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(+ Emrys) what the hell ?!

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Jour 7

   
Heure : 10h
   Lieu : Chambre d'Emrys
   Contexte : Après la soirée Winthrop de la veille, Bambi vient demander des explications à Emrys
   Participants : Emrys Zacharias & Bambi Moneypenny


Quoi de plus normal que Bambi se soit posé de multiples questions au sujet du comportement d’Emrys à la soirée Winthrop sur le magnifique Yacht… au point de la conduire jusqu’à la porte de la chambre du jeune homme, à hésiter avant de frapper. Cela ne faisait pas deux minutes qu’elle était devant, le poing brandit, et elle hésitait toujours. Frappera, frappera pas ? Mystère et balle de golf. Bambi ne s’estimait pas en tort : d’une part, parce qu’elle restait une grande fille capable de côtoyer qui elle voulait, et d’autre part parce qu’elle n’avait strictement rien fait d’ambigu ou de répréhensible, de son point de vue, à cette foutue soirée. Cette pensée la décida d’ailleurs à frapper finalement, attendant le cœur battant qu’Emrys vienne lui ouvrir la porte. Par chance, il semblait seul… ouf ! Elle se serait sentie particulièrement stupide si d’aventure il s’était trouvé en galante compagnie, par exemple… « Bonjour… heum… je te dérange pas ? » commença-t-elle en esquissant une faible moue en disant long sur sa gêne actuelle. Mais en même temps, on ne pouvait pas dire qu’elle soit dans la meilleure des positions actuellement ! « Je pense que ce serait bien qu’on parle tous les deux si tu as quelques minutes pour moi… » En espérant que le glas de fin de leur amitié ne sonne pas aussi connement, car Bambi aurait sûrement beaucoup de mal à s’en remettre.
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Je me réveillais doucement après une nuit agitée. Hier, une fin d'après-midi et soirée agitée avait eu lieu pour notre maison la Winthrop sur un splendide Yatch et j'avais ressenti le besoin d'une bonne douche tant je m'étais dépensé à cette soirée et meme après. Si bien qu'après, j'avais dormi comme une masse ne me réveillant que tard ce matin mais après tout, c'était le spring break ; quoi de mieux ? Je souriais à la vie, à la journée qui s'annonçait bonne en passant sur le balcon prendre un bon d'air frai, m'étirant au grand jour alors que je ne portais qu'un boxer moulant sur moi. Soudain, on frappa à la porte et sans réfléchir, je prenais une chemise que j'enfilais sans fermer les boutons et courrais ouvrir. Bambi me faisait face, apparemment stressée, je la regardais un sourcil en l'air, étonné. Une faible moue, la blonde me demanda si elle me dérangeait et pour simple réponse, je l'invitais à entrer en ne prenant toujours pas le temps de fermer ma chemise qui laissait donc apparaitre une belle musculature mais quel manque de ... bienséance ! Je lui dis ensuite rapidement : fais comme chez toi alors qu'elle me surprend en me disant : « Je pense que ce serait bien qu’on parle tous les deux si tu as quelques minutes pour moi… » Là, elle m'inquiétait. Je me jetais sur mon lit en faisant le gars qui se met à l'aise alors que je ne l'étais clairement pas. Je la regarde en me remontant contre la tete de lit pour être assis et la regarder puis je lui dis : j'ai tout mon temps, qu'est-ce qu'il t'arrive chérie ? J'arborais un ton très gentil et prévenant. Je me doutais pourtant de ce dont elle voulait parler ; hier et mon étonnante réaction à sa venue ou son père; y'avait-il du nouveau ?
