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Encore une soirée de boulot terminée ! J’étais totalement lessivée et une nouvelle fois, j’avais dû attendre la fin pour pouvoir fermer le Lord Hobo. Je détestais être la dernière à fermer car c’était toujours tard dans la nuit et je n’étais qu’une femme. Oui, cela faisait cliché mais je n’avais pas furieusement envie de trainer dans les rues toute seule. Le retour en bus se fit sans encombre et je commençais à me détendre une fois que je fus non loin de la Dunster. Il ne pouvait pas m’arriver grand-chose à ce stade du chemin mais j’avais peut-être parlé un peu vite car je me fis rapidement accosté par deux gars. Je les connaissais plus ou moins, ils appartenaient à mon ancienne maison, la Mather. Je me méfiais toujours un peu de mes anciens frères et sœurs de confrérie car je ne voulais pas retomber dans mes travers oubliés. J’essayais peut-être un peu trop de gommer le passé mais qui ne le ferait pas si, de un, vous n’aviez aucun souvenir de votre vie et que de deux, vous découvriez que vous étiez plus ou moins comparée à une prostituée ?! Je voulais me détacher de cette image et m’éloigner de la Mather m’était apparue comme l’idée de génie du siècle. « Tiens tiens… Vla Mina… Alors ma belle, on traine tard ce soir, on recherche un amant avec qui finir la nuit ? Viens dans mon lit et tu connaitras le paradis ! » me provoqua l’un des gars tandis que l’autre m’attrapait par le poignet pour me mener contre son torse. « Non, elle vient avec moi, j’ai toujours eu envie de tester son petit cul » lâcha le deuxième, ce qui me dégouta. « Lâche-moi ! Je n’ai pas de temps à perdre avec deux types comme vous et puis vous puez l’alcool ! » protestais-je mais je me rendis bien compte que j’allais sûrement passer un sale quart d’heure si je n’arrivais pas à me sortir de ce traquenard seulement, la panique me submergea et à part me débattre, je n’arrivais plus à faire quoique ce soit d’autre.

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Keenan & Wilhelmina

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L’Homme jouit souvent d’une noirceur qui le rend presque étranger à tout geste et toute attitude se voulant aussi généreuse que gratuite. Un peu comme si la nature dudit Homme n’était qu’un égoïsme pur se complaisant dans son propre confort, et ses propres plaisirs. D’une certaine manière, je pourrais dire que j’avais un exemple flagrant définissant ce mode de pensée : mon père ! Il en était la caractéristique pure et dure. Jamais je ne l’ai vu agir pour quelqu’un sans y trouver une satisfaction en retour, sans qu’il n’y ait un prix à gagner. Une main tendue, simplement offerte sans rien attendre d’autre était une notion qu’il ne connaissait visiblement pas. Voilà pourquoi, indirectement, j’essayais d’être à des lieues de ce genre de comportement et de vision des choses. Je voulais pouvoir me démarquer de lui en agissant de manière totalement opposée et gratuite. Nos agissements ne doivent pas être conditionnés en attente d’une récompense ou d’une gratitude. Le fait est que nous nous devons simplement, en tant qu’être vivant et pensant, de savoir ce qu’il convient de faire en telle ou telle situation. Dans ma situation initiale, rien ne me préparait à agir pour quelqu’un. C’était une soirée où j’avais besoin de courir, de m’aérer l’esprit si je voulais être capable de trouver le sommeil. Ainsi, c’est armé d’une bonne paire de basket, de mon short d’entraînement de boxe et d’un gros sweat à capuche que je m’étais perdu dans les alentours du campus et des différentes maisons pour exercer mes petites foulées. Les pas qui s’enchainent, les bras qui effectuaient de petits coups dans le vide, comme pour travailler mes directs et mes crochets, je ne me concentrais sur rien d’autre que sur ma route… Jusqu’à ce que des cris, des plaintes, arrivent à mes oreilles. Ralentissant ma course, je tournai la tête en direction de la source de ces cris. Et, là… Mon sang ne fit qu’un tour ! Une femme, une universitaire, toute seule, en train d’être malmenée entre les mains de deux… De deux… J’ai envie de dire de deux gros porcs ! « HEY ! » Criais-je aussitôt, en me rapprochant d’un pas rapide de la scène. « Alors, c’est bon ? On se régale les mecs ? » Continuais-je d’un ton sec, vif et glacial. S’il y a bien une chose qui m’insupportait au plus haut point, c’était bien le fait de toucher à une femme, de lui manquer de respect et d’abuser d’elle. L’un des deux gars tenait la demoiselle contre lui, alors que l’autre se retourna contre moi. Je l’entendis me provoquer, me demander si je cherchais les problèmes, un rictus noir et obscur garni alors mon visage. « Qu’est-ce qu’il y a ? Je suis pas assez bonasse à ton goût ? » Rétorquais-je, le laissant briser la distance qui me séparait de lui pour l’accueillir aussi sec d’un violent crochet en plein dans la mâchoire. Ne jamais contrarier un mec qui fait de la boxe depuis des années ! La preuve, je relevai aussitôt sa tête avant de lui envoyer un direct qui lui fit perdre l’équilibre. Il se ramassait au sol, telle une merde… Et c’est tout ce qu’il était au final ! « Et toi ? Tu veux ton tour aussi ou tu te décides à la lâcher ?! »  
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La nuit était tombée depuis des heures lorsque je sortis de mon travail de serveuse au Lord Hobo. Au moins, c’était un de mes travails qui ne me faisait pas honte, j’étais même très fière d’avoir réussi à décrocher ce job sans avoir à faire autre chose que sourire aux clients. Cela aurait pu être pire mais non, il faut croire que je n’étais pas la pire poissarde au monde. Cela me changeait, je devais bien le reconnaître. En même temps, on ne peut pas dire que je roulais sur l’or depuis que je m’étais disputée avec ma mère au sujet de mes confidences. Comment une mère pouvait-elle rejeter son enfant pour une différence ?! Je ne ferais jamais ça à mon fils, Jack. Mon bébé était mon roc, la seule raison pour laquelle, je ne plantais pas tout, que je ne dérivais pas sans raison dans l’océan tortueux de la vie. Pourtant, j’avais toutes les raisons de perdre la tête : amnésique, mère célibataire –même si j’étais en couple depuis peu ; nymphomane repentie et peut-être… homosexuelle voire bisexuelle à la limite. Oui, j’accumulais les handicaps mais je me battais pour mon fils, pour lui offrir une vie décente mais dernièrement, sans le soutien financier de ma famille, je peinais à joindre les deux bouts malgré les heures supplémentaires comme ce soir.

