Heure : 16h30 Lieu : Chambre d'Aaliyah Contexte : Ricardo a besoin d'avoir une conversation avec la Cabot Participants : Aaliyah D. Kovalevski & Ricardo Rafael
Cela faisait maintenant plusieurs jours que Ric était en pleine réflexion. Il avait beau beaucoup apprécié la jeune Cabot, il ne se sentait pas encore près pour avoir une véritable relation aujourd'hui. Il était encore jeune, ce n'était sans doute pas très grave. Cependant, il savait qu'il allait la faire souffrir et ça, ça le tuait. Il préférait mettre un terme à leur relation maintenant plutôt que d'attendre et qu'elle soit encore plus attachée à lui. Ils sortaient ensemble depuis moins de deux mois alors les sentiments n'avaient pas pu tant évoluer en si peu de temps. Il valait mieux qu'ils se quittent maintenant plutôt que dans six mois lorsqu'elle risquera d'être amoureuse de lui. Même s'il savait qu'elle allait être blessée, il se devait de le faire. Arrivé devant la chambre de la brunette, Ric frappa trois coups et attendit qu'il lui réponde. Il avait une boule au ventre, ce n'était vraiment pas quelque chose d'agréable à dire.
Je venais de passer une journée tout simplement parfaite et je dirai même, une semaine parfaite. Le Spring Break m'avait permis en quelque sorte de m'évader, de penser à tout autre chose avec mes amis, des gens que je connaissais pas et Ricardo, également. Mais aujourd'hui, j'avais passé la journée avec Elsy. Cette Eliot sublime intérieurement comme extérieurement avec qui j'étais devenue très amie depuis ce séjour dans cette maison de l'horreur. Mais j'étais revenue dans ma chambre, vêtue de mon simple bikini et d'un paréo autour de la taille. Il faisait beau, chaud et puis, on passait notre journée sur la plage. La, c'était juste un rapide aller/retour jusqu'à ma chambre pour récupérer deux trois petites choses dont j'avais besoin. Alors que je me dirigeais vers la porte de sortie, ou d'entrée, tout dépends du contexte en fait, une personne frappa à ma porte. Je continuais donc ma route jusqu'à celle-ci. C'était Ricardo, qui faisait une tête comment dire, ... pas très rassurante. Coucou mon chéri, entres ! Je me décalais donc sur le côté pour le laisser entrer. J'analysais sa façon de marcher, de se tenir, de parler aussi. Je ne sais pas pourquoi.