en ce mois de Mars et étonnamment chaud, ou si rapprochant. Cela se sentait dans l'intégralité de l'université, les gens sortaient, trainaient. C'est ce que je comptais faire, une fois mes cours terminés. Je suivais ses derniers sans vraiment m'y intéressé, j'aimais ce que je faisais ce n'était pas le soucis, mais mon esprit avait tendance à se laisser porter par le reste ce qui pouvait être bien et pas bien en même temps. Etonnant quand même. J'avais pris l'habitude depuis toujours, enfin depuis que j'étais à Harvard, de me poser dans ce parc où certain jeune se retrouvait, où je pouvais me poster tranquillement pour écrire. C'est ce que je faisais aujourd'hui. Je marchais tranquillement avant de poser contre un arbre, tranquillement. C'est en relevant la tête que je vis des garçons jouant au foot, enfin... Ici ils appelaient ce sport le soccer. C'était carrément rare de les voir jouer à cela, et j'appréciais les jeux de jambes, pour ne pas dire les jeunes hommes présents. Mais je ne devais pas fantasmer comme cela, je levais les yeux au ciel avant d'apercevoir une tête connue, reconnue. Artur. d'un mouvement de la main, lorsque ce dernier tournait la tête vers moi, je lui faisais coucou, contente de le voir. J'avais envie de crier une idiotie, juste pour l'encourager et lui foutre la honte de sa vie, j'évitais, je n'avais pas particulièrement envie de me faire remarquer. Je secouais juste des mains, comme si j'avais des pompoms invisibles avant de lui faire un clin d'oeil. Je replongeais dans mon livre, comme pour me cacher... Peu persuadée, qu'il vienne me rejoindre.
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du jambon, des gens bons

Qui aurait cru qu'une larve dans ton genre prendrait autant de plaisir à se noyer dans des litres et des litres de sueur ? Le soleil tape, la chaleur grille ton enveloppe charnelle d'une pâleur insoupçonnée et les dribles s'enchaînent sans jamais véritablement cesser. Le soccer, c'est une passion d'enfant. Un rêve même, certain jour. Tu y joues pas pur plaisir, peu importe qui se trouve en face de toi. Dès lors que ton pied se pose sur le ballon rond, plus rien n'a de véritable importance. Du moins jusqu'à ce que tu aperçoives la bouille ronde de Cerceï. Le smile jusqu'aux oreilles, tu réponds à son salut d'un léger hochement de la tête avant de te rabattre progressivement sur la touche. Empoignant une bouteille d'eau sur ton passage, tu entreprends de t'avancer vers elle, retirant dans un même temps ton t-shirt totalement trempé pour mieux laisser apparaître une fine musculature. Le souffle éreintée, tu t'assieds lourdement à ses côtés, adossé contre l'écorce brute de l'arbre juste derrière vous. hhhh...salut toi ! Qu'est-ce que tu fais ici ? lâches-tu tout en engloutissant une énorme gorgée d'eau. J'suis mort putain hhh...j'te fais pas la bise, j'dégouline de sueur.
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w/ Artur K. Mordachov.

