It's a lie to say that I like it ◊ loukas.

It's a lie to say that I like it.

Saint Domingue. Un endroit merveilleux et une journée tellement magnifique que pour la terminé, elle a accepté de rejoindre quelques amies sur la plage pour boire un verre et ensuite profiter de la soirée. Elle aimait être ici, il y avait tellement de choses à faire, tellement d'endroit à découvrir et encore tellement de fête. Après ce petit verre au bord de l'eau c'est d'un commun accord qu'lles ont décidé de se rendre dans la boite la plus proche histoire de ne pas avoir à trop marcher et surtout de pouvoir profiter de cette soirée jusqu'au bout. Entrant à l'intérieur, la soirée pouvait enfin commencer enfin jusqu'à ce qu'elle commande mon verre et que mon regard se pose sur Loukas. Ce mec, elle ne peut pas le voir en peinture et pourtant elle a couché tellement de fois avec lui La logique ? Il n'y en a pas. « J'arrive » dit la brunette à ses amies qui se trouvaient déjà sur la piste de danse alors qu'elle attendait tout simplement son verre.

La première semaine du Spring Break avait défilé à une vitesse folle, les jours et les nuits défilaient sans que mon cerveau ne capte quoi que ce soit. Les souvenirs s’embrouillaient, sans doute à cause des soirées, des filles et de l’alcool mélangé à la drogue. C’était ça faire la fête, c’était ça prendre du bon temps et s’amuser, ça me rappelait parfois les soirées que j’organisais dans la villa familiale à New York. Parfois la ville me manquait, le jet luxueux de mon père également, mais disons que je compensais autrement, je trouvais d’autres activités pour me vider l’esprit. Ce soir, j’avais décidé de retourner dans la boîte de l’hôtel en compagnie de quelques amis afin de passer une énième soirée incontournable. J’ignorais combien de fric j’avais claqué durant cette semaine, certainement trop, j’imaginais déjà la tête de mon banquier, mais au pire, je m’en foutais, j’étais plus que riche alors… Assis sur une banquette au coin VIP, je balayais la salle du regard jusqu’à ce que celui-ci se pose sur un corps que je connaissais bien, celui-ci délicieusement taillé de Meadow. Je me levais alors d’un bon en affirmant que j’allais commander une bouteille. Elle avait l’air seule au bar, ce qui me réjouissait d’autant plus. Je passais alors derrière elle et l’empêchais de se dégager en posant mes deux mains sur le bar. « Alors, on passe une bonne soirée mademoiselle Rhodes ? »

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Ce soir, soirée entre fille pour profiter du spring break encore et encore. Il ne faisait que de commencer alors pourquoi ne pas en profiter comme il se doit. Bon, elle ne voit plus trop son petit ami depuis leur arrivé, mais elle essaye juste d'oublier tout ça en faisant la fête et en profitant de chaque instant avec ses amies. Attendant son verre, ses amies étaient déjà partie s'installer à une table non loin. Souriant au barman une fois son verre devant elle, la jolie brune s'apprêtait à s'en aller, mais lorsqu'elle s'est retourné, c'est nez-à-nez avec Loukas qu'elle s'est retrouvé. Regardant de chaque coté, faut croire qu'il n'avait pas envie qu'elle s'éloigne de lui et malheureusement pour elle, il savait comment la garder à ses cotés sans qu'elle ne puisse s'enfuir. « Qu'est-ce que tu veux Jefferson ? » demanda t-elle en souriant « Va falloir que tu te trouve une autre passion mon grand. »

Cette soirée s’annonçait banale, elle avait un léger air de routine, du genre, boire, se droguer, draguer et rentrer avec une jeune femme dont je n’allais même pas apprendre le prénom, où était l’importance après tout ? Mais en posant mon regard sur Meadow, j’avais tout de suite su que cette soirée allait être plus passionnante, beaucoup plus explosive, et ce n’était pas pour me déplaire. Je l’observais longuement en m’approchant, la bloquant ensuite contre le bar, humant son parfum si léger au milieu de mecs accoudés au bar puant la transpiration. Lorsqu’elle se retourna, je lui adressais un magnifique sourire charmeur dont j’avais le secret, puis j’arquai un sourcil une fraction de seconde. « Juste de saluer en homme courtois que je suis. » Je posais alors mon regard sur son doux minois, et alors qu’elle essayait de m’atteindre avec une pique, je me mettais à rire, me rapprochant encore plus d’elle. « Une passion ? J’aime bien nos ébats pour sûr, mais de là à dire que c’est une passion, tu pousses le bouchon un peu trop loin. Cependant je te pardonne car tu es très en beauté ce soir. »

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Serait-elle venue dans cet endroit si elle avait su qu'il y serait ? Sûrement pas. Comment résumer leur "relation", plus en un seul mot : électrique. Oui, voilà ce qu'ils étaient. Elle le déteste, mais ne résiste jamais à l'envie de lui sauter dessus. Enfin, depuis qu'elle est avec César, la brunette reste assez sage et pour tout avouer, elle l'évite constamment. Sachant très bien qu'il y a cette forte tension entre eux et que c'est toujours une question de temps pour qu'il arrive à ses fins. « Je ne savais pas que la courtoisie était dans tes qualités » dit-elle avec son verre à la main. Elle aurait bien voulu rejoindre ses amies, mais c'était raté, bloqué par les bras du jeune homme. Faut dire qu'elle ne trouvait pas ça désagréable, mais le montrer ? Sans façon. D'ailleurs, lorsqu'il s'est rapprocher d'elle, elle a essayé de se reculer, se heurtant légèrement contre le comptoir du bar, sachant parfaitement qu'il venait de la coincer « Oh, vraiment ? C'est peut-être pour ça que tu reviens toujours vers moi ? » arquant un sourcil, un sourire en coin venait d’apparaître sur ses lèvres. La brunette pouvait être inaccessible, comme très accueillante.

Ma relation avec Meadow était assez électrique, depuis le début, il y avait des tensions entre nous, pourtant, cela nous empêchait pas de coucher ensemble encore et encore. Il faut dire que la hargne qu’elle mettait à m’envoyer des piques, ce pseudo haine qu’elle cultivait à chaque fois qu’elle posait son regard sur moi, tout ça amplifiait nos ébats, cela les rendait beaucoup plus passionnés, plus fougueux, voilà sûrement pourquoi je continuais à coucher avec elle, ça et parce que j’appréciais tout de même son côté faussement inaccessible. « Il y a beaucoup de choses que tu ne sais pas sur moi. » Disais-je avec un large sourire tout en essayant de me rapprocher vers elle. Je me mettais alors à rire pendant qu’elle tentait de se dégager, on aurait dit une petite souris totalement perdue, totalement coincée par un gros matou. Je faisais alors la moue, est-ce qu’elle était en train de me traiter de menteur ? Elle n’oserait pas, si ? Je lâchais un léger rire et lui répondais en collant ma bouche près de son oreille. « Certes cette robe te scie à merveille mais je préfère te voir sans. » Je me reculais alors de son visage et me dégageais du bar en me reculant d’un pas. « N’oublie pas que tu reviens fréquemment me voir aussi… »