Astarielle Evengeline Weir : A qui sait attendre le temps ouvre les portes. FINIE

Ma vie débuta le 30 juin 1990 à Vancouver, une ville magnifique. Je suis née dans l'hopital à l'Ouest de la ville. Il parraitrait, d'après mes parents, qu'à ma naissance, je ne fis que de pleurer, plus que les autres bébés. Ma mère m'appela Astarielle en référence à sa mère qui fut décédée dans un tragique accident de voiture, quelques années plutôt avant ma naissance. En ce qui concerne ma mère, c'est une grande diplômate de renommée et mon père lui, travaillait dans lla Navy. Je dis " travaillait" car il est mort maintenant. Après ces petits détails de contexte, voici donc mon histoire après ma naissance.

I. Se faire une place dans la société dès le plus jeune âge est difficile.
Après que je sois née, je découvris les joies et les malheurs de ce qu'on appelait "la vie". Mais avant cela, je dus apprendre les bases d'un individu : savoir marcher et parler. En ce qui concerne le "marcher", il fut un peu compliquer chez moi. D'après ma mère, je cassais souvent les vases en tombant sur des petites étagères. Mais avecma percévérance, je sus marcher correctement. Le "parler" fut plus facile pour ma part. Le premier mot que je sortis était "maison". Allezdonc savoir pourquoi j'avais sortit ça ce jour-là. Après ça, je fus envoyée dans une privée, pour les riches quoi. Et oui, je faisais partit de cette branche de la société qui ne connaissait pas la crise, ni la précarité, ni la pauvreté. La fortune des Weir, on la devait à ma mère : Caitlin. Grâce à son métier, on pouvait vivre une vie confortable. Mon père aussi avait contribué à la fortune de la famille. Quand on était amiral, le salaire était gros à la fin du mois. Après mon admission l'école privée je découvris une autre version de la vie de riche : que des gens égoistes et qui se croyaient plus haut que tout le monde. Je ne me sentais pas à ma place et ça, je l'avais dit à a mère. Ce fut dès mon entrée en 6ème que je fis envoyée dans une école publique. C'était certes des gens qui étaient différents de moi mais je disais toujours que les différences permettaient le rapprochement des individus. Dès lors, je me sentis dans on univers et ce fut à cette époque-là que je commençais à aider les autres. Et cette m'avait permis d'avoir un petit ami quelques années plus tard. Le bonheur, je le connaissais enfin mais pour combien de temps encore ?

II- Le bonheur, c'est d'aller d'échec en échec sans abandonner.
Mes années lycées ressemblèrent à celles du collèges mais en mieux car ce fut dans ces années-là que je connus l'amour avec Peter, un garçon merveilleux à mes yeux. Après avoir fait de brillantes années, je pus intégrer l'université de droit de Vancouver. Je voulais faire comme ma mère : être une grande diplômate. Tout se passa plutôt bien jusqu'au jour où ma famille connut un tragique accident. La mort de mon père dans la naufrage de son navire. Pour ma part, ce fut à ce moment que je connus la période la plus sombre de ma vie : j'entammai une période de dépression, de solitude. Je m'éloignai des autres et ce fut pour cette raison que je plaiquai Peter. Je ne voulais pas le faire souffrir. Mon travail à l'université commençait à se dégrader. Rien n'allait plus pour moi. Mais fort heuresement pour moi, ma mère vit ma situation et m'aida. Elle me conseilla de trouver un moyen de me libérer de ce que j'avais sur le coeur, de ce que je ressentais. Et le moyen que je trouvai était la musique : avec elle, je me sentis mieux et je commençais à oublier ces drâmes. Un nouveau départ commençait pour moi.

III- Qui dit nouveau départ dit nouvelle vie.
Je décidai pour mon bien de prendre un nouveau départ et pour cela, je devais donc changer de ville. Ma mère me préconisa Harvard, son ancienne université. C'était donc ma future université où j'étudierai le droit en majeur et la musique en mineur. Arrivé dans la ville de Cambridge, je dus trouver un appartement mais ce ne fut guère compliqué vu ma situation financière. Puis je commençais ma deuxième année en droit dans cette nouvelle université où je dus me reconstruire. Je me fis des amis et quelques ennemis. Et maintenant, je suis toujours célibataire. Aujourd'hui, je continue le droit et la musique pour réaliser mes projets. Mais j'espère avoir du piment dans ma vie.