« magnifique créature. » - kol&lauréane

C'était le bordel complet dans ma vie j'en était conscient, j'étais plus moi même sans Keyla, et Elizabeth semblait m'échapper d'une façon ou d'une autre. Il fallait qu'une page se tourne c'était certains, c'était peut-être définitivement finis avec les deux. J'avais été trop gourmand javais joué avec le feu et je m'étais brûlé tout entier, et c'était horrible, déchirant. Je faisais de mon mieux pour m'en sortir, mais c'était plus dur à faire qu'à dire. Malgré tout ça j'essayais de garder espoir, c'était le moins que je puisse faire à près tout, et je pouvais me changer les idées pour ne plus y penser. C'est pour ça qu'avec Lauréane nous avions prévu d'aller au cinéma tous les deux. Cette jeune femme était tout simplement à tomber par terre, et j'avais réussi à la mettre dans mon lit, mais il n'y avait que le sexe entre nous, il y avait une certaine complicité, de l'affection et de l'amitié. Elle était en quelques sorte ma bouffé d’oxygène, et sa me faisait beaucoup de bien. On s'était attendu devant avant de rentrer pour aller voir un des films du moment, d'ailleurs je savais même pas ce que c'était, mais après tout peu importe, cette sortie au cinéma c'était surtout pour que l'on puisse être tous les deux. Elle était enfin arrivée, elle était magnifique comme toujours, je l'avais embrassé comme pour lui dire bonjour. « Tu vas bien ? T'es magnifique comme toujours. » Je la regardais encore et encore et je la trouvais à chaque fois de plus en plus belle.

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Lauréane & Marcus

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Les relations futiles et sans interet faisaient partie de mon quotidien. Les relations sérieuses n'étaient pas fait pour moi. Un brin solitaire et indépendante, je ne tenais pas à avoir de limite. Kol faisait partie des personnes avec qui j'aimais m'amuser. Joueur et un brin lucide, il était l'ami parfait et l'amant parfait. Ils nous arrivaient de couché ensemble et il m'arrivait de rendre ses prétendantes jalouses. Un jeu dangereux auquels nous nous étions abonnés. Aujourd'hui, je devais le rejoindre au cinema. Une petite soirée tranquille entre deux bon vieux amis. C'était la soirée qu'il me fallait avant le départ pour le spring break. Pour ce soir, j'avais décidé de m'habiller normalement. Un bon vieux jean, des bottes, un débardeur et un veste en cuir. Tout en sobriété et en simplicité. " Tu vas bien ? T'es magnifique comme toujours ". Avec un peu de retard, j'étais arrivée. Kol afficha un beau sourire, un sourire que je lui rendis immédiatement. Je viens l'embrasser et lui répondis : " ça va super bien monsieur Parker... contente d'être ici et toi comment vas-tu ? ". J'affichais ensuite un sourire gêné. Je lui fis : " Tu vas finir par me faire rougir parker " je pouvais rougir ouiiii et ce genre de compliment ne m'était pas insensible. Je lui pris le bras et je posais ma tête sur son épaule. " Aloooooooors qu'allons nous voir ce soir ? " dis-je curieuse et à la fois contente de le retrouver.

J'aimais passé du temps avec Lauréane, cette femme que tout homme convoité, mais ce soir j'allais en profiter, elle était rien qu'à moi pendant toute la soirée, et c'était plutôt agréable. Je l'avais attendus quelques minutes à peine devant le cinéma à essayer de trouver un films potable à regarder tous les deux et autant dire que ce n'était vraiment pas facile. Elle était arrivée comme une princesse avec ses cheveux blonds son débardeur, sa veste en cuir et son jean qui lui allé à la perfection. Et quand elle était arrivée devant moi je l'avais embrassé avec passion, comme si ça avait toujours était comme ça entre nous. C'était une belle histoire, j'avais pas besoin surtout en ce moment de quelque chose de sérieux en tout cas pas pour l'instant ma séparation était encore trop fraîche à mes yeux et ce n'était pas encore totalement terminé pour moi, cependant j'aimais ce côté sans aucune prise de tête, entre elle et moi et c'était ça qui comptait le plus. « ça va super bien monsieur Parker... contente d'être ici et toi comment vas-tu ? Tu vas finir par me faire rougir Parker. » Oui moi aussi j'étais content d'être la avec elle, en même je pense il n'y avait pas meilleure compagnie qu'elle, intelligente, magnifique c'était l'idéal, la femme parfaite quoi et puis après tout elle était en médecine tout comme moi.  « ça va très bien et toi ? J'en suis très flatté, je vous fais craquer tant que ça mademoiselle Silving, c'est un honneur ! » On était tous les deux très complices, et vu ce qu'elle venait de faire, on aurait presque pu nous prendre pour un vrai petit couple, après tout fallait bien l'avouer on formait un jolie duos. « Aloooooooors qu'allons nous voir ce soir ? » Je savais toujours pas et a vrai dire, c'était difficile de choisir un films qui pourrait nous plaire à tous les deux. Mais bon fallait bien en choisir un, et puis celui-ci avait l'air pas mal, il fallait pas qu'on reste non plus des heures devant le cinéma pour au final ne rien voir.  « Qu'est-ce que tu dis de The wolf of wall street ? » En plus le casting avait l'air super cool donc autant ce lancer.

