C'est le 07/02/1990 à Cambridge, que les membres de la famille Campbell m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Drake. Je suis officiellement célibataire mais officieusement en couple et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je travaille en tant que chômeur et hors la loi, gagnant ma vie par des petits trafics, des braquages et d'autres sales combines en tout genre depuis six ou sept ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les citizens.
Drake Campbell
Looks alot like Steven R. McQueen
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Hook et j'ai dans la vingtaine. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à mon premier compte . Vu que je me plais et m'intègre assez bien sur ILH, et que j'avais une idée de DC qui me démangeait, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Steven R. McQueen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par class whore. Je fais environ 700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi-même .
Mot de la fin ? ▲ Keenan are back, et ça va chier Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE Même quand c’est la misère, on arrive quand même à avoir un putain de bol monstrueux ! Et ouais, pendant que certains se faisaient sauter le caisson dans cette histoire d’explosion, moi je me trouvais derrière les barreaux, en train de pourrir en prison à cause de ce foutu braquage. Bon, c’est clair que c’était pas la joie dans c’te piaule mais ça a l’avantage de m’avoir sauver les miches. Enfin, je dis ça mais pour le peu que j’allais en cours de toute façon, même en faisant encore partie des étudiants, il y a de fortes chances que je n’ai pas été dans les décombres…
AVEZ-VOUS ÉTUDIÉ À HARVARD ? Si j’ai étudié à Harvard ? Disons plutôt que j’y étais en train de gaspiller l’argent de mes parents de manière assidue, en opposition à ma manière de suivre les cours. Dans un sens, on peut dire que j’étais du genre à approfondir les études. J’ai doublé ma première année et j’étais bien parti pour tripler la seconde. Seulement, j’ai remarqué que la prestigieuse Harvard ne semblait pas très chaude pour garder en son sein des étudiants qui jouaient également au repris de justice. Traduction pour ceux qui ont du mal à comprendre : j’ai été exclu en même temps que mon jugement qui m’a envoyé en taule il y a deux ans. Sinon, avant ça, je suivais des études de Droit et de Sociologie. Autant dire que c’était pas nécessairement ce qu’il y avait de plus passionnant. Choix des parents, que voulez-vous ? Et tant que je faisais leurs quatre volontés, je pouvais continuer de profiter de leur blé sans problèmes. Quand un fruit est pourri, il sait comment continuer de pourrir en beauté ! Mais le bon point, c’était ma confrérie ! Cela en surprendra réellement quelques-uns d’entre vous si je vous dis que j’étais chez les Mather’s ? Et autant dire que c’était le pied ! Fiesta non-stop et abus d’alcool, de sexe et de cam’ sans retenue. Bon, je n’ai pas attendu les Mather’s pour avoir un quotidien à un rythme aussi effréné. Mais disons que j’avais le luxe de me trouver dans une ‘maison’ où on savait vivre à un rythme que j’aimais et que je voulais. Alors, ouais, impossible que je regrette mon choix ! D’ailleurs, même si je ne suis plus étudiant, ça m’arrive encore souvent de squatter sur le campus pour y retrouver de vieilles connaissances… Ou même de me dégotter de nouvelles cibles et belles petites pouliches pour les rajouter à mon tableau de chasse !
