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Pour un mois de mars, on pouvait dire qu'il faisait sacrément bon. L'air était empli de douceur ; le printemps était finalement là. Plus les jours avançaient, plus la fin de l'année montrait le bout de son nez. J'étais en première année de médecine et je savais que j'en aurais encore un moment pour devenir un grand chirurgien. Chez les Fergisson, la médecine, on s'y connait ! La moitié, du moins les 2/4 de ma famille avait fais une carrière de médecine. Il fallait marcher droit et bosser dur sans faire d'histoire. Avec le temps j'avais réussis à concilier travail et plaisir personnel. C'est aussi pour cela que chaque vendredi matin, de 9h à 12h alors que je n'aie pas cours je donne des cours de chant. C'est sur ça ne faisait pas un salaire mais c'était assez correct pour pouvoir subsister et pouvoir rester sur Cambridge.
Pour aller à Havard j'avais bénéficier d'une bourse. Ma mère est morte quand je rentrais à peine dans l'âge de l'adolescente. Ca m'a gâché une bonne partie de ma vie mais j'avais quand même réussis, cependant. J'étais maintenant un jeune homme de dix-neuf ans et demi près pour une nouvelle vie. Il a été très difficile pour moi de laisser le reste de ma petite famille à Londres. Oui, j'étais Londonien. Aussi bien dans le moral quand dans ma prestance. Je n'avais pas peur de me faire remarquer, au contraire, j'adorais ça ! Le fait de me mettre en avant par mon style hors paire me permettait d'autre part de cacher le garçon sensible que j'étais. C'est peu croyable quand on m'entends le dire, quand on me connaît bien, mais je suis de coeur fragile.

Mes cours ne commençaient qu'à 13h, mais j'avais décidé de venir un peu plus tôt afin de profiter du soleil. J'avais enfilé un slim noir déchiré au niveau de mes genoux. Comme à mon habitude, il était soigneusement rangé dans mes bottines délacées. Mes lunettes de soleil étaient suspendu au colle en V de mon t-shirt blanc. Le soleil commençait à taper légèrement et je décidais de m'installer sur un banc en dessous du sol pleureur. La cloche sonnait et les élèves sortaient pour leur pause déjeuné. Je croisais alors les jambes sur le banc et sortait mon téléphone afin de lire mes sms.
(Invité)