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Lauréane & Marcus

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Un duo qui dépassait bien des limites. La simplicité de notre relation était contagieuse. Nous jouons un rôle en permanence. Un rôle auquel nous étions finalement très attachés. Amis, amants. Bien difficile de qualifier notre relation de simple amitié. Il y avait plus, s’était évident. Un baiser passionné, Kol était un amant parfait. Mes mains s’étaient rejointes dans la nuque du beau Winthrop tout en prolongeant se baiser. « ça va très bien et toi . J’en suis très flatté, je vous fais craquer tant que ça mademoiselle Silving, c’est un honneur ! » Kol faisait partie des garçons qui me faisaient craquer. Il était beau, intelligent et marrant. Des qualités essentielles d’après moi. J’affichais un petit sourire au coin amusé par la situation. « On ne peut mieux » dis-je un brin amusé. Je ne pouvais qu’aller bien, j’étais à l’aise ici. Ses bras m’avaient souvent entouré et Kol avait quelque chose de rassurant. « peut-être bien monsieur Parker… mais je ne vous le dirais pas » s’il me faisait craquer . Peut-être bien. Je me mordillais les lèvres. Il est vrai que nous étions complices au point de confondre amitié et amour. Nous n’étions pas un couple, non. Nous étions deux amis qui profitions de la vie. « Qu’est-ce que tu dis de The Wolf of Wall street ? » j’affichais un sourire, ce film me convenait parfaitement et je lui fis : « avec Leonardo Dicaprio, fait gaffe tu pourrais avoir de la concurrence… je suis tout à fait d’accord allons voir ce film » dis-je un brin amusé. Je lui pris le bras et nous rentions dans le cinéma avec les billets à la main. Je lui fis ensuite : « et sinon, quoi de nouveau monsieur Parker ? »

Pour une fois j'étais heureux entièrement avec une autre femme que la mienne, et sa me permettait de sourire une nouvelle fois. J'adorais passer du temps avec elle, c'était sans tabou entre nous deux et c'était ça qui était si magique. Elle m'avait qu'elle allait bien, elle était souriante, sa semblait si ... facile. « peut-être bien monsieur Parker… mais je ne vous le dirais pas » Moi aussi à mon tour j'avais souris, je lui avais souris. « Vous êtes pleines de secrets pour moi Mademoiselle Silving, mais j'aime ça. » Je n'avais pas envie de la lâcher, pas pour le moment, c'était encore bien trop tôt. Je lui avais proposé de regarde the wolf of wall street, et qui de mieux qu'elle pour être avec moi ? Je n'aurais espéré meilleure compagnie que cette femme réellement formidable qui était Lauréane. « avec Leonardo Dicaprio, fait gaffe tu pourrais avoir de la concurrence… je suis tout à fait d’accord allons voir ce film » Nous étions rentrés dans le cinéma, et en se dirigeant vers la salle, je l'avais regardé tendrement, peut-être avec un peu trop de passion. « Il n'est pas plus sexy que moi, et lui je crois que tu ne l'as jamais vu nu. » j'avais ris légèrement, je l'avais bien dit, il n'y avait aucun tabou entre nous deux. « et sinon, quoi de nouveau monsieur Parker ? » Alors que nous arrivions à la salle ou le films devait être projeté je finis par lui répondre. « Et bien à vrai dire en ce moment je suis avec l'un des plus belles femmes de la terre, donc je pense que c'est suffisant, tu ne crois pas ? Et toi ? » Il y avait déjà beaucoup de monde dans la salle, et il était temps de trouver de la place pour nous deux.

