Ekaterina L. Blonay ► Grace Phipps

C'est le 7 Novembre 1989 à Saint Petersburg, que les membres de la famille Blonay m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Ekaterina Luna. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fiere. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Relations Internationales et politique depuis 6 ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot ou les Dunster.

Katie Blonay

Looks alot like Grace Phipps

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Miaou et j'ai 24 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une personne sur un autre fo'. Le contexte, le design me plaisent alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Grace Phipps comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Obsession. Je fais environ 500/700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Mouhahahaha XD
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Katie se trouvait dans les couloirs quand une soudaine explosion a fait trembler les murs. Passé le premier moment de surprise, la panique s'est emparée d'elle et les cris de terreur n'ont rien fait pour la calmer. Elle ne se souvient plus exactement comme elle a réussit à sortir de l'établissement. Les seules images qui lui restent et qui hantent ses nuits montrent des étudiants couverts de sang, d'autres allongés par terre et une épaisse fumée noire. Depuis ce jour tragique, la jeune femme souffre d'insomnies et de cauchemars récurrents.

GROUPE 1.
Cabot House. Sortie tout droit d'un stricte internat, Ekaterina a passé la majeur partie de sa scolarité entourée de jeune fille de bonne famille, qu'elle considérait comme sa deuxième famille. L'entraide était le maître mot de cette école et elle pouvait toujours compter sur l'un de ses camarades en cas de coups durs. Cabot House lui rappelle cet internat qu'elle a tant aimé et pensait, lors de son arrivée à Harvard, qu'il s'agissait de la fraternité idéale pour faire ses premiers pas sur le continent américain, une culture si éloignée de la sienne.

GROUPE 2.
Dunster House. Katie est une bosseuse. Elle sait ce qu'elle veut et fait tout pour l'obtenir. Son objectif professionnel ? Faire comme papa, ambassadeur. Concernant ses études, elle exige beaucoup d'elle-même quitte à aller faire la fête et passer les quelques heures de la nuit qui reste à bosser au lieu de se reposer.

(Invité)

C’est à St Petersburg, un jour froid d’automne que naquit la petite Ekaterina Luna Blonay dite Katie (c’est plus simple quand même). Dans cette chambre d’une clinique réputée, la décision fut prise d’accorder à la toute nouvelle venue la double nationalité franco-russe. Une petite précision sur les parents est alors nécessaire. D’un côté, le papa Robert Blonay, ambassadeur de France dans divers pays, dont la Russie, descendant d’une famille d’entrepreneur. De l’autre Aleksandra Roukov, fille unique d’un Russe ayant fait fortune à l’étranger. Les deux futurs époux se rencontrèrent durant leurs études en Angleterre mais ce n’est que lorsque le tout jeune ambassadeur prit ses fonctions en Russie qu’il retrouva son ancienne amie et qu’ils finirent par se marier. En premier lieu vint Aleksandre, puis quelques années plus tard, Ekaterina. Vous l’aurez compris, sans détenir le PIB de la Suisse, la jeune femme est issue d’une famille plus qu’aisée.

Se petite enfance, disons jusqu’à ce qu’elle atteigne 5 ans, se passa en Russie. Puis la famille déménagea pour suivre le père à travers ses différentes missions dans plusieurs pays. Katie rejoignait à chaque fois les écoles réputés qui accueillaient les enfants d’ambassadeurs. Au fil de ses voyages, elle retomba parfois sur ses mêmes camarades, à l’autre bout de la terre, des années après leurs premières rencontres. Cette enfance de pays en pays forgea le caractère de la jeune femme. Habituée à changer d’école, elle était d’un contact plutôt facile, se liant facilement avec les autres. D’une nature enjouée et studieuse, elle n’avait pas de mal à intégrer différents groupes.

Lorsqu’elle atteint l’âge de 13 ans, il fut décidé qu’elle intégrerait un internat français jusqu’à ses 18 ans. Ce fut elle-même qui en fit la demande. Elle aimait voyager, suivre son père dans différents pays, rencontrer de nouvelles personnes. Mais il était venue un temps où elle avait besoin de stabilité, de lier des amitiés un peu plus profondes, de prendre le temps de se poser. Cet internat où elle fut envoyée était réservé aux filles (choix de papa concernant sa petite princesse). Si elle en fut un peu rebuté au début, Katie s’y habitua bien vite. Sans entrer dans les détails, elle y passa 5 années qu’elle qualifiait elle-même de magnifiques. Elle s’y fit des « amies pour la vie », y apprit de nombreuses choses et prit un certain plaisir à suivre les cours qui, selon ses professeurs, feraient d’elles des grandes dames de la haute société, capable de rivaliser avec les hommes.

Pis son 18ème anniversaire arriva, sonnant la fin de la parenthèse française. Il était temps pour elle d’entrer à l’université. A la grande surprise de….bah d’à peu près tout le monde, elle postula et fut intégré à la prestigieuse université d’Harvard. Alors que tout son entourage s’attendait à ce qu’elle rejoigne Oxford. L’Amérique……un des rares pays qu’elle n’avait pas eu l’occasion de visiter, son père n’ayant jamais été muté là-bas. C’était l’occasion ou jamais ! Le début fut difficile. Elle se trouvait loin de sa famille, de ses amies, dans un pays avec une culture bien différente de la sienne, parlant un anglais avec un drôle d’accent mélange de français et russe, et eu l’impression qu’elle ne réussirait jamais à s’intégrer. 6 ans plus tard, elle s’est fait une place mais cette impression lui revient de temps en temps.

Quelques petites choses non intégrés à l’histoire, mais qu’il est bon de savoir sur Katie :
Très proche de sa famille, elle l’est encore plus de son frère Aleksander. Ce dernier est partie étudier en Angleterre mais ils se parlent souvent par Skype. Il sait que les premiers temps à Harvard ont été difficiles et prends toujours le temps de lui raconter une ou deux histoires de son cru pour la faire sourire.
Elle parle trois langues couramment (Français, Russe et Anglais) et bafouille quelques mots d’autres langues.
Elle rêve de suivre les pas de son père et de devenir Ambassadrice (oui mais de quoi ? France ou Russie. Un problème qu’il lui faudra régler tôt ou tard.
Elle est fan des chats. Craque complètement quand elle en voit un.

The End

(Invité)