Mary-Lynn O'Toole ♦ Heather Morris

C'est le 21 Juin 1989 à Dublin, Ireland, que les membres de la famille O'Toole m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Mary-Lynn. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Bisexuelle, de préférence les femmes et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale Moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que Organisatrice de soirée depuis 3 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Citizens.

Mary-Lynn O'Toole

Looks alot like Heather Morris

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle G et j'ai 20 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Top site. Le design m'a agréablement interpellé alors j'ai décidé de m'inscrire sur le forum sous les traits de Mary-Lynn O'Toole. J'utilise Heather Morris comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Psychadelya. Je fais environ 400, voire plus mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
La bombe, un moment qui hante encore mes nuits, des traces que je garde et qui me rappelle cette vaine souffrance. Ce jour-là, je passais un examen lorsque celle-ci vint à exploser. Une première secousse, un premier débris qui vint me perforer le poumon. Une seconde secousse, mon professeur me propulsa au sol m’indiquant de me cacher sous la table, susceptible d’être beaucoup plus à l’abri là dessous. Je garde des séquelles physiques et psychologiques. Une belle cicatrice qui orne ma peau pâle, me rappelant que j’ai perdu par la même occasion une partie de mon poumon.

AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ?
Harvard, mes plus belles années ! Je me souviens encore du bizutage que mes sœurs m’avaient infligé ce jour-là pour faire partie de la confrérie « La Cabot House ». Nous étions toutes les unes pour les autres des sœurs, celles-ci m’ont réellement accompagnée dans mes moments difficiles. Je suivais un cursus dans le but d’être dans le commerce international, grâce à l’acharnement de ses nénettes, j’ai obtenue mon diplôme.

(Invité)

14/05/2012

I am the Maniac, I am the Ghoul, I am in the shadows

Il était 23 heures 30 lorsque l’avion de Mary-Lynn se posa sur le tarmac, le voyage fut relativement pesant puisque celle-ci avait reçu un SMS de Anna Jean, sa petite amie avec qui elle partageait une relation à distance depuis 1 ans, mais avec qui elle avait déjà vécue 2 ans auprès de cette dernière. Le message ne lui inspirait pas confiance, malgré qu’elle n’avait put guère entendre sa voix, le texte en lui-même, en disait long. Elle avait ce besoin de lui parler soudainement, de lui annoncer quelque chose, vraisemblablement qu’elle ne supportait plus cette distance. Dans l’engin, celle-ci se remémorait les souvenirs passée avec sa copine comme si le temps d’un instant son cerveau était le rétroprojecteur de sa vie. Les deux jeunes femmes c’étaient rencontrées au lycée durant la période à vide de Mary, son père, à l’époque avait lâchement abandonné le foyer conjugal en emportant avec lui ses deux frères, privant sa mère et sa vie d’un fils et des frères. Cette histoire lui tracassait fortement l’esprit au point que la cocotte était sur le point d’imploser et, la protagoniste n’était ni plus, ni moins qu’une personne impulsive. Enfin bref, la blondinette s’empressa d’aller récupérer ses bagages sur le tapis roulant là où les valises arrivaient une fois l’avion posé. Quelques minutes plus tard, celle-ci observa au loin Anna ruminer dans sa barbe entrain de tourner en rond comme si cette dernière étudiait son discours fraîchement préparé pour l’occasion. Cela dit, la jeune femme, les bagages en mains, marcha d’un pas désillusionné en direction de celle qui lui illuminait sa minable vie. Une fois à sa hauteur, elle s’avança pour lui adresser un geste d’affection, autrement dit, un baisé puisque cela faisait pratiquement deux mois qu’elle ne l’avait pas vue, seulement celle-ci se montra relativement froide, au point de lui infliger un stop. Mary-Lynn – « Ravie de voir que ma présence ne te fait pas plus plaisir que ça ! ». Lança-t-elle amèrement, ornant un visage lustre. Un an qu’elle avait quittée l’Irlande pour intégrer la prestigieuse université d’Harvard, les deux jeunes femmes avaient le projet de s’installer ensemble une fois qu’Anna aurait terminée son diplôme, une envie qu’elles partageaient. Anna-Jean – « Ce n’est pas ça ! On ne va pas tout de même en parler là, sur le parking ! ». Ajouta-t-elle fermement. Mary-Lynn – « Ecoute, si tu me dis que c’est fini entre nous, ce n’est pas la peine que je m’entête à rester ici, alors c’est quoi ton message important ? ». Enchérie-t-elle d’une manière hautaine, son visage commençait lentement à se décomposer soucieuse d’entendre ses paroles sortir de sa bouche qui l’attrayait fortement. C’était sa première expérience lesbienne, pourtant au départ, elles n’étaient que des meilleurs amis que le destin avait réunis, car toutes deux partageaient une déception en commun. Anna-Jean – « Tu sais que je t’aime et que tu seras à jamais dans mon cœur, seulement cette séparation me fait souffrir, je préférais arrêter là afin de pouvoir me reconstruire, cette situation m’est pesante … Je suis désolée, je t’aime ! » Tout était dit, la jeune femme née d’une famille au revenu moyen, qui peinait à s’intégrer dans les élites vint voir subitement son monde s’effondrer. Une seconde déception de plus dans son existence, déjà que la première l’avait poussé à consommer des produits illicites pour tenter de garder la tête, malgré qu’il n’y avait pas de quoi être fière. Mary-Lynn – « Alors c’est fini, vraiment fini. Je préfère m’en aller, malgré que je t’aime et que je ne pourrais peut-être jamais t’oublier … A bientôt Anna. » Clôtura-t-elle la conversation avant de poser ses lèvres sur celle de la jeune femme en signe d’adieu avant de tourner les talons en directions de l’aéroport, les larmes aux yeux.