L’air frais. L’air libre. Le parfum de la liberté. Voilà bien une sensation que seuls les uniques ex-taulards peuvent connaître et comprendre ! Ce parfum qui vous chatouille les narines, qui vous caresse la peau et qui titille tout votre intérieur telle une euphorie radieuse. J’en deviendrais presque poète, pour vous dire l’effet que l’on peut avoir en cet instant : le pied qui passe derrière l’ultime porte. Les parois des couloirs mornes, glacials et gris qui font place à un alentour de verdure nu, désert, vierge de tout encombrement quelconque. Une manière de vous en faire savourer encore plus la première bouffée que vous prenez, que vous inspirez. Putain de merde ! Je suis libre ! Ouais, j’ai beau vous paraître jeune, n’avoir QUE 24 ans ! Et pourtant, je venais de passer deux années derrière les barreaux. Deux années de perdue, deux années de gâcher. C’est généralement ce qui fait réfléchir quelqu’un de censé afin qu’il prenne conscience de ses erreurs, de ce qui la conduit en cellule. Ce type de prise de conscience qui vous pousse à vous dire : ‘Ok, stoppe les conneries ! Maintenant, je file droit !’ Un raisonnement assez noble dans le fond, quand on y pense. C’est honorable de la part de ceux qui réagissent de la sorte et, sincèrement, je les applaudis de tout cœur. Toutefois, on n’est pas fait du même sang, et encore moins du même marbre. Alors inutile d’espérer que je vois en cette seconde chance une quelconque illumination me poussant à changer. Je m’étais retrouvé en taule ? Ouais, et alors ? Ca fait partie des risques du métier comme on dit ! Ce sont les risques du jeu… Pourtant, je reconnais que les plus sceptiques auront de quoi me faire la morale. Mais pour en expliquer le pourquoi du comment, je pense qu’une petite remise en situation s’impose ! Tout d’abord, pour les ignorants qui ne savent pas encore qui je suis, je m’appelle Drake. Drake Campbell. Ca claque, pas vrai ? Et qui je suis ? Avant tout un putain de gosse de riches ! Et ouais, ça aide d’avoir des parents fortunés. Un père qui bosse comme PDG dans une boite d’assurance, une mère bijoutière. Franchement, y a de quoi se faire bien entretenir. Et ce petit cocon doré, bordel qu’est-ce que j’ai su en profiter ! Faut dire, c’était pas compliqué, j’ai toujours été le trésor de mes parents. La prunelle de leurs yeux. Alors en terme de chouchoutage et de liberté, j’étais le plus heureux des bambins. Bon, c’est vrai qu’il y avait cette grosse nounou au caractère de cochon qui gâchait un peu le portrait de famille. Seulement, je me consolais : jamais elle a su faire sa putain de loi avec moi. Et ouais, c’est pas parce qu’on est gosse qu’on ne sait pas qui est le patron et à quelle place devait rester une ‘servante’ dans son genre ! Bref ! Je l’avais cette foutue cuillère en or dans la bouche. Et je ne cacherai pas que c’est ce qui m’a pourri depuis mon plus jeune âge. Oh, inutile de croire que je dis ça pour me dédouaner d’une quelconque responsabilité. J’expose les faits mais je les assume. Pas d’hypocrisie ou de fausse modestie : mes parents étaient blindés et je savais comment en profiter plus que de raison. Et je ne me privais jamais pour le faire. Ils m’avaient voulu ? Ils voulaient me choyer ? Ok ! Ben ils n’avaient qu’à casquer dans ce cas ! Après tout, j’étais pas de la merde, de un ! Et, de deux, s’ils voulaient vivre comme des rois, c’était normal que je fasse suffisamment de caprices pour être traité comme un prince, pas vrai ? Le petit héritier plein de pognons grandit ainsi dans ce confort. Ma seule qualité en matière de pognon, c’est que je ne me limitais pas uniquement à ma classe sociale pour me faire des connaissances. Au contraire, tant que je pouvais l’éviter, c’était encore mieux ! Tous ces gosses de riches étaient des petits coincés, des petits pètes culs prétentieux qui me rendaient malades. On savait même pas déconner