Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDixie ♪ La vie n'est pas un long fleuve tranquille.
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Dixie ♪ La vie n'est pas un long fleuve tranquille.

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Jour 1

Heure : 22h.
Lieu : Sur la plage.
Contexte : Seul sur la plage, le regard désespéré quand Dixie apparaît.
Participants : Dixie. Dixie ♪ La vie n'est pas un long fleuve tranquille. 2109348208



Enfin. La saison du spring braker pointait enfin son nez. Un harem de drogué, ou l'alcool coule à flot et où le seul but de s'amuser est de soit coucher avec tout ce qui bouge, soit danser contre des corps divins. C'est ce qu'avait en tête Charlie depuis quelques semaines, et pourtant depuis la soirée des fermiers, cette idée ne lui effleurait plus l'esprit. Préférant faire une balade en pleine nuit sur une des plages célèbres du coin, marchant les pieds nues sur le sable froid. Qui tantôt était beaucoup plus chaud. Il n'avait pas vraiment le cœur à faire la fête, bien qu'il est passé toute l'après midi à danser et à boire comme un trou. Charlie était donc légèrement ivre, le regard perdue sur le rivage. Chance pour lui, le clair de lune était de rigueur, ce qui lui permettait de pouvoir ne pas se prendre les pieds dans des sacs poubelles ou encore des objets laissés sur la plage. S'approchant du rivage, il laissa les vagues s'emparer de ses pieds en les touchant, puis en se retirant pour recommencer ce geste. Se reculant de plusieurs pas, il finit par s'asseoir, puis carrément s'allonger en laissant ses yeux se river sur le ciel sombre et éclairé de cette nuit-là. Charlie pouvait entendre la musique au loin, sûrement une fête donné sur la plage à l'autre bout. Fermant les yeux un instant, il réfléchissait à cette fameuse soirée ayant comme thème la ferme et qui s'était mal déroulé ; Un poing échangé avec ce fameux James. Et le pire pour lui était sûrement la raison de ce geste. Dixie. Sa beauté et son caractère avait réussit à le séduire en seulement quelques semaines, et bien qu'il refoule le fait qu'elle lui plaise physiquement aussi bien que physiologiquement, il n'arrivait pas à passer à autre chose. Il avait prit conscience qu'il était jaloux de ce qu'elle avait bien pu faire à ce mec, et ça le rendait fou. Comment pouvait-il être attaché à une femme alors qu'il ne la connaissait pas réellement ? On nageait en plein délire. Fermant les yeux un instant, il essayait de chasser ses idées de sa pensées mais rien à faire. Tout était bien trop ancrée dans sa mémoire, tout comme dans son cœur puisque celui-ci lui faisait quelque peu mal en repensant au baiser donné. Charlie n'en était pas amoureux, ce serait absurde que de dire cela, non, il était très possessif envers la jolie blonde, malgré lui. Se redressant sur ses coudes un instant, il ferma un instant les yeux en sentant une brise légère l'envahir avec douceur. Faisant abstraction de la musique au loin, le jeune Winthrop écoutait le silence enfin, les vagues se fracasser contre les rochers ou bien le rivage quand des bruits de pas s’avancèrent vers lui. N'y prêtant pas réelle attention, il se laissait vivre en essayant de faire le vide dans son esprit.