L’air peu assuré, je hâtais le pas pour rentrer bien que d’être dans la rue de la Dunster House me rassura pour le coup. C’est peut-être là que mon alarme interne aurait dû s’exciter : Tout allait trop bien que cela en devenait suspect et le moins qu’on puisse dire, c’est que fatalement, j’étais peut-être la pire poissarde au monde. Est-ce que quelqu’un pouvait me dire les probabilités pour que deux Mathers me tombent dessus au coin d’une rue ?! Très faible mais comme ma vie était un rien compliquée, rajouter une agression, c’était presque d’un banal affligeant. Malheureusement pour moi, si mon cerveau analysait froidement la situation, mon cœur s’affolait sous des angoisses remontant à très loin avant mon amnésie, comme un rappel du passé dont le même prénom revenait inlassablement : Alessandra. Je l’entendais souvent dans ma tête quand je faisais face à une situation violente sans savoir d’où il venait, sans savoir à qui, il s’adressait. Pour l’heure, j’avais beau me débattre, crier, rien n’y faisait, je sentais leurs mains sur moi, j’entendais leurs insultes, leurs mots graveleux. Je me sentais défaillir sous cette panique implacable quand j’entendis une troisième voix masculine.

Cet homme venait-il réellement à mon secours ? Cette question m’obsédait et c’est presque dans un état second que je l’observais mettre à terre le premier homme avant qu’il ne se tourne vers celui qui me tenait comme un bouclier devant lui. « C’est bon, tu la veux, prends là ! » cracha-t-il avant de me balancer avec force dans les bras de cet inconnu pour mieux relever son copain et se tirer en courant. Pour ma part, je m’accrochais comme une désespéré au sweat de mon sauveur, pleurant et tremblant comme choquée. Ce n’était pas tant ce que je venais de vivre ce soir qui me mettait dans cet état mais bien les images qui m’assaillaient comme des flashs venu d’un passé lointain. « S’il te plait, ne me fais pas de mal » murmurais-je d’une voix faible. Je n’étais pas en état de supporter une deuxième agression.