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Clairement, Bambi ne s’était pas permise de déranger Emrys juste pour parler de l’avancée des pourparlers avec son paternel… il serait toujours temps d’évoquer à nouveau ce sujet lorsqu’ils seraient de retour à Cambridge, mais pour l’heure, la jeune blonde devait s’avouer confuse quant au comportement du jeune homme : y avait-il d’ailleurs quelque chose à comprendre ou allait-il botter en touche sans vouloir s’expliquer à lui-même le pourquoi du comment ? Mais ils rencontreraient un problème dans ce cas là, car la monténégrine aimait bien obtenir des réponses à ses questions, la majeure partie du temps… « Tout d’abord, je voulais m’excuser si jamais je me suis mise dans la peau d’un juge hier soir, tu es libre de faire ce que tu veux et je n’avais pas à commenter. Même si je trouve ça dommage, ça ne me regarde pas et je n’ai pas à vouloir te changer » commença-t-elle prudemment avant de reprendre une plus grande inspiration, plantant subitement son regard dans le sien d’un air aussi sérieux que déterminé : « Pourquoi ai-je l’impression que tu étais jaloux et que toi aussi, tu te mettais dans la peau d’un juge à mon égard hier soir ? »
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Elle ne m'inquiétait pas vraiment en fait quoique je ne savais pas quoi faire comme explication. Je n'en avais simplement pas alors peu importe, j'espérais vraiment que ça concerne son père mais malheureusement, très vite, elle parla donc de son comportement d'hier. Elle s'excusait de son comportement de la veille et je restais impassible, la regardant simplement sans montrer aucune émotion quelle que ce soit. Je ne voulais rien montrer surtout que je criais de l'intérieur contre mon gré que je ne voulais pas que ce ne soit pas son problème parce que je crois qu'elle était devenue une amie encore plus chère enfin, c'est chelou mais je tiens à elle donc mes amies n'ont pas à s'en foutre et j'aimerais qu'elle s'occupe de ça, s'en préoccupe, je sais pas. Elle prend une respiration et ses merveilleux yeux viennent se planter dans les miens pour me demander clairement ; « Pourquoi ai-je l’impression que tu étais jaloux et que toi aussi, tu te mettais dans la peau d’un juge à mon égard hier soir ? » Je ne savais vraiment pas comment répondre à ça, comment m'expliquer : avais-je ne serait-ce qu'une explication ? Nier ou ne pas nier ? telle est la question. Je mélangeais alors mes doigts face à un petit stresse en essayant d’être discret. Je ... n'étais pas du tout jaloux, Bambi ... Je commençais doucement à être nerveux si bien qu'un peu de colère vint teindre ma voix. Tu fais ce que tu veux de ta vie ma fille ... je m'en fiche complètement ! Dis-je faussement. Je baissais le regard pensant que ça m'aiderait à ne pas me trahir mais si c'était comme à chaque fois, elle continuerait en voyant que c'était faux ; pourquoi savait-elle lire comme ça en moi et pas plutot en d'autres ?
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Bambi ne savait pas si elle devait paniquer à l’idée qu’il soit en train de nier une évidence ou laisser purement et simplement tomber. Il était bien le seul à se leurrer à vrai dire, car même si elle s’excusait et partait du principe que cela ne la regardait pas, la jolie blonde avait tout de même eut un élan de jalousie la veille. Le pire, c’était d’en avoir conscience tout en sachant qu’elle n’avait aucun droit de le revendiquer véritablement… « Moi je ne le nie pas. J’ai été jalouse hier, ça m’a emmerdée. Surtout que tu étais déchaîné en la matière mais bon, comme je te l’ai dit, ce ne sont pas mes oignons en théorie. Je n’ai juste pas peur de le dire. » Le jour où Bambi aurait peur de ce qu’elle ressentait, ce serait la fin des haricots et elle ne voulait pas qu’une telle chose arrive. Mais les