C'est durant cette fête pour Halloween que j'ai fais la rencontre d'Artur, il est paumé, canon mais sympathique. Ouai le terme, le genre de mec à briser le coeur de toutes les femmes sans vraiment sans rendre compte, parce qu'il cherche ce quelque chose au plus profond de lui même enfin d'après ce que j'ai vu en le côtoyant en tous les cas. Il avait la passion du football, celui que j'aime, le sport où je suis capable de hurler comme une folle devant une télévision, je pouvais aussi le faire pour Artur. Mais hic, et comble du bonheur, il s'approcha de moi enlevant son t-shirt. BORDEL de merde, il doit pas faire ça, je suis qu'une pauvre pauvre petite nature, qui bave devant son corps agréable à regarder, à toucher, je peux ? NON reviens Cerceî et reprend toi, il s'installe près de moi. « ça se voit pas, je fais du tricot. » Ah super drôle. Qu'il dégouline de sueur ou pas, cela ne m'aurait pas gêné pas du tout qu'il m'embrasse. Je revenais à moi, enfin mon esprit venait de raccrocher à une bouée. « J'aime écrire, mon côté poète incomprise. Tu joues souvent au foot ici ? » Je pinçais mes lèvres avant de le regarder pour de bon, ralala pourquoi les mecs trop canon sont-ils les pires de tous, je veux dire inaccessible, gay ou pris. Injustice. « Tu te rattraperas pour la bise, je prend note. » Je levais les yeux au ciel avant d'ajouter sérieusement. « C'est obligé l'effet sportif sans t-shirt ou suis-je une privilégiée ? » Je pouvais toujours rêver n'est-ce pas ?
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Pour être honnête, tu ne te souviens plus très bien des détails de votre rencontre. Ce qui au final t'importe peu puisque vous êtes devenus de bons amis. Péniblement tu détends tes jambes, faisant craquer tes articulations endolories. T'es un habitué des plâtres, et tes os en gardent encore aujourd'hui les séquelles. Raison qui, d'ailleurs explique en grande partie ton incapacité à pratiquer autant de sport que tes frères. C'plus tellement la saison pour ça... Tu lui adresses un sourire moqueur ainsi qu'une œillade complice. Quelques gars t'adressent des regards gorgés d'incompréhension. Tu n'y réponds pas, détournant simplement ton attention sur Cerceï. T'es conscient qu'on pourrait te charrier pour l'affection que tu lui portes, et pourtant jamais personne ne t'as fait une quelconque remarque jusqu'à présent. Alors tu attends, sûrement curieux de savoir quelle sera ta réaction. Sérieux tu écris ? J'peux lire ? Un temps. Heu...ouais, 'fin l'hiver j'évite à cause du froid et j'reste en salle mais dès qu'il fait beau j'sors et j'trouve toujours des gars avec qui jouer. Excuse qui pourrait paraître complètement bidon aux premiers abords et pourtant. Comme dit plus haut, t'es cassé de partout, et le froid a tendance à abîmer encore plus tes articulations. En plus de te faire attraper la crève évidemment. Enfin. Si tu ne fais pas de sport en plein froid c'est avant tout pour éviter les foulures à répétition, car malheureusement t'es malgré toi un fidèle abonné. Bref, passons, sa remarque te fait rire. J'peux allez chercher mon sweat si ça t'gêne autant. Étonnamment, depuis quelques jours, tu commences à jouer les dragueurs -certes, drague de collège- avec Cerceï, un comportement que toi-même tu as du mal à expliquer d'ailleurs. Tu ne te sens pas spécialement attiré par elle -ne serait-ce que parce que toutes tes pensées sont tournées vers Jelena- et pourtant, tu prends un malin plaisir à la tester. Quelque part, elle t’attendrit. Une fois encore, tu es curieux de la voir avec un supposé petit ami. Juste comme ça, histoire de découvrir c'que ça donne. Alors oui, clairement, tu serais capable de lui arranger un coup. Et si on en parlait ? D'ailleurs dis-moi, t'as un mec en vue en c'moment ?
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w/ Artur K. Mordachov.

Je n'ai jamais aimé les gens qui me dévisageaient, qui me jugeaient sans savoir vraiment qui je pouvais être. Ces gens là, je n'hésitais pas à les mépriser, autant qu'eux ils pouvaient le faire à mon égard. C'était tellement puérile de la part de tous ses gens que je haïssais toujours un peu plus le comportement de ces gens. Je les voyais, au loin, ses amis, qui nous regardaient avec un air, que je ne connaissais que trop bien. J'avais envie de partir, parce que cette situation avait toujours le don de me faire mal. Mais je ne disais rien, je m'occupais juste d'Artur, près de moi. Il avait fait le déplacement jusque moi, je lui devais bien cela. « Je prépare mes pulls pour l'hivers prochain. » Personne n'était dupe, mais j'avais envie de le dire et de le taquiner un petit peu. « Jamais tu ne liras ce que j'écris, il faut mériter de lire mes horreurs. » Je lui souriais, même si au fond, je savais qu'il n'y aurait rien d'intéressant à lire ce que je pouvais rabâcher à longueur de journée. Je le regardais alors, levant finalement les yeux au ciel. « Tu pourrais, c'est vrai, mais reste comme cela, je laisse mes yeux en profiter, mon petit plaisir de la journée. » Il jouait à ce jeu avec moi, je n'allais pas me laisser faire, car dans un sens, je crois que j'aime ce petit jeu là même si je n'étais pas conne ou naïve, je savais combien ça n'allait nulle part. Sa dernière question me surprit, principalement par le ton assez sérieux qu'il entretenait. J'avais des tonnes de mecs en vue, Harvard débordait de beaux gosses, de mec sexuellement attirant, mais en vu de mon physique je ne dépassais jamais le stade du... strictement virtuel. « Et toi t'as décidé d'être un mec bien ? Artur, tu as vu à qui tu t'adresses, la fille avec qui personne ne veut trainer, hormis les idiots comme toi ou les moches. Non, personne de délicieux et toi ? Décidé à être un gars bien ou bien tu te donnes bonne conscience en parlant avec moi, alors que tes amis là bas se demande ce que tu fous avec la grosse. » Mon ironie scindant venait de faire de nouveau des ravages, mais j'avais pas envie de répondre à la réponse simplement parce que je ne voyais pas en quoi la question se posait. Personne ne s'intéressait à moi, personne.
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