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Le Spring Break. Le moment tant attendu par la majorité des étudiants de l'Université. Bien évidemment, le SB ne durait pas si longtemps, mais c'était toujours bien pris, puisqu'il permettait à à peu près tout le monde de se laisser aller, faire la fête et oublier les cours et les problèmes. Pourtant, ce n'étaient pas les raisons qui me poussaient à être enthousiaste face à cette «célébration». Oh que non. En réalité, je revenais tout juste d'une semaine intensive à l'hôpital, où j'avais passé mon temps, presque 24 heures sur 24, sur le banc d'opération et d'analyses. Eh oui, après toutes ces visites à l'hôpital, l'opération de mon médecin spécialisé qui suivait mon cas depuis mon accident cet été, avait porté ses fruits : je retrouvais la vue. Du moins, seulement de l'oeil gauche, celui qui était le moins affecté par l'explosion et l'incendie, celui dans lequel j'avais toujours gardé espoir. L'oeil droit, quant à lui, s'était amélioré un peu, mais sans plus. Les ombres étaient maintenant plus précises, mais c'était à peu près tout. Mais quelque chose d'autre me rendait encore plus impatiente par rapport au Spring Break. Charlie. J'sais pas s'il s'en était jamais rendu compte auparavant, mais j'avais des sentiments étranges que j'éprouvais à son égard depuis quelques temps. Principalement depuis la soirée de la Saint-Valentin qu'il m'avait promise et même offerte. J'avais ressenti d'ailleurs, en plus, sa jalousie prononcée lors de la soirée des fermiers. Il avait frappé au visage mon ami James parce que je l'avais embrassé sur le coin des lèvres. Pourtant, James était un ami, rien de plus. J'avais fait cela, et ce dernier le savait, seulement pour rendre jaloux Charlie. Et...je crois que le résultat fut concluant, bien que Charlie n'ait rien dit ou avoué. Bref, avec tout ça, et surtout parce que j'avais enfin retrouvé l'usage de mes yeux, et que j'avais hâte d'enfin pouvoir voir à quoi ressemblait ce jeune homme qui attendrissait tant mon coeur depuis un moment, pouvoir enfin le contempler, l'admirer, et le dévorer du regard, j'étais finalement arrivée au Spring Break avec quelques jours d'avances sur ce que j'avais prévu, mais avec quelques heures de retard sur le début de la journée (du premier jour). Bien qu'il soit tard à proprement dit, et que le soleil se soit couché, la musique résonnait sur la plage de Punta Cana comme lors du Summer Camp, l'été passé. Cette fois-ci pourtant, je comptais bien profiter autrement du moment : pas besoin de faire la fête tous les soirs, de danser collé-serré contre n'importe quel inconnu, draguer, boire et se droguer. Non, juste respirer un peu, profiter de ma nouvelle paire d'yeux et voir Charlie. Puisque j'étais arrivée assez tard tout de même, je décidai de profiter un peu de la plage et de marcher sur celle-ci, en écoutant avec plaisir le son des vagues qui se fracassaient sur les rochers. Je marchai une bonne demie-heure, pieds nus dans le sable. À un certain moment, je plissai les yeux, en croyant apercevoir une forme humaine à quelques mètres plus loin. Il faut dire que je m'habituais difficilement à ma nouvelle vue, comme si j'avais toujours été aveugle auparavant. Je m'approchai sans faire trop de bruit pour ne pas effrayer la personne. Plus je m'approchais, plus un sourire se dessinait sur mes lèvres. Je reconnaissais Charlie. Je ne voulais pas lui dire tout de suite pour mon opération. Je voulais en profiter un peu, disons... Je fis comme si de rien n'était, en marchant doucement, lorsque l'idée de trébucher contre un rocher me traversa l'esprit. Je mis mon «plan» à exécution, puisqu'avec de la chance, un rocher était juste à côté de Charlie, qui ne m'avait toujours pas remarquée. Il devait somnoler. Je me pris donc le pied dans le sable en tombant au sol en maugréant assez fort pour qu'il m'entende : « Eh merde... J'aurais dû emporter ma canne. »