avec eux ! T’en pousse un ? Il appelle son père car tu lui a manqué de respect. Tu craches sur un autre, on te donne une leçon de savoir vivre. Et tu dis merde au dernier et il te regarde avec des yeux de grenouilles en se demandant comment on peut être aussi vulgaire. Bordel… Non mais, sérieux, ils devraient tous penser à s’enlever le balai qu’ils ont dans le cul ! Fric ou pas fric, j’allais quand même pas me coltiner un quotidien de courbettes et de couillonnades de noblesse pour leur bon plaisir ? Enfin, quand j’étais gosse, j’avais pas trop le choix. Malgré mes caprices, j’étais encore sous l’autorité parentale et, limite, je me devais de leur rendre des comptes sur tout ce que je faisais. Maintenant, inutile de se leurrer. Je n’attendais qu’une chose : qu’ils aient le dos tourné pour faire mes conneries de gamin. Faut bien que jeunesse se fasse comme on dit, pas vrai ? Heureusement, l’adolescence finit par arriver. Et même si elle ne fut pas assez rapide à mon goût en termes d’arrivée justement, je ne perdis plus une seconde pour en profiter dès que l’heure sonna ! Ah, l’adolescence… Période des premières dérives, période des premières expériences en tout genre et, surtout, période des premiers excès. J’étais jeune mais, j’en voulais ! Je voulais de l’adrénaline, de l’action, du mordant, du danger et de la liberté. De la liberté sans limites ! Pas pour rien que j’étais très friand des textes et autres discours anarchistes que je trouvais à l’époque. Je pense d’ailleurs qu’il me reste toujours certains préceptes de ladite anarchie. Libre de devoirs, libre de droits et seul responsable de ma propre loi, de mes propres règles. Ca c’était vivre ! Ne pas répondre à de quelconques codes moraux traditionnels, ou même traditionnels. Ne pas rentrer dans un moule. Trouver une voie différente pour profiter et jouir entièrement de ce qu’on appelle : la Vie ! Oh oui, c’est tout ce que je voulais ! Et c’est par ce désir que le train-train quotidien du petit gosse de riche commença à dévier royalement. Mauvaises fréquentations ! C’est toujours ce qu’on disait quand on s’entourait de personnes ne rentrant pas dans les codes et rejoignant ces principes d’anarchie. Des rebelles, des junkies, des délinquants. Des connards irresponsables et infréquentables pour reprendre les propos de ma mère. Manque de pot pour elle, c’est de personnes appartenant à ce qualificatif que je m’entourai dès l’âge de mes treize ans. Des personnes, des amis, une famille qui m’initia à tous les plaisirs et travers existants. Ca commença par l’alcool, avant de s’enchainer sur les filles et, dans la volée, par la drogue. Il y avait toutefois une gradation dans la cam’ : d’abord la fumette, ensuite les pilules et, pour finir, la poudreuse. Et putain, quand vous combinez la boisson, la poudreuse et le sexe, je peux vous le dire, vous prenez un putain de pied d’enfer ! C’est là que vous vous sentez à fond ! Que vous vous sentez vivant ! Que vous vous sentez humain ! Ces découvertes ont peu à peu changées le simple gosse de riche en délinquant de première et, ce, au nez et à la barbe de mes parents. Ca nous a causé pas mal d’engueulades et de prises de têtes. Je compte plus le nombre de fois où je me suis engueulé avec mes vieux par rapport à mes sorties ou mes excès. A tel point que, finalement, ma mère ne réagissait même plus et que mon paternel, lui, fermait les yeux en se disant que cela me passerait. Je pense surtout qu’il préférait me foutre la paix tant que j’assurais au niveau des cours. Ca lui donnait surement l’illusion que mon cas était pas désespéré, que je pouvais être moralement sauvé et arriver à changer pour devenir un homme de sa trempe… Tu parles d’un con ! Jamais je voudrais être un vieux croulant soporifique et emmerdant comme lui ! De consommateurs dans mes jeunes années, je devins petit à petit dealer également. Et, plus