propos d’Emrys la blessèrent légèrement, lui faisant même reculer d’un pas et froncer violemment les sourcils. Oh oui, elle faisait ce qu’elle voulait de sa vie ? Ce n’est pas ce qu’il lui avait parut la veille… mais le jeune homme était tout à fait capable de lui dire qu’elle avait déliré. « Ce que je veux ? Pourtant tu t’en es pris à Marshall alors qu’à la base je ne faisais que l’accompagner en tout bien tout honneur… et pas de façon délicate. Vraiment, je fais ce que je veux, c’est ce que tu souhaites me faire croire ? Dans ce cas là je ne sais pas trop ce que je fais ici, si tu te leurres à ce point. »
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Je la sentais totalement perdue et perplexe face à ce que je disais donc en gros, je comprenais clairement qu'elle avait raté aucune miette de mes provocations mais surtout, de ma jalousie maladive, de mes regards accusateurs . Je ne croisais plus son regard mais ne baissais pas les yeux pour ne pas me trouver vulnérable. Elle m'avoua avoir été jalouse elle aussi, pourquoi me disait-elle ça, pourquoi ? Elle jouait ensuite la carte du ce n'est pas mes oignons et je me sentais étrangement satisfait de cette aveux meme si ça m’embarrassait car cela révélait clairement une certaine attirance, proximité avec elle. Oh grand non ! Je n'étais pas amoureux, pas encore et j’espérais pas d'un coté, ça fait trop de dégât. C'était une amie et c'était hors de question de tout gâcher alors je l'écoutais calmement en réfléchissant comment expliquer mon point de vue. Elle s'énerva clairement face à mon manque de réaction et menaça de partir, d'ailleurs, inconsciemment, en croyant qu'après son monologue, elle allait vraiment le faire, je m'étais levé et j'avais attrapé son bras. Bambi, je veux pas qu'on s'engueule ... Je caressais son visage d'un main, la regardant droit dans les yeux et je tentais un sourire attendrissant. J'ai été jaloux parce que je tiens à toi, donc ouais, ça m'a gavé que tu sois au bras de Marshall parce que c'est grave mon pote, qu'il est doué pour vous amadouer les filles et que je veux pas que TOI, tu sois son encas et je ne t'incrimine pas... Je ne voulais pas mettre le paquet et avouer a quel point, a quel énorme point, ça m'avait gavé.
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En moins de temps qu’il n’en fallut pour dire Quidditch, Emrys avait attrapé le bras de Bambi, l’incitant d’un même temps à le regarder dans les yeux alors que sa respiration à elle était devenue un poil plus rapide. Elle s’imprégnait littéralement de ses paroles en tentant de garder un visage aussi impassible que possible mais la donne ne s’avérait pas être aussi évidente que cela. Le jour où elle serait insensible devant cet ami si proche, les poules auront des dents et seront armées de lance-roquettes. « Je n’ai pas envie qu’on s’engueule non plus » précisa-t-elle tout de même, car à la base elle n’était pas venue en guerre mais bien en paix, n’en déplaise aux apparences diablement trompeuses. Juste, elle ne contrôlait aucunement la situation et fatalement… elle s’en trouvait mal à l’aise. « Je te l’ai dis, je n’avais pas l’intention d’être son encas mais toi tu ne t’es pas privé de ton côté que je sache ? Pourquoi je devrais être forcément aussi sage qu’une nonne alors que tu es en mode : je rattrape le temps perdu en séduisant tout ce qui porte jupons hein ? » lui demanda-t-elle sans violence, sans méchanceté non plus, car Emrys semblait lui demander de rester « chaste », chose qu’elle n’était pas en prime, alors qu’il prenait beaucoup de bon temps de son côté. Où était la justice là dedans ? « J’en ai ma claque d’être seule ! Moi aussi j’ai droit à être accompagnée, même pour une heure ou deux bordel ! » s’emporta-t-elle en cherchant à se dégager de la main du jeune homme sans pour autant y parvenir.
