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(gwillow) i just need to live for a while

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Jour 2

Heure : vers 11heure
Lieu : chambre de gwen
Contexte : willow vient voir gwen pour lui parler et lui annoncer que c'est fini
Participants : gwen et willow



Le Spring Break, le moment parfait pour t'amuser. Il y avait une semaine tu etais encore a l'hopital pour ta leucemie et maintenant tu etais guerrie. Tes derniers tests avaient montré que tu n'avais plus aucune cellules cancereuses dans ton coeur. T'en revenais pas. 25 ans que tu te battais avec une maladie et maintenant c'etait fini, tu pourrais avoir une vie normale. Tu pourrais t'amuser comme il le fallait au Spring break et enfin vivre comme toute jeunes etudiantes. Cependant, tu etais en couple avec Gwen, et tu avais l'impression que c'etait peut-etre un frein. Tu voulais oublier le passé, la maladie et tu voulais juste tout recommencer a zero. C'est pour cela que tu te rendais a sa chambre. Ca te faisait mal parce que tu l'aimais, mais tu avais avais envie d'avancer, tu avais besoin de te creer une vie que n'avait rien a voir avec ta maladie. Tu toquais alors a la porte de ton encore petite amie en esperant qu'elle soit dans sa chambre.
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Willow allait mieux, elle avait enfin pu quitter l'hôpital, qui la gardait depuis trop longtemps. J'espérais passer du temps avec elle, ici sous le soleil de Punta Cana. Nous sommes au deuxième jour du séjour et j'dois avouer qu j'me suis éloignée au plus loin de la soirée d'arrivée et que je me cacherai encore de la soirée de ce soir, s'il y en a une. Je préfère de loin une soirée plus tranquille en vérité. Loin de toutes mes anciennes addictions, de mes vieux démons. J'venais de me réveiller, seule dans ma chambre d'hôtel. Ca change de l'année dernière, en effet. Je trainais en débardeur et boxer alors que j'entendais toquer à la porte. C'est pas le room service, j'l'ai pas appelé, et au pire des cas, ca sera un ou une pote qui vient m'bouger le cul pour sortir. Mouais, j'verrais bien en ouvrant, au pire j'lui claque la porte au nez le temps de foutre un pantalon. En ouvrant cette fameuse porte, je découvrais ma petite amie, la femme qui m'a radicalement changée. Je l'aimais, vraiment. Un sourire s'affichait sur mon visage avant de l'embrasser rapidement. Entres, vas-y.
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Ce que tu allais faire, ca t'enchantait pas des masses. Pourtant, tu l'avais reflechis cette decision, pendant longtemps. Apres la greffe, t'avais eu le temps de peser tout les cotes et a vrai dire, malgré ton amour, cet amour que tu as pour Gwen, tu ne voulais plus vivre dans la maladie. Pour la premiere fois depuis 25 ans, tu avais la sensation de ne plus y etre rattachée et que tu pourrais enfin faire ce que tu voulais sans te soucier si cela pourrait te tuer ou pas. Tu attendais que Gwen ne vienne t'ouvrir ce qui ne fut pas tres long. Elle etait vetue seulement d'un top et d'un boxer. Si la situation etait differente, tu lui aurais deja sauté dessus mais a la place, tu restais indifferente et rentrait alors qu'elle t'embrassais. "Il faut que je te parle." Non, tu n'etais pas du genre a tourné autour du pot. Tu l'avais jamais fait et tu le feras jamais. De toute facon, plus vite cela sera dit, plus vite tu pourras quitter cette chambre et retrouver la tienne.
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Alors que j'ouvrais la porte à Willow, je voyais bien qu'elle restait stoïque à la situation, et qu'elle ne prit même pas la peine de répondre à mon baiser. J'me posais des questions sur ce que j'aurai pu faire qui la laisse de marbre, mais je ne voyais rien. Pas un pas de travers, pas de rumeurs circulant à mon égard, rien. Lorsqu'elle m'annonçait qu'elle devait me parler, je m'attendais au pire. Jamais elle avait été comme ca, mais je ne voulais pas croire à cela. Je prenais une grande inspiration en refermant la porte avant de me retourner vers elle. Je t'écoute... Je n'avais pas pour habitude d'avoir peur de l'abandon, mais là, je me sentais vraiment bizarre.
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Tu n'aurais pas cru que les choses allaient se terminer ainsi. Au fond de toi, tu avais mal, mal parce que malgre tout cela, tu aimais Gwen, tu l'aimais comme pas possible et tu allais la perdre apres ce que tu allais lui annoncer. Tu avais peur de sa reaction egalement. Il n'y avait pas trop de raison. Tu soupirais, venant de mettre face a elle. Tu la regardais dans les yeux. "Je suis desolée, je peux plus…" En fait, c'etait vraiment difficile de mettre fin comme cela a une relation avec quelqu'un qu'on aime vraiment. "C'est fini. J'ai besoin d'air, de vivre un peu apres ces derniers mois…"
