Play with me, Baby. - Avec Orion

Oui, nous savons très bien Monsieur, je pense qu'on a compris que cet homme mérite la peine de mort, on vous le promets, il sera piqué! J'avais envie de lui dire ça mais je voulais éviter de me faire exclure de cours, mais j'en avais un peu marre, c'était la fin de semaine après tout. Je soupirais, me préparant à partir, lasse, je m'étais du temps. C'est alors que je vis quelque chose sous la table, sur le coup, je n'avais pas fais attention mais lorsque je vis que c'était des photographies plutôt... « osées » je n'avais pas pu m'empêcher de me baisser sous la table pour voir ce que c'était. De jolies photographies d'un garçon que je ne connaissais pas et personnellement, qui ne me déplaisait pas. Il était plutôt agréable à regarder, ce qui me fit sourire sur le coup. Je me pinçais les lèvres, me demandant si c'était un garçon d'ici ou pas. Je marchais alors dans les couloirs, regardant attentivement, me retenant de rire lorsque je vis une photographie de ce garçon vraiment de face, nu, on pouvait dire au moins, qu'il était bien gâté par la nature. Je venais à peine de les mettre dans mon sac que je vis le spécimen en vrai! Je me pinçais les lèvres, prenant seulement une seule photographie, histoire de m'assurer de le tenir comme il faut. Je me dirigeais vers lui, posant mon dos sur son casier, pour m'assurer que je capte toute son attention. « Dis donc, mon beau, c'est souvent que tu te prends en photo dans la douche ? Ça a l'air plutôt amusant, j'espère que tu m'inviteras la prochaine fois... » Je me mis à rire, c'est vrai que ce n'était pas tous les jours qu'on voyait un garçon faire ça. Je lui montrais la photographie, celle où on ne voyait pas le petit « oiseau ». « Tu m'invites quand ? »

(Invité)

Avec cette chaleur, c’était plutôt pénible de rester en cours. Surtout en sachant que le weekend était déjà à quelques minutes de la fin des cours. J’en avais marre de resté assis sur ce siège d’école à écouter les conneries que disait mon enseignant. On aurait dis qu’il tournait en rond. Du moins je n’écoutais pas vraiment ce qu’il disait, alors il devait répéter pour la plupart des élèves dans cette classe qui comme moi n’était pas vraiment là d’esprit mais seulement de corps. Puis la cloche sonna, heureusement pour moi puisque j’allais bientôt fondre avec cette chaise en plastique. Bref, histoire de savoir quel beau cours m’était réservé sur cet horaire, je me dirigeai vers ma casse. Les gens autour de moi me semblaient vraiment bizarres. Ils tenaient tous des trucs dans leur main, puis mon attention fit attiré sur une photographie, ramassant cette photo par terre, je regardai de plus près… « Et merde ! » C’était moi, quel désastre, comment cela se faisait-il qu’on ait pu prendre des photos de moi comme celles-là à mon insu ? Puis c’était qui d’abord. Enfin, je déchirai cette photo puis ouvrit la porte de ma casse. Le bordel, plusieurs autres photos tombèrent de ma casse puis on s’adressa à moi. Je me retournai les poings serrés qui se desserrent aussitôt en voyant cette jolie blonde… Le sourire aux lèvres oubliant déjà ce qui c’était passé, oubliant toutes photos je répondis : « Non c’est une de ses drôles d’idées qui m’est passé par la tête, c’est quand même pas mal, tout le monde à l’air d’apprécier ce petit spectacle en photo. » Bah quoi ? Il n’avait pas totalement tord, à vrai dire il y avait bien des demoiselles qui se rinçaient l’œil devant ça. Alors toujours en souriant Orion regarda la blondinette : « Si je pouvais savoir ton joli prénom avant de pouvoir t’invité ce serait plaisant… » Se rendant légèrement fier de cet aventure, Orion prit la photo que la demoiselle lui montra. Celle-là était de dos, quant aux précédentes dont il avait vu, étaient de face. Alors attrapant une nouvelle photo de son casier, il la tendit à celle qui se tenait devant lui et dit : « Tiens si tu en veux une de face, on m’en a fait plusieurs copie, tu pourras la garder en souvenir. » C'était plutôt amusant cette histoire. Puis de toute façon il était déjà pas mal connu du milieu, alors pourquoi pas quelques photos ? TOut le monde pourrait encore plus connaître, quoi que maintenant il ne pouvait plus rien caché... « C'est quand tu veux ma belle... Maintenant si t'as envie... » dit-il adossé à la casse voisine et avec ce petit sourire en coin charmeur.

(Invité)