Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(flashback) Jeremiah&Valentine ✗ I can show you love like no other.
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(flashback) Jeremiah&Valentine ✗ I can show you love like no other.

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Mon regard implorant se posa dans les beaux yeux de Jeremiah. « Tu crois que ça va partir? » Je ne savais même pas pourquoi je lui posais la question, il n'en savait strictement rien en la matière. « Ptin! Ma robe est fichue! » Grognais - je en frottant dessus avec mes petits doigts, mes yeux affutés et réactifs au moindre regard des gens autour de nous, si je chopais celui qui m'avait ça... Grrrr' fallait mieux qu'il se fonde dans la masse celui là. Ma soirée était terminée ici, je ne pouvais pas passer le reste de la nuit ainsi, avec ma robe collante et remplie de soda et autres substances. L'odeur me collait à la peau et je désirais plus que tout enfiler autre chose et prendre une bonne douche. C'est d'ailleurs en cette pensée que l'idée me vint. « Oh mais... Jay? Ta chambre n'est pas si loin que ça je crois? » Je posai la question alors que mon corps lui, se dirigea déjà vers mon meilleur ami, mes mains s'enfouirent dans ses poches sans gêne, devant, puis celles de derrière, pour enfin trouver les clés que je secouais devant nos yeux, un brin de sourire aux lèvres. Bingo! Mes lèvres partirent contre sa joue pour y claquer dans un baiser puis je m'empressai de partir. « Je fais vite! » Dis - je en courant vers les escaliers. Dans la précipitation je ne lui avais même pas dis ce que je l'allais faire, ni demander la permission, mais tant pis, il savait où me rejoindre s'il en avait besoin. Une fois en haut des marches, je pris le bon couloir et m'arrêtai devant sa chambre. Hum, j'étais déjà venue quelques fois mais jamais assez longtemps pour découvrir tous ses secrets, c'était peut - être le grand soir... hum. Jay, quoi que tu caches, c'est trop tard! Pensais - je en poussant la porte de l'entrée. Je fis un pas à l'intérieur et n'attendis pas plus pour faire glisser ma robe le long de mon corps. Une fois en sous-vêtement, je me dirigeai vers une commode où chaque tiroir y passa, mais en vint, le placard fut ma prochaine victime. Je l'ouvris en grand avant de découvrir une pile de tee-shirt, j'en attrapai un, l'ouvris en grand et optai pour le quatrième article. Blanc, simple, avec un motif sur tout le devant, hop, sous mon bras. Je me baissais pour ramasser le tas que j'avais fait tomber quand je remarquai une sorte de... hum, je me demandais bien ce que c'était, à la couleur de l'aluminium, ça semblait être une grande boite, cachée derrière les habits cintrés. Mes lèvres se pincèrent lorsque mes doigts se posèrent sur la fermeture éclair, trop curieuse, l'envie d'y résister ne me traversa qu'une seconde. Je fis glisser le zip jusqu'à le remonter tout en haut, poussant les vêtements et me sentant envahir par une étrange odeur de... « Oh mon dieu! » Criais - je en tombant nez à nez avec un plan de cannabis.