précisément, je me lançais dans les petits trafics à l’âge de 17 ans, en parallèle de mes études. Stupide vous allez me dire, pas vrai ? Pourquoi commencer à faire du trafic de cam’ quand on est plein aux as et que vos parents pourraient vous offrir le monde entier ? Ben moi je vais vous dire, j’adorais ce blé. J’adorais ce fric que je pouvais leur gratter. Mais c’était pas aussi excitant que de revendre de la cam’ et de pourrir ainsi quelques âmes encore bien trop pure. J’avais cette forme de plaisirs sadiques de voir les gens succombés, de se mettre à consommer et, par extension, ressentir de la fierté à les avoir conduit dans ce genre d’impasse où ils seraient enfin ‘vivants’. Ouais, faire des ‘affaires’ me faisait kiffer. Et, vu que mes vieux s’étaient mis en tête de me faire aller à l’université, autant que je rôde mes talents ‘commerciaux’ avant de débarquer sur un campus. Après, c’est un sale cercle vicieux. Vous commencez par des petits trafics. Puis les esprits s’échauffent et en veulent plus. Vous commencez à racketter. Après les rackets, vous entamez d’avantage des petites extorsions et des petits vols à gauche à droite. Si bien que, sans même que vous ayez le temps de vous en rendre compte, votre petite bande d’amis se retrouve finalement à être un petit gang. La faim entraîne la faim. La soif entraîne la soif. Et la gourmandise ne fait jamais que grandir au final. Mais malgré cet appétit malsain, je jonglais comme je le pouvais entre mes études et mes activités ‘extérieures’. Ouais, si je pouvais éviter de me faire couper les vivres, c’était pas plus mal ! Puis, on a commencé ces foutus braquages. Au début, ce n’était que des petites épiceries, des petits commerces sans importance. On ne retirait pas de réelles fortunes de ces enseignes. Mais, ensuite, on a vu plus gros. Des magasins de vêtements, des magasins d’électroniques et de vente de médias en tout genre. En passant par les bijouteries. Excepté celle de ma mère ! J’avais beau être un fils ne valant pas plus qu’un connard de première, braquer ma vieille était la dernière chose que j’aurais voulue. On jouait avec le feu à chaque fois. La nervosité lorsqu’on arrivait sur les lieux. La rage pendant que le braquage se commettait. Et l’adrénaline une fois qu’on prenait la fuite, ne pouvant s’empêcher de se demander si on allait s’en tirer encore une fois. J’ai perdu quelques potes comme ça. Deux qui s’étaient fait descendre, quatre autres qui s’étaient fait mettre derrière les barreaux. Au final, il fallait toujours jongler pour retrouver des gars de notre calibre pour continuer. Mais, de vous à moi, des âmes pourries comme les nôtres, ça se trouve assez facilement. Tout ça pour en arriver à cette énième bijouterie : le braquage de trop ! On était quatre sur ce coup-là. Deux tombèrent au combat, le troisième réussit à prendre la fuite. Tant qu’à moi ? Chopper par le panier à salades. Les flics avaient mieux jouer que nous cette fois-là. Pas de fuite réussie, c’était à mon tour de passer par la case prison et dire au revoir au magot… Ainsi qu’à l’université… Ainsi qu’à mes parents. Vous pensez bien, Harvard n’allait pas gardé un élève qui s’était fait arrêté pour braquage, d’autant que j’avais été pris en flag’. Et, niveau des parents, cette connerie fut la connerie de trop également. La main dans le sac. Aucune chance que je puisse les baratiner. Alors, au lieu d’user de leur saleté de fric pour me sortir de là, ils me laissèrent dans la merde et me coupèrent les vivres. Traduction ? J’étais mis en taule sans rien, sans plus personne… Ou presque !
« Ca c’est ce que j’appelle une libération en grande pompe ! »
Si je n’ai fais que deux années de prison pour braquage, sans compter tous les trafics que j’avais sur le côté, ce n’est pas uniquement parce que j’avais de la chance. Oh que non ! J’avais le plus sexy et le plus désirable des anges gardiens.