HRP -> Je sais que c'est un peu long, mais ne t'en fais pas, les réponses qui suivront seront plus courtes Dixie ♪ La vie n'est pas un long fleuve tranquille. 1365124802
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Je n'avais pourtant pas beaucoup bu, mais ma tête me tournait déjà. Comme quoi, je ne tenais véritablement pas l'alcool. Arg, j'en prenais encore un coup pour mon égo d'homme mal placé. En général, un homme est viril, beau, charmant et il tient l'alcool ! J'étais en général vraiment dans la merde pour draguer, surtout quand l'alcool coulait à flot, je dérapais facilement pour m'endormir d'un coup. Autant dire que ça n'a rien de sexy.
Regardant l'eau qui se mouvait doucement, je décidais de me lever tant bien que de mal pour m'asseoir de nouveau tout près de l'eau. Je pouvais ainsi sentir celle-ci se faufiler entre mes pieds et me rafraîchir dans un même temps. Car oui, j'avais chaud terriblement chaud, tellement que j'avais l'impression d'étouffer par moment. Et l'alcool n'arrangeait rien. J'avais donc les yeux rivés sur mes pieds, tandis qu'un vent chaud parvint jusqu'à moi. Ce que c'était bon de commencer un Spring Break dans ses conditions, bien que la raison de ma consommation soit dut à une Mather. Pourtant ce genre de personne je les fuillais comme la peste. J'aimais leur côté fêtard, mais je ne supportais pas la drogue et ce genre de connerie. Malheureusement pour moi, il avait fallut que je tombe sur un demi-soeur Mather et une jolie nana qui me plaisait bien, elle aussi Mather. Comme quoi, on ne choisissait jamais les gens à qui on tiens le plus. Mais alors que je fermais les yeux de temps à autre à cause de la fatigue j'entendis un bruit sourd, puis une voix féminine. Pas vraiment lucide, je retournais la tête en voyant une jolie jeune femme sur la plage. Moi qui pensais être seul, sans parler que dans le noir, j'avais bien du mal à la reconnaître. Me relevant, je marchais jusqu'à elle en chancelant de gauche à droite, et c'est seulement en réfléchissant à sa phrase que je heurtais enfin. Dixie. Putain de merde, c'était Dixie. J'ouvris alors les yeux un peu plus en essayant de contrôler un peu plus mes mouvements. Elle allait finir par se barrer en courant en voyant un mec vaciller comme un zombie ou je ne sais qu'elle monstre sur humain. « Dixie ? Attend, je vais t'aider. » Dis-je en tandant ma main dans sa direction. A l'instant où j'avais compris que c'était elle, j'vais essayé de me tenir plus droit pour ne pas avoir l'air beurré. J'avais tout de même ma fierté, et puis, j'allais devoir ne pas laisser la fatigue m'envahir en plus de l'alcool. C'était le drame assuré sinon. Dans ce genre de cas, j'avais l'habitude de dire ce que j'avais sur le coeur, ou bien ma vérité sur la personne en face. Autant dire, que j'avais perdue des personnes comme ça. Une fois, c'était sur une jolie blonde, une amie de longue date pour qui j'avais avoué mes vérités ; qu'elle couchait avec tout le monde et que son seul ami c'était son chien. Je m'étais pris une belle baffe et j'avais regretté mes mots par la suite. Méchant une fois bourré ? Cela dépendait de la personne, et en ce qui concernait Dixie, ça risquait de me faire du tord. Je m'étais promis à moi même de ne pas la toucher alors qu'elle me plaisait énormément. C'était mission quasi impossible vu mon état, mais mon éclair de lucidité allait peut être m'aider. « Qu'est-ce que tu fais sans ta canne, et dehors à cette heure ? Tu sais qu'on pourrait te prendre et.. et.. et..  » Rien que d'imaginer la jeune femme dans une même position que sa première rencontre m’écœurait. Je ne voulais pas qu'un autre la touche, surtout pas avec ses sales mains de violeur. « T'aurai du m'appeler, je serai venue, et j'aurai fais attention à toi, tu vois.. Y'a des gens pas bien ici, tu sais.. » Merde. Je crois que j'étais grillé. J'arrivais même pas à aligner une phrase correctement, et mon coeur parlait de plus en plus pour moi. J'étais décidément dans la merde.