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Je ne voulais pas me moquer, mais la maladresse de mon amie arrivait à me faire sourire. Elle n’avait provoquer aucun incident, elle l’avait subit, mais sa manière de réagir à l’impact me donner une nouvelle raison de l’adorer. Irrésistible. Elle se tortillait dans tous les sens, comme si le mouvement arriverait à remonter le temps juste à temps pour éviter le déversement de substance. S’en était fait, elle déclarait forfait immédiatement. La soirée avec pourtant bien commencé, elle avait fait la connaissance de plusieurs de mes amis violets, elle c’était bien intégré malgré la diversité des genres. Valentine était la femme parfaite, la femme que je n’aurais toujours que fierté à porter autour de mon bras. Elle aidait même à raviver l’image qu’on se gardait de moi. Amitié platonique qui n’avait subit jusqu’alors aucun écart de conduite, tout était parfait, tout semblait durable. « Oh mais... Jay? Ta chambre n'est pas si loin que ça je crois? » Ses mains envahirent mon corps à la limite de l’indécence. Elle ne s’arrêta de parcourir quand trouvant l’objet de sa recherche, la clé de ma chambre. Il ne me fallut pas bien longtemps avant de comprendre ce qu’elle comptait en faire. Ses lèvres m’embrassèrent la joue rapidement et elle disparue aussi vite qu’une ombre à la lumière. « Je fais vite! » Un sourire orna mon visage le temps d’être naïf, d’oublier. J’étais tout pour le partage, cela ne me dérangeait en rien de lui prêter ma chambre le temps qu’elle voulait pour... et ce n’est qu’alors que je me souvint de mes secrets. Il n’y en avait pourtant peu entre nous, voire aucun, celui-ci était mon dernier encore activement privé. J’écarquillai les yeux en me précipitant à sa poursuite. J’avais déjà une excuse coincé au bord des lèvres. Elle avait déjà pris quelques longues secondes d’avance, je me sentais déjà pris au piège. En ouvrant la porte de ma chambre je m’écriai; «Ce n’est pas ce que tu crois!» Avant même d’avoir vu ce qu’elle avait découvert, je m’avouais vaincu. Un simple regard et tout était confirmé. « Oh mon dieu! »  Un étau se resserra autour de mon cou. Je n’avais pas peur d’être dénoncé, simplement peur de la perdre. Je la savais très libéral dans sa manière de vivre, très droite et intelligente dans ces choix de privation. Je m’avançai vers elle pour m’interposer entre mes deux passions, mes mains lui saisirent les épaules, découvrant alors sa peau un peu plus nu qu’à l’habitude... mes yeux la détaillèrent des pieds à la tête. Ces sous-vêtements de couleurs unis me surprirent, sans titiller la moindre cellules en moi. C’était simplement étrange. Je retrouvai ses yeux, sans me sentir voyeur, sans me sentir malaisé. «C’est un projet pour mon cours de biologie, rien de plus.» Je la voyais déjà m’accuser de mentir, et elle aurait bien raison de le faire, elle me connaissait que trop bien pour me surprendre sans mal. « Bon d’accord, t’as gagné, il m’arrive parfois de consommer aussi, si tu promet de ne rien dire, j’accepte de partager.» J’arquai un sourcils, fier de mon offre malgré l’absurdité de la chose. Elle n’accepterait jamais. «Je suppose que tu as besoin de vêtements maintenant, je t’en pris sers-toi.» Elle semblait déjà avoir trouvé la moitié de son bonheur. Dommage, j’aimais bien sa robe d’avant.
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«Ce n’est pas ce que tu crois!» Je ne l’avais pas vu arriver, à peine entendu crier, trop absorbée par ma découverte. Je connaissais la marginalité de Jay’ mais je ne me doutais pas de faire un jour la découverte d'un plan de Cannabis dans sa chambre. Evidemment, je n’étais pas naïve au point de croire qu’il n’en avait jamais fumé de sa vie mais de la à avoir sa propre réserve dans son placard... hum, ce n’était surement pas pour tout garder rien que pour lui. Il s’interposa entre le placard et moi et s’élança dans des explications. «C’est un projet pour mon cours de biologie, rien de plus.» Evidemment, et j’allais le croire en plus, non mais tss. Je plissai le museau tout en lui lançant un de ces regards accusateurs, je ne le croyais pas du tout. « Bon d’accord, t’as gagné, il m’arrive parfois de consommer aussi, si tu promet de ne rien dire, j’accepte de partager.» Il avait l’air fier de son offre et de ses explications, quoi que rassurée qu’il ne soit pas le dealer du coin, je n’étais pas du tout du même avis et qu’il me propose d’être complice de ça m’énervait d’avantage. «Je suppose que tu as besoin de vêtements maintenant, je t’en pris sers-toi.» Je secouais la tête puis attrapai son vêtement que je tenais sous mon bras pour lui balancer dessus, au bord de la crise de