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Lauréane & Marcus

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Je ne me prenais pas la tête. Mes relations se traduisaient souvent pas de l’amitié et du sexe. Je n’avais rien de formel et tout ceci me convenait. Kol l’avait d’ailleurs parfaitement bien compris. Il me ressemblait beaucoup et finalement nous y trouvions notre compte. Nous étions aussi bien amis qu’amant. « Vous êtes pleines de secrets pour moi Mademoiselle Silving, mais j’aime ça » je l’étais c’est vrai. Mon expérience et mon passé m’avaient appris à garder mes secrets. Une manière pour moi de me tenir à l’écart d'une future autre blessure. Je lui fis : « J’espère bien » j’affichais un sourire aux lèvres. Mon bras s’était accroché à celui de Kol et ma tête s’était posé sur son épaule. Je l’appréciais vraiment. Il était d’un grand soutient, un des meilleurs même. Nous rentrions dans le cinéma. Mon regard se posa sur le jeune Winthrop qui semblait me dévisager du regard « Il n’est pas plus sexy que moi, et lui je crois que tu ne l’as jamais vu nu. » je me mis à rire et me mordillais la lèvre. « Faite gaffe Parker, tu pourrais des envies bien légères si tu continues à parler de nudité. » Kol était un très bon amant. J’y trouvais mon compte et j’espérais que Kol aussi. Je lui fis un petit bisou sur la joue et lui fis un clin d’œil. Nous rentrions dans la salle et nous installions derrière. Les derniers sièges. L’endroit parfait. « Et bien à vrai dire en ce moment je suis avec l’une des plus belles femmes de la terre donc je pense que c’est suffisant, tu ne crois pas . Et toi ? » mes yeux se plissèrent, je me rapprochais dangereusement laissant ma bouche à quelques centimètres de la sienne. « Je vais très bien et encore mieux maintenant » dis-je doucement. Je me pinçais la lèvre doucement et lui fis un peu plus sérieusement : « arrêté de me lancer ce regard Parker, ça devient troublant » dis-je avec un sourire avant de me remettre correctement sur mon siège.

C'était amusant de jouer à ce jeux la avec Lauréane, comment lui dire non ? Elle était si belle, tellement intelligente que c'était pratiquement la femme parfaite, et je lui aurais jamais dit non, c'était certains. J'étais libre aujourd'hui, libre de mes actes, libre de choix ... et aujourd'hui c'était elle que j'avais choisi pour passer un bonne soirée tous les deux au cinéma. Je m'en lassé jamais, c'était nous deux, nous deux ici et personne d'autre, et ça paraissait tellement simple, tellement nous deux, que ça pouvait en laisser perplexe certains, mais nous après tout c'est-ce qu'on avait choisi, et changer tout ça, sa ne me semblait impossible ... je n'en avais pas envie, pourquoi changer quelque chose qui était déjà parfait comme il était à la basse ? Ce n'était pas dans nos plans, en tout cas à c'est-ce que je pensais ... moi. « J’espère bien » On avait tous nos petits secrets, c'était normal ... mais j'étais curieux. « Tu sais bien que je suis très curieux ! » J'avais rit quand j'avais dit à Lauréane que je n'était pas plus beau que moi, tout simplement car lui elle ne l'avait jamais vu tout nu, ce qui était vrai ... enfin je pense quand même. « Faite gaffe Parker, tu pourrais des envies bien légères si tu continues à parler de nudité. » J'avais sourit, c'était une bonne occasion pour continuer alors. « Je crois que je vais continuer alors, mais en te le disant dans l'oreille, parce que ça serait malheureux qu'on pourrisse le film à tout le monde. » On en était bien capable pourtant, nous deux ça pouvait par moment devenir étonnant. « Je vais très bien et encore mieux maintenant » Elle avait rapproché ses lèvres des miennes dangereusement. Je la regardais, tout en souriant légèrement, j'aimais ça. « Je suis ravis pour toi alors. » avais-je dis en souriant, c'était intense entre nous deux, et c'était ça qui était le plus excitant. « arrêté de me lancer ce regard Parker, ça devient troublant » C'était bien ça qui était amusant. Elle s'était remise en place sur son siège. « Tu ne trouves pas que c'est bien plus amusant quand c'est troublant ? » avais-je dis toujours en la regardant, je ne la quittais pas du regard depuis plusieurs minutes déjà.