I am the Maniac, I am the Ghoul, I am in the shadows

Mary-Lynn – « Non, non et non je ne le veux pas ! ». S’exclama-t-elle dans la salle d’accouchement, puisque celle-ci après sa douloureuse rupture avec Anna-Jean commença à fricoter un homme uniquement pour le sexe, mais delà est né un enfant de leur relation. Seulement, la jeune n’était guère prête à assumer un enfant seule puisque finalement elle n’était plus avec le père de ce bambin. Ainsi, elle refusa d’accepter de le garder, préférant le mettre au monde sous x. Néanmoins, sa mère présente à l’accouchement n’était pas de son avis. Mère – « Ecoute ma chérie, je serais présente pour t’aider, quitte à m’en occuper ! ». Lança-t-elle avec conviction, alors que celle-ci avait fait son choix. Cet évènement est dû à une soirée trop arrosée, la protagoniste avait consommée de l’alcool et des substances illicites, c’est ainsi qu’elle rencontra Drake, le père de cet enfant avec qui elle eut un ébat d’une nuit. Une seule et unique nuit ont suffit pour la mettre enceinte, à présente elle regrette fortement. Mary-Lynn – « Si je le garde, tu l’adoptes comme ton propre enfant, je serais sa sœur et toi, sa mère … Je te rendrais visite que très rarement et ce secret pour rien au monde tu ne le briseras … ». Rétorqua-t-elle amèrement, avant de diriger son regard vers le ciel et de continuer le travail. Les sages femmes se trouvaient autour d’elle à l’inciter à pousser, pousser … Et voilà que la tête apparaît, puis le corps … Il était né, un petit garçon qu’elles prénommaient Sean. S’en suit la paperasse pour déterminer qui sera la mère, une fois le cordon coupé, Mary-Lynn reprit le cours de sa vie telle qu’elle l’avait laissée. Deux ans après, les études à Harvard ce sont achevées, pour les vacances d’été, la jeune femme rentra à Dublin, voir sa mère et son petit frère qui était réellement son fils. En deux ans, elle ne l’avait aperçu que très rarement, préférant s’éclipser de sa vie pour taire les soupçons. Il lui ressemblait comme deux gouttes d’eaux, des cheveux blonds bébé et un regard bleu azur … Les vacances n’ont durées que deux semaines, puisque par la suite, elle était retournée là d’où elle venait, pour trouver un travail et se reconstruire par la suite. L’épisode Anna-Jean n’était définitivement pas terminer, car celle-ci songeait à la reconquérir, seulement, la jeune femme ne souhaitait plus de ses nouvelles. C’est ainsi qu’elle retourna à Harvard, à tenter de survivre dans cette jungle hostile.

I am the Maniac, I am the Ghoul, I am in the shadows

Réveille matin, il est 8 heures, Mary-Lynn émerge lentement de son sommeil. Une fois le premier pied à terre, puis le second, celle-ci china dans son dressing au point d’apercevoir ses vêtements joncher sur le sol, recouvrant la moindre parcelle de son sol. Cela dit, une fois la robe choisit, la jeune femme, d’un pas mollasson se dirigea à la douche. Une manie, cette dernière chante sous la douche. Par le passé, la protagoniste était Cheerleaders dans son lycée et membre d’une chorale, une passion qu’elle partageait avec Anna Jean, à présent elle interpréterai que deux, trois vers sous la douche, comme si celle-ci avait reniée d’une certaine façon sa passion. Bref, une fois habillée, autrement dit vêtue d’une robe bustier ornée d’un nœud papillon, la jeune femme s’empressa d’interpeller son taxi, direction son lieu de travail. A l’époque d’Harvard, celle-ci c’était spécialisée dans le commerce international, seulement, à présent, elle avait entreprit une carrière d’organisatrice de soirée, un domaine dans lequel elle excédait. Une fois sur son lieu de travail, la jeune femme s’orienta vers son bureau ne manquant pas de saluer ses collègues. Cependant, à peine installer, l’une de ses collègues vint à sa rencontre prendre de ses nouvelles. Collègue – « Salut Mary, tu vas bien ? J’te demande ça car l’autre se vante de raconter que tu es passée sous son bureau ! ». Demanda-t-elle relativement très intriguée. Les nouvelles allaient vite ici, et depuis sa rupture, Mary-Lynn dévia lentement de direction, optant pour un côté obscur. En effet, celle-ci, dans l’espoir de combler le vide avec lequel elle tentait de vivre comme un homme qu’on abandonne en pleine jungle, survivait et non vivait le quotidien. Entre alcool et débauche, celle-ci les collectionnaient. Mary-Lynn – « Ca va. Ah. Et il a aimé au moins. Bon j’en tenais une bonne, je ne savais pas ce que je faisais. ». Rétorqua-t-elle de manière naturelle. On pouvait lui reprocher de nombreuses choses, seulement on ne pouvait guère lui reprocher un manque de professionnalisme, car celle-ci était la meilleure dans son domaine, réclamée par les plus grands du milieu. Son côté sociable l’aidait fortement à trouver des clients, car elle engageait facilement la conversation. Néanmoins, avec un caractère bien trempé comme le sien, parfois ça pétait, mais rien de méchant. Collègue – « Mary, Mary … Quand est-ce que tu vas arrêter tes conneries ! Trouve-toi un homme bien ou une femme, mais arrête de recasser le passé. ». Rétorqua-t-elle comme si elle détenait les réponses à ses questions. Le visage dépité, la protagoniste acquiesça. Elle du pain sur la planche, ainsi elle clôtura la conversation en quittant de pièce..

The End

(Invité)