nerfs. « Petit 1. Non merci! Petit 2. T’ES FOU JAY! » Grognais - je à son encontre, il ne réalisait surement pas les risques qu'il prenait en cultivant ça au sein de l'université, par chance dans tout ça, il m'avait moi, et je n'allais pas le laisser agir ainsi. Je l’attrapais à mon tour par les épaules pour le déplacer et le mettre face a ce qu’il cachait dans son placard. « T’imagines que, si moi je l’ai trouvé si facilement, tout le monde peut en faire autant? Tu veux que je te rappel quelques règles d’Harvard aussi? C’est interdit ce que tu fais Jeremiah et si on te chope… » C’était bien ce qui me faisait le plus peur et ce qui me mettait dans cet état, si il se faisait prendre c'était l'exclusion assuré, il allait tout perdre ce qu'il avait mis les dernières années à construire, il allait même être envoyé en prison peut - être... Oh mon dieu! Tout un tas d'idées s'imposèrent dans mon esprit, paniquant en imaginant les pires scénarios je fonçais au centre de la pièce, faisant quelques pas tout en tournant en rond. « Il faut sérieusement que tu caches mieux ça Jay. Condamne ce placard, mets un verrou, autre chose, je sais pas, peu importe mais tu ne peux pas le laisser comme ça! » Je fronçai les sourcils en croisant les bras sous ma poitrine toujours aussi dévêtue. J'étais peut - être un peu chiante là dessus, mais je voulais juste lui éviter les problèmes. « Va en falloir bien plus pour que je ferme les yeux sur ça, jeune homme. » J’affirmais mes mots tout en le provoquant, je voulais bien voir aussi ce qu’il avait de mieux à m’offrir en échange de mon silence, même si évidemment, je n'irais jamais le dénoncer.

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J’attendais sa réponse avec anxiété, évidemment je n’avais pas réellement peur de la voir se munir de son portable pour me dénoncer aux autorités en charge, mais j’avais la crainte de la voir me renier au point de ne plus vouloir me fréquenter. Il y avait deux genre de personne dans ce monde, ceux qui l’acceptaient et ceux qui jugeaient les autres.Je ne savais pas où elle se situait sur la question. Sans pouvoir prévoir, elle me jeta mon t-shirt au visage. J’aurais préféré qu’elle l’enfile pour être franc. « Petit 1. Non merci! Petit 2. T’ES FOU JAY! » Elle était visiblement fâchée, c’était amusant. Un sourire afficha mes couleurs sur mon visage, j’avais du mal à la prendre au sérieux quand elle grognait ainsi. Elle me saisit à niveau des épaules pour me placer face à mon placard. « T’imagines que, si moi je l’ai trouvé si facilement, tout le monde peut en faire autant? Tu veux que je te rappel quelques règles d’Harvard aussi? C’est interdit ce que tu fais Jeremiah et si on te chope… » J’appréciais son intérêt envers ma sécurité, mais elle n’avait pas encore saisit mon personnage si elle croyais que j’avais peur du risque. «C’est ce qui rend ceci intéressant, n’as-tu jamais fait quelque chose simplement parce que tu n’en avais pas le droit?» Je tournai la tête vers elle, oh certainement pas, elle était un ange après tout. Elle m’intriguait au plus haut point, je ne savais toujours pas ce qu’elle faisait avec moi, dans ma vie. Sa respiration devint lourde et courte, elle s'essouffla, perdu dans son esprit et se mit à faire les cent pas au centre de ma chambre. Ce que je pouvais l’adorer cette femme, s’en était indécent. « Il faut sérieusement que tu caches mieux ça Jay. Condamne ce placard, mets un verrou, autre chose, je sais pas, peu importe mais tu ne peux pas le laisser comme ça! Va en falloir bien plus pour que je ferme les yeux sur ça, jeune homme. » Elle s’arrêta enfin de bouger pour me faire face, croisant ses bras sous sa poitrine que je scrutais sans la moindre gêne. C’était étrange mais sa plus, devrais-je réellement être mal à mon aise devant sa quasi nudité? J’ignorais les règles encore. Sa menace me réjouis tout de même, j’adorais quand on me mettait au défi, mais ici il n’y avait réellement aucun risque à courir. «Valentine, au cas où tu ne l’aurais pas encore remarqué, tu es bien la seule femme dans ma vie... personne n’entre dans cette chambre sans mon autorisation et je ne la donne littéralement qu’à toi. Ya aucun risque.» Je déployai le t-shirt blanc que j’avais réussi à attraper plus tôt et m’approchai d’elle pour l’obliger à l’enfiler. Je fis glisser sa tête à l’intérieur du vêtement et le déroulai sur elle comme un poncho. Ses mains gisaient de chaque côté de son corps inanimés, je n’allais pas l’aider en plus à glisser ses bras dans chaque trou. «Voilà qui est mieux.» Soufflais-je en me reculant, un sourire en coin. Il lui manquait toujours un pantalon, mais ça elle n’aurait qu’à s’en occuper elle-même.