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Ses mots. Ils étaient d'une telle violence qu'ils raisonnaient en écho dans ma tête. C'est fini, elle peut plus, elle veut vivre. J'comprends pas tout, alors qu'il y a quelques semaines, elle me disait pour la première fois qu'elle m'aimait. Et je l'aime si fort, trop fort. Depuis longtemps, bien que je n'avais pas su lui dire avant le jour où l'on s'est retrouvées pour le bal. J'suis pas bien, j'suis vraiment pas bien. Je secoue négativement la tête, énergiquement. C'est pas la fin, c'est pas possible, c'est un mauvais rêve. Je me pince, discrètement, mais c'est la réalité. J'baisse les yeux, j'peux pas affronter son regard alors que j'sens le mien s'humidifier. Et j'représente ton passé, ta maladie... Je serre les dents alors que j'sens cette perle d'eau filer de mon oeil. J'relève les yeux, sans vraiment le plonger dans l'sien. J'vois que j'peux rien faire pour que tu changes d'avis, alors...j'te laisse partir vivre, malgré moi.
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Tu étais entrain de mettre fin à ta relation avec Gwen et tu avais la sensation de mettre fin à ta propre vie dans un sens. Elle avait été une partie énorme de ta vie, mai tu n'en pouvais plus. Tu avais l'impression qu'elle te rappelait que trop bien ton malaise, le traitement, ta chute vers la mort. Tu l'avais fait pour elle et elle t'avait presque couté la vie. Tu ne pouvais pas rester comme cela, comme si cela ne s'était jamais passé. l'amour c'était trop dangereux pour une rêveuse comme toi. Tu avais peur de vivre à nouveau. Elle baissait les yeux avant de les relever. Tu pouvais voir qu'elle pleurait. "J'suis désolée. Tu pourras reprendre ta vie d'avant, je te changerai plus." Dis)tu alors. Tu la regardais, ton regard était vide. Quand on grandissait dans une famille comme la tienne, on apprenait à controler ses émotions et à ne laisser rien transparaître.
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Willow, c'était le son mélodieux que mon coeur offrait à chaque battement dans ma poitrine, comme si c'était un message qui disait "je t'aime, ne pars pas". Et ca battait fort, comme si mon coeur lui hurlait de rester alors que mes mots ne pourraient rien changer. Ravaler mes larmes sera ma plus belle arme, mais j'y arrive pas. Parce que c'est dur même si j'déteste être faible. Mais devant cette femme qui a su faire de moi quelqu'un de bien, je n'arrive pas à me calmer. Son regard est vide de toute émotion alors qu'elle s'excuse. J'aimerai pouvoir te dire que j'voudrais qu'on reste amies, mais c'est pas possible... J'pourrais pas te voir comme une amie. J'essuyais mes yeux d'un revers de la main, avant d'attraper mon paquet de clope presque vide, comme moi. J'ai les mains qui tremblent mais c'est comme ca, c'est la vie. Je lâchais un soupire avant de lui dire Prends soin d'toi...
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T’es une personne odieuse, c’est tout ce que tu te trouvais à dire. Comment tu pouvais faire cela ? Tu aimais Gwen et ce comme pas possible. C’était une des seules personnes qui avait vraiment réussi à faire battre ton cœur, mais tu la laissais partir, parce qu’il y avait juste trop de facteurs. Aimer quelqu’un ne voulait pas dire qu’on était bien l’un pour soi et c’était exactement ce qui se passait avec Gwen. Vous alliez finir par vous détruire mutuellement, parce que l’amour que vous vous portiez était juste si fort que cela allait apporter votre perte. Tu avais déjà presque pu mourir à cause de votre amour. Le traitement qui avait échoué et si cela n’avait pas été pour Julian, ton donneur, tu serais surement sous terre à présent ou dans la mer, surement dans la mer, t’aurais aimé être mise à la mer, c’était une belle fin cela. Mais maintenant, tu étais en vie, pleinement en vie et tu ne voulais pas être rappelé jour après jour que la personne qui avait presque pu te tuer dormait juste à côté de toi. Tu maintenais ton regard sur Gwen, froid, terne et sans émotions. Tu ne savais que trop bien les cacher. « J’ai pas envie que nous soyons amies de toute façon. Cela serait impossible. » Comment tu pouvais juste dire cela ? T’en savais rien, c’était horribles. Tu reculais pour venir près de la porte. « Ouais, prends soin de toi aussi. » Tu dis quoi à la meuf que t’es entrain de larguer ? Tu n’étais pas habituée à ce genre de chose.
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J'comprenais pas, j'voulais pas comprendre. J'voulais continuer de croire que ce n'était qu'un mauvais rêve, mais les émotions étaient trop réelles pour m'laisser croire à cela. C'était comme un coup de fusil en pleine poitrine, sur une chanson de Nancy Sinatra. Bang Bang, my baby shot me down. Bang Bang, I hit the ground. Mais j'restais debout, avec l'envie de tout fracasser, de me fracasser, de pleurer, de me faire encore plus mal que ses mots le font. J'n'aurai pas dû l'inciter à faire ce traitement, l'aider à frôler la mort alors que je voulais la voir vivre plus longtemps. Je savais bien qu'elle avait beau dire que ce n'était pas ma faute qu'elle le pensait. Elle pensait que j'étais responsable de tout ca. Et elle me le fait bien comprendre, là. Au moins c'est clair. Je la regarde s'approcher de la porte, alors qu'elle me dit également de prendre soin de moi. Comme si elle le pensait, putain. J'te promets rien à ce sujet. J'avais envie de lui hurler de dégager, que j'la détestais d'me rendre aussi mal. Mais j'avais surtout envie de lui dire que la blague était pas drôle, que je l'aimais et que j'voulais la prendre dans mes bras. J'étais heureuse avec elle, putain. J'pose mes bras sur le comptoir dans le but de tout virer une fois qu'elle sera dehors.
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