« Au moins on pourra se permettre plus de vingt minutes par jour pour les retrouvailles… »
Je m’approchais de mon ange gardien. Je m’approchais de ma fierté. Je m’approchais de MA gonzesse, ma femme, ma meuf, ma moitié : Sharon ! Ou la plus parfaite des bitch’s sous la plus belle allure de Baby Doll ! Une Baby Doll, c’était bien ce qu’elle était quand je l’avais rencontré. A l’époque, j’avais 20 ans, elle en avait 16. C’était la fille d’un homme de loi. Le genre de fille bien élevée, propre, soignée, sans le moindre défaut. Limite à attendre le prince charmant et à l’épouser avant de se donner à un seul homme pour le restant de ces jours. Sauf que j’ai débarqué dans l’équation : je la voulais ! Je la voulais dans mon lit ! Je la voulais à moi ! Et ce qui, à l’époque, n’était qu’une simple cible pour une partie de jambes en l’air, devint me régulière : ma maîtresse number one ! Oui, j’ai bien dis ma maîtresse ! Car, entre elle et moi, ce n’est pas une histoire de Cendrillon. Ce n’est pas une histoire d’amour comme vous l’entendez. Les ‘je t’aime’ et compagnie, c’est pas pour nous. Ce qu’on aime, c’est se sentir libre, c’est se sentir indépendant mais tout en se sachant appartenir à l’autre. Autrement dit, je fais ce que je veux, avec qui je veux. Idem pour elle. Mais une fois qu’on est ensemble, qu’aucun mec ne s’avise de l’approcher ou de la reluquer de trop près ! Et je conseille aussi aux nanas de me laisser tranquille. Car on mord, on sort les griffes. Et croyez-moi sur paroles si je vous dis que la jalousie peut être mortelle. J’irais jusqu’à tuer n’importe quel salopard qui se permettrait de la toucher sous mes yeux, compris ? Brisant l’espace présent entre nous deux, j’agrippai son visage d’une main et l’embrassa dans une passion et une intensité dés plus fulgurante. Nom de dieu, qu’est-ce que ça m’avait manqué ! Pouvoir la regarder, pouvoir la toucher, pouvoir l’embrasser, la caresser ou encore la prendre à n’importe quel moment… Ouais, elle est venue me voir régulièrement quand j’étais en taule. On avait droit à nos ‘petits moments d’intimité’ mais, si ça avait son côté excitant, cela n’empêche que ça devenait frustrant. J’avais pas le plaisir de m’envoyer mon petit trésor en sifflant une bonne bouteille. Tout comme je ne pouvais plus la caresser tout en venant sniffer un rail de coke sur son ventre. Ma seule compensation était de pouvoir la faire gémir comme une folle malgré l’endroit où on se trouvait. Alors, oui, malgré ses visites, on avait beaucoup de temps à rattraper tous les deux !
« Tu remercieras ton père pour le cadeau à son beau-fils ! »
Mon ton était salace et moqueur. Je savais qu’elle tenait son père par les c*uilles. Elle avait su trouver le point qui faisait mal, le point sur lequel appuyé pour qu’il lui foute la paix et qu’elle obtienne ce qu’elle veut. Si j’en ai pris QUE pour deux ans, c’était bien grâce à ça, grâce à ma poupée. Grâce à son petit génie. Elle était parfaite : nous étions parfaits ! Assortis dans nos vices et nos travers, sans limites, sans retenues et, d'une certaine manière, sans morale ! On se roula une autre pelle tout simplement royale avant de grimper dans sa voiture. J’avais retrouvé ma liberté et, avec elle, ma vie de débauche, ma vie de trafics, ma vie de braqueurs et d’anarchiste qui ne désirait qu’une seule chose : continuer de vivre à du deux cent à l’heure, qu’importe les risques !
(re)BIENVENUE PARMI NOUS ! Ton personnage a déjà l'air très intéressant, je pense que je vais me tenir au courant ! En tout cas, avec Steven, ça me donne juste le goût quoi ! BREF, bonne chance pour la suite de la fichette !