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«C’est ce qui rend ceci intéressant, n’as-tu jamais fait quelque chose simplement parce que tu n’en avais pas le droit?» Sa phrase était restée dans ma tête, essayant de trouver quelque chose à lui répondre, je n'avais rien fait d'illégal, du moins je n'en avais pas le souvenir et à y réfléchir comme ça, j'en étais presque triste. Ennuyeuse. Alors c'est ça? Je n'avais rien d'excitant à raconter, pas même une petite histoire à se mettre sous la dent. J'en faisais ma mine boudeuse en évitant le sujet et regardant ailleurs. Je fis les cents pas dans sa chambre avant de trouver la suite de mes dires et il me dit les siens. «Valentine, au cas où tu ne l’aurais pas encore remarqué, tu es bien la seule femme dans ma vie... personne n’entre dans cette chambre sans mon autorisation et je ne la donne littéralement qu’à toi. Ya aucun risque.» Ouais, j'étais quand même pas rassurée, et il n'y avait pas que les filles qui pouvait le dénoncer. « Le risque zéro n'existe pas Jay, surtout avec un plan de cannabis dans son placard... Tu m'énerves. » Soufflais - je entre mes dents en fronçant les yeux. Évidemment ce n'était pas moi qui allait le dénoncer et cela n'allait encore moins irriter notre amitié, il faisait ce qu'il voulait de sa vie, mais je tenais quand même à veiller sur lui. Sans raison particulière, enfin il n'avait rien fait pour ça, je lui étais plutôt tombée dessus, c'était juste ainsi, il était un ami vraiment spécial pour moi, depuis déjà assez longtemps pour lui faire totalement confiance et je ne la donnais pas facilement, mais Jeremiah était vraiment différent des autres hommes pour moi, il était... dans un sens, je l'aimais comme je n'aimais personne. Il était unique, lui, faisait tout ce qui lui plaisait et c'est ce qui me faisait l'aimer, ce sentiment de liberté qu'il me faisait gouter à travers sa vie. Il était un grand enfant qui fuyait les responsabilités et je m'étais plu au rôle de les lui rappeler. «Voilà qui est mieux.» Dit-il après m'avoir enfilé son t-shirt. Je ne bougeais pas un instant en soupirant légèrement, plus pour jouer mon rôle à fond que d'exaspération, puis passai mes bras dans chaque trou. Je me rendis derrière lui pour attraper un bas et je m'en sortais avec un short un peu trop grand mais qui ferait l'affaire pour ce soir. « Alors je peux rester ici pour cette nuit dis? » Je lui posais la question sans vraiment lui laisser le choix au fond, je n'allais pas sortir avec cet accoutrement, impossible qu'on me voit comme ça et il me connaissait assez pour le deviner. « Et si on s'organisait notre petite soirée rien que tous les deux? » Je m'avançais vers son meuble tv pour regarder les dvds afin d'en choisir un tout en attendant sa réponse, peut-être avait -il prévu autre chose en d'autres compagnies, je savais que les nuits de Jeremiah étaient très animées, enfin j'espérais que ce soir il souhaite rester rien qu'avec moi. Je laissais tomber l'idée du film en me relevant vers lui. « On peut jouer à un jeu, hum? » Je faisais les quelques pas qui me séparaient de son lit avant de monter dessus et de me faufiler jusqu'aux coussins, j'en attrapai un entre mes bras et croisa les jambes en le fixant malicieusement. « Action ou vérité? » Commençais - je à demander pour débuter la partie. C'était toujours bon d'en apprendre plus sur lui et j'avais un million de question à lui poser, ma curiosité jamais assez rassasiée, le jeu des actions ne sera qu'un plus pour m'amuser avec lui et le torturer de mile et une façon, j'avais déjà un flot d'idées qui me traversait l'esprit, hum.

