MARCUS HAWTHS ► nicolas simoes

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle god et j'ai l'âge d'être ta grand-mère   . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à la fée clochette.  Le forum est canon alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise nicolas simoes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Hollow Bastion. Je fais environ 20-30 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ pour des liens, ma boite mp c'est open bar   
   Je souhaite ▲
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    participer à la roulette RP (?)

«Il y a longtemps, les gens croyaient que quand quelqu’un meurt, un corbeau emporte son âme jusqu’au pays des morts. Mais il arrive parfois quand des choses trop horribles se soient passées que l’âme emporte avec elle une immense tristesse et qu’elle ne puisse pas trouver le repos et quelque fois, mais seulement quelque fois, le corbeau peut faire revenir cette âme pour que le bien reprenne son droit sur le mal.»

Tu n'as que dix ans. Tu joues, sans te soucier de quoi que ce soit. Normal, tu es encore jeune et innocent. Tu croques la vie à pleine dents, tu t'amuses. Tu t'amuses alors que ton frangin côtoie la mort. Il est parti depuis six mois, mais tu n'as aucune idée de ce qu'il fait. Tu sais qu'il est dans l'armée, tu sais qu'il y a une guerre. Tu le sais, car tu n'es pas bête. Mais tu n'y penses pas. Tu préfères jouer. Pourtant il te manque et tu penses à lui tous les jours. C'est ton grand frère, ton modèle. Tu l'admires tellement. Et tu n'as qu'une hâte, qu'il revienne pour pouvoir jouer avec lui. Sauf que le soucis à être encore si jeune et innocent, c'est que tu es aussi naïf. On frappe à la porte et tu te précipite avec ton sourire pour l'ouvrir. Un homme en uniforme est posté devant le visage fermé. Il entre, parle à tes parents, tes parents pleurent, mais tu ne comprends rien. Pourtant tu résous les problèmes les plus compliqués, tu es un surdoué. Il s'en va et en partant, te tape sur la tête en te disant qu'il était fier de toi. Tu le regardes partir, tu rejoins tes parents et tu tentes de comprendre. Mais à force de ne pas y arriver, tu as mal au crâne. Tu grimaces et tu pleures. Tu pleures parce que tu n'arrives pas à comprendre. La mort est un problème qui n'a pas de solution. Voilà pourquoi tu n'arrives pas à comprendre.

«J’ai gâché un an de ma vie. Et peut-être que tout le monde ment à l’extérieur. Peut-être que le monde entier est stupide et ignorant, mais j’aime mieux vivre dehors, oui j’aime vachement mieux vivre dehors, qu’enfermée ici avec toi !»

Tu détestes les gens. Tu détestes encore plus les gens qui sont stupides. Donc tu détestes cette fille. Elle est dans ton lycée, elle est bête et maladroite. Pourtant elle est dans ta classe et tu dois faire équipe avec elle. Tu es froid, distant et méchant. Tu n'hésites pas à l'envoyer balader. Elle semble blessée et tire la tronche. Mais putain, qu'est-ce qu'elle est mignonne lorsqu'elle boude. Tu évites de la regarder, tu détournes ton regard et tu es encore plus méchant. Elle en prend plein la tronche. Tu es d'ailleurs surpris qu'elle te supporte encore. Est-elle folle ? Les mois passent, tu bosses encore avec elle, tu es toujours aussi con en sa présence. Pourtant quelque chose à changer. Tu as changé. Tu es protecteur, jaloux, tu es bizarre. Elle te rend bizarre. Ça t'agace, tu ne comprends pas et tu es donc encore plus méchant. Sauf que derrière, tu peux être aussi très gentil. Elle te fait tourner en bourrique. Stupide, gauche, naïve, elle est pleine de vie, elle te fait rire. Tu l'as même embrassé. Tu ne sais pas pourquoi, mais tu en as eu envie. Pourtant tu t'es bien moqué d'elle. Et là c'est elle qui se moque de toi. Tu n'es pas faible, tu es amoureux. C'est donc ça l'amour. Tu deviens bête. Sauf que tu ne veux pas être bête. Et en voulant éviter de le devenir, tu as réellement agis bêtement. Oui, car tu l'as quitté sans crier gare.

« Je suis celui qui pénètre votre cerveau. Je jouis dans votre hémisphère droit. Votre désir ne vous appartient plus : je vous impose le mien. C’est moi qui décide aujourd’hui ce que vous allez vouloir demain. L’idéal, serait que vous commenciez par me détester avant de détester l’époque qui m’a crée. Mais je ne vais pas travestir la vérité : je ne suis pas un gentil garçon, je suis une grosse merde. Un héros moderne, quoi.
»

Tu dois être encore plus con qu'avant. Tu ne t'es pas amélioré avec le temps. Encore plus aigri, il n'y a pas plus détestable que toi. Mais tu t'en fiches. Ou pas. Tu peux faire ce que tu veux, mais tu ne sais pas ce que tu veux. Tes parents savent. Sauf que c'est ta vie. Tu as déjà accepté de faire des études alors que tu voulais arrêter. Comment savoir ce que l'on aime faire ? Toi tu ne sais pas. Donc tu vas en cours, tu passes tes examens, mais tu ne t'amuses pas. Tu ne t'amuses plus depuis qu'elle n'est plus là pour te faire rire. Tu te détestes de penser à elle, alors tu envoies chier quelqu'un pour l'oublier. Ça t'aide. Tu marches sur le campus un bouquin à la main. Tu le lis attentivement. D'ailleurs tu fonces dans quelqu'un. Tu marmonnes quelques injures. Sauf que lorsque tu lèves la tête, tu la vois. Voilà pourquoi il ne fallait pas penser à elle. Maintenant elle te fait face. Putain que tu es con.