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Je la regarde me dévisager à chaque parole que je sors parce qu'elle veut que j'avoue des choses mais en réalité, plus j'essaie d'y réfléchir plus je me dis que c'est simplement peut-être mon coté gentil qui a fait ça. Je n'ai jamais eu de soucis avant de jalousie et la seule chose qui me l'a fait, c'est le fait que ce soit Marshall alors ne serait-ce pas simplement une trop grosse envie de protection envers mon amie ? Mon dieu, Emrys Zacharias a un cœur et peut ne pas avoir envie de niquer toutes les filles autour de lui, cela se vérifie. Je me marre à cette pensée changeant donc complètement d'expression face à une Bambi qui semble totalement désespérée alors je la regarde et j'essaie de me calmer pour pas qu'elle se demande ce que j'ai d'un coup à rire. Elle blablatait mais je me trouvais tant dans mes pensées que je ne pouvais pas l'écouter mais heureusement, elle m'avait sorti de mes rigolades en s'énervant, tentant de partir de mon emprise pourtant si simple, une simple main : « J’en ai ma claque d’être seule ! Moi aussi j’ai droit à être accompagnée, même pour une heure ou deux bordel ! » Je souriais tristement montrant ma compassion et je m'en voulais à présent d'avoir été aussi jaloux, protecteur et je lui répondais en me reculant pour qu'elle soit libre de ces gestes : Ecoute, je crois que l'on se trompe sur la nature de ma jalousie, la tienne peut etre pas enfin j'en sais rien ... je crois que c'est parce que je te vois comme une personne que je veux protéger car ta personnalité me touche et que j'aimerais t'aider à préserver ta relation avec ton papa, puis je connais Marshall donc je me suis emportée, je suis désolé ... je souriais comme pour l'attendrir puis je repris : Je pense que si toi tu l'as été c'est pas pour m'avoir ou quoi, je le sais, je pense juste que tu as vu ma jalousie et que ça a du t'engrainer quoi ...
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Bambi perdait pied. Déjà qu’elle n’était pas franchement douée pour les relations humaines, il valait mieux être clair avec elle : oh elle n’était pas contre qu’Emrys ait des élans protecteurs envers elle, comme n’importe quel frère en aurait pour sa sœur mais qu’il n’ait pas honte de cela, si c’était ce qu’il ressentait actuellement. La jolie Mather pouvait tout entendre, tout accepter, mais le silence avait une bien fâcheuse tendance à la faire baliser et donc, par effet de vase communicant, de la rendre violente. « J’étais pas en colère contre toi. Je sais très bien que tu es l’un des rares en qui je peux avoir une totale confiance, à qui je peux me livrer sans craindre d’être jugée et je sais très bien que tu me comprends sûrement mieux que personne. Je ne veux pas perdre ça, jamais… mais si tu voulais juste me conseiller de surtout pas coucher avec, pourquoi tu ne l’as pas juste dis ? J’aurais compris ! » Bambi ne partait pas du principe qu’il l’avait prise pour la dernière des connes mais la vérité valait sûrement mieux que de se cacher derrière des répliques acerbes… à part se blesser mutuellement, ils n’avaient rien réussi à faire ce soir là justement. « Je ne savais pas qu’il avait rompu, et puis il ne m’intéresse pas en prime. Ça, c’est la vérité. Tu veux que je te fasse un câlin pour qu’on oublie tout ça ? »
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Bambi avait l’air totalement mal face à cette situation qui se propageait entre nous deux et je le comprenais réellement. Je pouvais clairement comprendre tout ça et que mon comportement ne lui plaise pas, c’est vrai que j’étais chelou parfois, je m’en excusais du regard bien assez. Un sourire tendre, je souhaitais montrer à mon amie ma sincérité maladroite dans mes propos. Elle ne pouvait que continuer dans son énervement et je ne pouvais pas lui en vouloir car je voyais bien que c’était parce que çà la touchait de trop si bien que je répondais simplement à la suite : je comprend Bambi et je m’excuse, je suis perturbé encore parfois par mes conneries d’avant et je les continue sur des amies alors j’ai bien peur d’avoir encore dépassé les bornes …je souriais timidement, faisant une moue très distraite et gênée. Je voyais néanmoins sa grande envie de ne pas rester sur de mauvaises choses et des embrouilles qui ne nous correspondait pas du tout vu notre relation très complice alors je l’observais, devenir plus douce pour bien se calmer et me proposer un calin avec humour et calme. Je souriais et fit un signe de tete sans parler comme les gosses qui viennent de se faire gronder puis je fonçais dans les bras pour la tirer vers moi en la faisant tomber sur le lit : C’est ça que tu veux ? Dis-je en embrassant sa joue fièrement. Je peux vraiment etre un gars étonnant, je m’étonne moi-même, faut le dire.
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