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C'est le 12/01/1991 à Tokyo, que les membres de la famille Tsukane m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Ayane. Je suis statut célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale Aisé. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sport et la psycologie depuis un ans et travaille en parallèle de mes études en tant qu’ maitre art martial (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les lMather house. | Lokera Looks alot like Célébrité choisie |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Flo et j'ai 18. Je suis francaise et j'ai connu le forum grâce à deux amies. j’aime votre forum par son aspect chaleureux alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Meisa kuroki comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Lokera. Je fais environ 400/500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
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APRÈS LA BOMBE J’étais assez loin de la bombe. Ce que j’ai ressentis ? La peur non, mais j’étais plutôt surprise. Surprise de voir un pays incapable de prendre les mesures de sécurité. Oui j’étais plutôt surprise par ceci car vraiment l’état Américain devait prendre les mesures les plus exemplaires. C’est un pays préparer pour cela ? Non peut être que si ? Haha, si dans le fond je me marre assez bien de voir les prétentieux américain de vendre le mérite d’un pays invincible. Cependant, j’ai de la compassion pour les victimes qui n’ont rien demandé. Juste une compassion pour la famille qui pleure pour une perte plus ou moins inestimable. | CAbot house Pour la simple raison que je me suis battue pour être rentré dans la haute sphère, je ne vais surement pas m’arrêter là. Non, je veux faire d’autre connaissance et monter dans la hiérarchie sociale. Je veux devenir une dame luxueuse, la dame luxueuse. Je suis attirante, je le sais mais je veux aller plus loin prenant exemple sur les grands personnages de l’époque. Pourquoi pas d’ammener quelque chose de nouveau dans cette confrérie. Quoi de mieux, une guerriere avec une allure d’une princesse noble. Maathe house. D’une part je veux devenir La dame du campus d’un autre je pourrais être aussi la femme la plus exécrable dans le sens que je me plie devant personne. Complètement rebelle non. Mais je suis marginale vivant pour moi rien que pour moi. Je n’aime pas trop la société actuelle, je n’ai jamais vivre dans une réelle société me contraignant par des règles. |
Assise la, sur une chaise, dans lequel l’ensemble des chaises forment un cercle dont chaque femme et quelques hommes prenait possession. Assise là en train de regarder les femmes en train de raconter leur évolution après leurs violes. Cela faisait 3 ans, j’étais dans ce centre aide au viol, cela fait 3 ans, que je suis dans un orphelinat. J’vais 16 ans, j’étais une eurasienne avec une longue chevelure noire. Une femme normale, ni plus ni moins.
Si les gens racontent leurs vie, leurs crainte, leurs peurs. Moi je ne disais rien, je ne préfère ais pas dire par risque de perdre ma maitrise. Perdre mon calme pour fondre en larme ou partir dans une colère extrême. Non je préférais rester là sentant le regard des gens en train de se dire que j’avais subis le pire. C’était plaisant, totalement plaisant. Par contre, j’avais appris à observer chaque fille ou homme subissant des abus sexuel. Des gens aux aspects fort mais totalement fragile puis des femmes totalement perdue prête à se suicider. Oui prête à mourir ne voyant plus l’intérêt de vivre ainsi.
De plus en plus je m’étais dit que ce genre de lieu ne m’intéressait de moins en moins. Non, je risquais fort de plonger dans une dépression. Non je suis dépressif, dépressif de mon viole et cloitré dans ma solitude. Le centre d’aide est juste le miroir de mon passé. Après le viol, j’avais tout arrêté. Le karaté, l’art etc….J’étais blasé. Au collège, je suis devenue la fille solitaire et violente frappant chaque garçon et fille qui m’emmerder cependant, je défendais les plus faible sans vraiment leurs adresser la parole.
Comment sortir de cette dépression ? Comment sortir et devenir quelqu’un d’autre ? Dois-je devenir ces putains de femme faible pleurant sur leurs sorts ou devenir une femme forte ne se rabaissant plus devant quiconque
La vie humaine ne dure qu'un instant, il faut avoir la force de la vivre en faisant ce qui nous plaît le plus.
Le hagakure
Puis ce livre, ce vieux livre appartenant à ma mère. Le Hagakuré, la bible des samurais à l’époque du japon Féodale. Depuis longtemps, le samurai vouait à son maitre et chercher d’atteindre la perfection. Le symbole même de la puissance du japon, la perfection de chaque chose. De la vie, de l’art et du quotidien.
Je m’étais à lire ce livre, a d’épluché les moindres moralités puis j’ai repris les arts martiaux. Pratiquant chaque soir dans ma chambre de foyer. Soif de changement, soif de sortir de cette dépression. Je méditais, j’observais de plus en plus avec un nouveau regard avec l’envie de changer cette vie de merde que je suis en train subir. Je prenais confiance en moi. J’acceptais mon traumatisme prenant cela comme une leçon, un moyen de me rendre plus forte.
Jours après jour, je reprenais mes acquis. Je devenais plus social gardant toujours cet aspect mystérieux. Puis, ma voix se tournait vers cet homme. Une rencontre entre deux élèves de la même classe pour se transformer en une amitié sincère, complice et fusionnel. Je découvrais à travers lui le ring du combat clandestin, des paris et des jeux dangereux et la vie de marginal.
Au début observatrice apercevant des femmes en trains de se battre ou des hommes pour gagner de l’argent. Cela m’intéresser. L’odeur du sang et le craquement des os. Je me lance, je me lance dans ces combats désirant de connaitre mes limites.. Des coups portés au visage, du sang coulant parfois de ma bouche ou de mon nez. Des cris de rage à des bruits de percussion. Je me battais, je sentais mon corps battre. Mon cœur prenait vie, ma vie avait tout un sens. De la défaite cela se transformer en une victoire, deux victoire puis des victoires répété sans aucune défaites. Perfection, esprit combattif pour devenir une femme dominante sans jamais avoir peur de me prendre les coups.
Puis viens le jour où tu changes ta voix abandonnant la marginalité pour trouver une lumière, notre lumière qui permettra de t’emmener vers le haut.
Du combat de rue, le destin avait décidé de m’envoyer dans la gloire, la gloire du ring. Cette partie d’histoire commença par un homme, un homme observateur cherchant le talent de nombreuse personne pour le fameux MMA japonais. Le mma c’est le combat tout permis légalisé au japon et dans d’autre pays.
La rencontre commença par un compliment, désireux de me voir sur scène. Il argumenta, me vendant du rêve. Je ne répondais pas, plutôt, je me méfiais. Il continua montrant que je pouvais sortir de cette pauvreté. Fille pauvre et misérable combattant dans l’ombre. La chance de devenir connue et être dans les projecteurs. La chance d’avoir une autre vie gardant toujours cet esprit guerrier. C’était tentant
Trois jours après, j’acceptai me lançant dans cette nouvelle carrière. L’entrainement rude du combattant avec plusieurs coach a tour du bras. Apprenant chaque jour développant une nouvelle philosophie. 8 heure du matin jusqu’à 6 heures du soir. Entrainement intensif pour finir le plus haut de l’estrade.
Premier combat se fini par une victoire, un second de même enchainant jour après jour devenant championne incontesté du japon.. Désireuse de me perfectionner et d’enseigner .J’ai rompue avec l’ufc pour me lancer dans les études dans la fameuse université de Havard. Réussissant le concours avec une certaine satisfaction, j’étudiai le sport et la psychologie créant mon dojo par la même occasion.
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The End
(Invité)