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Dixie & Charlie


J'me plantais moi-même dans un rocher pour attirer l'attention d'un garçon. N'était-ce pas désespéré, ça? Un peu. Mais pour être sincère, j'en avais rien à foutre. Du moment où je pouvais le voir, sentir son regard sur moi, et surtout, maintenant, être capable de le voir, j'pouvais juste pas passer à côté et continuer ma petite promenade sur la plage comme ça. Mon petit manège fonctionna, puisqu'il ne fallut pas longtemps à Charlie à se relever et à porter secours à la «demoiselle en détresse». Moi, quoi. « Dixie ? Attend, je vais t'aider. » Je souris en le voyant arriver. Il me tendit sa main. Je sentais ses doigts sur ma peau, alors je pris sa main et me relevai. Mon regard se posa sur lui et là, ce fut le deuxième coup de foudre. Le choc total. J'étais muette maintenant. J'avais retrouvé les yeux pour perdre la voix. J'étais incapable de bouger. Même si c'était la nuit, et que j'avais du mal à voir, j'avais devant moi le garçon que j'avais tant rêvé de vouloir voir de mes propres yeux un jour. Il était si beau.. Pas exactement comme je me l'étais imaginé. Il avait peut-être décrit ce à quoi il ressemblait, mais jamais je n'aurais pu me l'imaginer parfaitement. En fait, il était encore plus beau que dans mes pensées. Parcourant mon regard de sur lui, j'oubliais presque moi-même la surprise que je m'étais promise de lui réserver pour plus tard. J'voulais pas qu'il le sache tout de suite. Peut-être parce que je voulais me laisser me délecter de lui un peu plus longtemps. Il était si beau... Des yeux perçants et magnifiques. Un visage si bien dessiné, mystérieux, qui me faisait craquer. Une bouche divine. Des bras musclés... Mais tout ça, c'était «superflu». J'avais appris à le connaître sans le voir, et son physique n'était qu'un plus à tout ça. Pour moi, il était déjà parfait avant même ce soir. « Qu'est-ce que tu fais sans ta canne, et dehors à cette heure ? Tu sais qu'on pourrait te prendre et.. et.. et..  » Je me réveillai de ma propre rêverie presque en sursautant. Je rougis, puis fronçai les sourcils. Il bégayait beaucoup. Il avait l'air perdu dans ses propres pensées, dans ses propres paroles. Je le voyais balancer de tous côtés, comme s'il manquait d'équilibre. Avait-il bu? Je me rapprochai de lui en m'aidant de sa main qui tenait la mienne. Même si je n'en avais plus besoin, je me devais de «jouer le jeu». Je souris. « J'ai oublié ma canne à l'hôtel... Et puis à cette heure, dans le sable, j'en ai pas vraiment besoin... Y'a personne sur qui foncer. J'suis là, et bien vivante. Tu me sembles bien...fragile ce soir. Je le sens... Tu trembles. As-tu bu? » J'étais pas inquiète, même si je me demandais la raison de sa beuverie solitaire. « T'aurai du m'appeler, je serai venue, et j'aurai fais attention à toi, tu vois.. Y'a des gens pas bien ici, tu sais.. » Mes joues prirent un teint fortement rosé. Heureusement qu'il ne pouvait pas voir ça, il faisait noir. Ma main libre se leva doucement pour venir caresser sa joue. «  J'savais pas que tu serais ici, Charlie. J'avais besoin de prendre un peu d'air, tout va bien... Je sais me défendre, ein. Tu... tu aurais fait attention à moi, tu dis? Comment? » Il avait bu, ça se voyait, ça se sentait. Je tirai un peu sur sa main pour m'asseoir et l'entraîner avec moi, tout en restant près de lui. « J'suis contente de te voir... J'avais si hâte. Et... toi? » J'pouvais pas m'empêcher de le regarder. Il était si beau, avait un air si doux et sauvage à la fois. Pourquoi il me faisait cet effet si fort?
CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Elle prit alors sa main pour la glisser dans la mienne, ce qui me permit rapidement de la remettre sur pied. Dixie était vraiment folle de se promener la nuit, surtout sans sa canne, c'était comme si je partais à l'aventure sans emmener le moindre équipement. J'étais inquiet pour elle, et j'avais de quoi après la soirée ou je l'avais rencontré. Son regard terrifié et cet espèce d’abrutie qui ne pensait qu'à la sauter sans une ruelle. C'était vraiment dégueulasse. « J'ai oublié ma canne à l'hôtel... Et puis à cette heure, dans le sable, j'en ai pas vraiment besoin... Y'a personne sur qui foncer. J'suis là, et bien vivante. Tu me sembles bien...fragile ce soir. Je le sens... Tu trembles. As-tu bu? » Eeeeeh merde. Je savais bien que je me trahirais tout seul, j'en étais même certain. J'était le roi pour faire remarquer à mon entourage ma consommation abusive d'alcool. Réfléchissant un moment, j'essaie de réfléchir pour prononcer une phrase correcte sans paraître un peu amoché. « Moi fragile, non, non. Je vais bien.. Et, j'ai bu.. un peu. Mais, revenons à toi, tu aurai du emmener ta canne. » Dis-je en faisant un effort sur humain pour ne pas me rouler dans le sable. Je ne savais pas très bien pourquoi, mais j'en avais envie. Sûrement encore un de ses effets complètement débile que l'on pouvait ressentir quand on avait but. «  J'savais pas que tu serais ici, Charlie. J'avais besoin de prendre un peu d'air, tout va bien... Je sais me défendre, hein. Tu... tu aurais fait attention à moi, tu dis? Comment? » Dixie semblait chercher à me faire dire ce que je n'avais en aucun cas envie de lui avouer. Malheureusement pour moi, mes mots dépassèrent bien trop vite les barrières de mes lèvres. Je sentais que j'allais les regretter ses mots, mais je n'avais plus aucun contrôle sur moi même. « Comment ? Dixie, je suis né pour prendre soin de toi..  » Dis-je en luttant pour ne pas en dire plus. Je n'avais pas particulièrement envie de regretter ma première soirée ici. Ce serait dommage. « J'suis contente de te voir... J'avais si hâte. Et... toi? » J'enviais parfois la jolie jeune femme, pour ses talents à dévoiler ses sentiments, ses expressions ou bien son humeur aussi vite. J'avais bien souvent tout enfermé au fond de moi en ne laissant qu'un sourire apparaître sur mon visage. Rien que cette pensée me déprimait énormément, et je voyais en Dixie un rayon de soleil. Que j'avais envie de toucher pour être moi-même plus lumineux. M’avançant vers elle, je la scrutais du regard en laissant celui-ci dessiner ses courbes et son visage grâce à la faible source de lumière qu'émettait le clair de lune. Ouais, sur le coup, j'étais complètement sous le charme, et subjugué par sa beauté naturel. Ça craignait. J'étais pas en état pour faire subir un tel choc à mes yeux. Je posais mes doigts dans le creux de son cou en l'effleurant. Je n'avais pas du tout conscience de mes actes, mais dès qu'une envie se présentait à mon esprit, mon corps le réalisait sans que ma lucidité puisse s'y opposer. C'est dans dans un élan de désir, que je posa mes lèvres sur les siennes. Mes doigts plutôt sur sa peau s'était logé dans sa crinière blonde qui bougeait légèrement au rythme du vent. Je ne lui donnais pas le meilleur baiser de ma vie, il était certain mais je l'embrassais avec toute l'envie que je ressentais en ce moment.  

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