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Je pouvais le voir dans son regard, ce regret du risque qu’elle n’avait jamais encore encouru. Je ne voulais pas la diminuer, la rendre coupable de n’avoir vécut qu’à demie depuis lors, sans doute que c’était elle la véritable aventurière, elle avait avancée alors que moi je restais toujours au même stade, au stade de l’enfance éternelle. Je ne pouvais changer et elle non plus, nous étions ce que nous sommes et le resterions. « Le risque zéro n'existe pas Jay, surtout avec un plan de cannabis dans son placard... Tu m'énerves. » Cette déclaration me fis sourire. Je n’allais pas prendre le risque de la fâcher encore plus en lui révélant qu’en mes trois années ici, elle était la seule à l’avoir découvert, elle ne savait pas encore juste à quel point je pouvais être solitaire. «Tu m’énerves aussi, arrêtes ou je vais te mettre au défi d’en essayer un peu!» Je n’avais peur de rien, surtout pas de fumer dans ma chambre, de fumer devant elle pour la provoquer. Il suffisait de la mettre au défi celle-là et elle obéissait à tous mes désirs, c’était trop simple et son orgueil lui ruinerait la vie! Je la forçai à enfiler mon t-shirt prestement, j’étais las de la trouver étrangement nue, il fallait y remédier. Elle soupira son désaccord avant de se résoudre, ce qu’elle pouvait être irrésistible parfois! Elle me contourna pour atteindre mes tiroirs d’affaires en tout genre, me volant un short comme si je n’avais pas déjà été assez généreux. « Alors je peux rester ici pour cette nuit dis? » J’écarquillai les yeux, personne ne restait jamais dans ma chambre pour toute une nuit, l’idée seule me semblait un investissement trop coûteux, mais il devait bien y avoir une exception à tout. «Dites donc, un peu plus et on croirait que tu… dans le même lit?» J’ouvrai la bouche, faussement indigné par sa demande. Il n’y avait jamais rien eu d'ambigu entre nous, ne me demandez pas de vous expliquer pourquoi, c’était juste ainsi. Elle me proposa ensuite d’organiser une soirée qu’à nous deux, j’haussai les épaules sans enthousiasme alors que l’idée ne me déplaisait guère. Je ne sais pas, je voulais pas me montrer trop content, ça lui ferait trop plaisir. Je la vis passer en revu ma collection de DVD en tous genres. « On peut jouer à un jeu, hum? » Elle avait déjà abandonné sa quête, c’était jeté sur mon lit, assise en indien, et pris en otage mon coussin innocent. « Action ou vérité? » J’arquai un sourcils, je connaissais le jeu, mais n’y avait encore jamais joué, je n’avais pas besoin de ça pour ajouter du piquant à ma vie. «Fais toi plaisir. Choisis pour moi.» Si elle me demandait, c’était sans doute qu’elle avait déjà une idée derrière la tête, je la connaissais. Je lui tournai le dos quelques instants pour me saisir du fameux Notebook qui semblait plaire à toutes les femmes. Je glissai le disque dans la fente de mon DVD puis le mis en marche. Au moins ça masquerait le silence. «Je ne connais pas bien les règles du jeu, ai-je le droit de demander littéralement tout ce que je veux? Sans limite?» Un sourire naquit sur mes lèvres, maladroit dans son exécution comme il s’y cachait derrière une intention d’abuser de l’occasion pour la mettre hors de son aise. Je m'assis au coin du lit, la tête tournée vers elle, les yeux noirs de malice.
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