Milan Adriano Villegas► Sergio Ramos

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Manu (mon surnom) et j'ai 20 ans dans deux semaines. Je suis Canadienne et j'ai connu le forum grâce à mon premier compte, YEAH.  Le forum est toujours aussi inspirant, captivant et très intéressant et les gens sont super alors que Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de R. Jessie A. Kingsbury qui fais partie des Winthrop. J'utilise Sergio Ramos du Real Madrid comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Waston & Just do it (mon credit). Je fais environ 700 (et +) mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲   
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Je n’aurai jamais imaginé jouer au foot dans la neige. Quand on y pense, en Espagne, il n’y a pas de neige. C’est peut-être un miracle s’il y en a un jour, mais j’y trouve vraiment un plaisir d’y jouer. J’ai grandi dans une famille où, si tous les hommes de ma famille étaient des joueurs extraordinaires au foot. Une tradition ? Non, aucunement, mais c’est une passion qui se transmet de génération en génération. Le foot est comme une sorte de religion dans plusieurs pays d’Europe et on prend ce sport très à cœur. J’ai toujours adoré lorsque ma mère me racontait la rencontre qu’elle a faite avec mon père pour la première fois. Mon père filait à fier allure avec le ballon avant de faire un botté qu’il était certain de mettre dans le filet, mais c’était le front de ma mère qui avait reçu son botté. Ma mère m’avait expliqué que la vitesse du ballon était inexplicable. Je comprends très bien pourquoi qu’elle me reproche de ne pas connaître ma force parce que je tiens ça de mon père. J’étais le premier né chez moi. Ma grand-mère avait choisi mon prénom et ma mère m’avait donné mon deuxième prénom et ceci était en la mémoire de mon grand-père et mon oncle qui été victime d’un accident grave après avoir joué contre Barcelone. Je n’ai jamais eu la chance de connaître des hommes incroyables comme eux, mais avec tout ce que mon père m’a appris, je pouvais m’imaginer à quel point ils étaient incroyables comme personne. Je n’ai pas eu une enfance facile comme tous les autres enfants du primaire. J’ai été diagnostiquée d’un cancer à l’âge de 5 ans. Le cancer du sang et mon groupe sanguin sont l’un des plus rares. J’ai été hospitalisée pendant près d’un an parce que ma santé était dans un état critique. Je me sentais très seule dans mon combat. Mon père essayait toujours de venir me voir lorsqu’il n’avait pas de partie de foot. Il faisait de son mieux pour me donner un support moral et à un point qu’il en était très fatigué. Après un an de calvaire absolu, j’ai recommencé sur mon propre chemin de petit garçon et j’ai pu recommencer à jouer. Mon père venait me chercher après l’école pour aller au stade et je jouais au foot avec mes copains. La plupart de tous les joueurs de foot avaient des enfants de mon âge et nous étions comme des frères et sœur. Au secondaire, j’ai réalisé que de jouer au foot professionnel, ce n’était pas vocation première. Je voulais avoir du plaisir et de voyager parce que j’adorais voir le monde dans toute sa splendeur. Je n’étais pas un grand studieux lorsque j’étais adolescent. Je détestais étudier parce que je n’avais qu’une seule chose en tête et c’était d’aller jouer au foot. Je n’étais jamais à la maison et ceci choquait un peu trop mes parents. Par contre, je rapportais toujours des notes qui satisfaisaient mes parents. Je pouvais me sentir chanceux, mais mes parents ne comprenaient pas pourquoi je rapportais des notes d’enfer. Mon père était content que je puisse briser la lignée de joueur de foot. Avoir un peu de changement ne fait pas de tort à personne et même que je voulais poursuivre mes études en dehors du pays. Poursuivre mes études universitaires dans une des plus grandes universités des États-Unis, j’ai accepté l’offre d’Harvard pour réaliser ce que je voulais le plus. Il fallait bien que je me trouve une raison pour voyager aussi et j’ai toujours admiré le travail des médecins sportifs. Les diagnostics, les traitements et même la réhabilitation, ceci m’intéressent vraiment. Si je peux toujours continuer à garder ma place avec le Real Madrid pour y devenir leur médecin sportif, le fais de travailler fort, c’est de pouvoir atteindre ses rêves les plus chers.