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La bagarre est l’apanage de la brute. Il est le langage des personnes manquant autant d’éducation que de véritable savoir-vivre. La violence commence là où l’intelligence s’arrête. Mais l’intelligence ne permet pas toujours de résoudre les problèmes se posant face à nous. Ce soir, par exemple, je savais qu’elle ne m’aurait été d’aucun secours. Qu’aurait-il fallu ? Que j’accoste deux individus à l’allure éméchée pour commencer à leur faire une dissertation sur le bienfondé inexistant de leur acte ? Que je leur prouve par A plus B que leur voie était celle d’un irrespect total ne pouvant amener qu’une montagne de douleurs pour leur victime, et que la satisfaction qu’ils en retireraient ne serait nullement grandiose ? Ou encore qu’agir sous influence froissait entièrement leur perception des choses ? D’accord, j’étais nouveau à Harvard mais je connaissais néanmoins tous les tenants d’une vie universitaire. Et vu l’état dans lequel était ces deux abrutis, autant ne les connaissais-je pas, que je savais qu’agir de manière posée, calme et intelligible se serait avéré d’une inutilité déconcertante. Alors, oui. L’intelligence avait fait place à la violence, à la menace. Dans ce monde qui fonctionne à l’image d’une jungle gigantesque, le lion devait montrer l’ampleur de ses menaces et de sa puissance afin que les babouins comprennent qui étaient le chef et qu’il fasse place à qui de droit. Non, je ne voulais pas spécialement les mettre K.O. et les faire repartir sur des civières. Ce que je cherchais avant tout ? Qu’ils fuient ! Qu’ils relâchent leur victime et qu’ils ne soient plus dans les parages. Rien de plus, et rien de moins ! Là où je pouvais m’estimer chanceux, c’est que ma première démonstration de force sembla pleinement suffisante pour que le second accepte de rendre les armes. Il releva son camarade. Ils partirent à toutes jambes en gueulant que j’allais leur payer ça. Qu’ils viennent ! Je les attendrais. Qu’ils viennent à deux, qu’ils viennent à vingt ou qu’ils viennent à cent ! Je serais curieux de voir ce que des excités avides d’abus sexuel feraient face à une armée de Winthrop… Mais à la violence succéda l’apaisement. La mystérieuse inconnue s’était réfugiée dans mes bras et, naturellement, je refermai mes bras autour d’elle. Elle tremblait, elle était en sanglot. Elle devait être rassurée ! « Ne t’en fait pas, je te toucherai pas… » Soufflais-je contre sa chevelure. Laissant mes mains glissées de son dos jusqu’à ses bras, je me décalai d’un pas vers l’arrière tout en venant chercher son regard du mien. « Ils sont partis, tout va bien maintenant, d’accord ? » Plus facile à dire qu’à ressentir vous me direz ! J’étais intervenu pour lui éviter le pire. Maintenant, ce n’est pas pour autant que j’avais une baguette magique pour effacer les souvenirs d’une telle tentative d’agression. Et ce qui s’imprime douloureusement dans notre esprit ne s’efface jamais avec facilité. « Tu ne crains plus rien ! » Lui souriais-je et, face à son air encore sous le choc, je décidai de la resserrer quelques instants contre mon torse. Qu’elle soit en sécurité. Que mes gestes traduisent mes paroles. Qu’elles puissent ne plus ressentir les affres de la peur, de la terreur, du cauchemar. « Je m’appelle Keenan. » Rajoutais-je. Mettre un nom sur son sauveur l’aiderait peut-être à se sentir plus en sécurité que de devoir faire face à un illustre inconnu dont elle ne pouvait connaître les intentions au final ! 
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Les images m’assaillaient de toute part, ma respiration s’accélérait au même rythme que la panique qui me gagnait. Je ne savais plus où j’étais. Cette voix, ce souffle rauque qui me glaçait le sang, je l’avais déjà entendu, j’avais déjà ressenti ce dégout et cette peur qui me coupait littéralement les jambes. « Alessandra ! » murmurait cette voix dans mes visions. Ce prénom, j’avais appris à le haïr. Non pas moi, l’autre Mina. Celle que j’avais oubliée. Elle haïssait ce prénom, elle haïssait cet homme car il lui faisait peur, il lui faisait mal. Cette souffrance me déchirait le cœur. Non, je ne voulais pas me souvenir, je ne voulais pas de ses flashs. Partez !! Allez-vous-en !! Je ne veux pas savoir, je ne veux pas ! Non, pourquoi recouvrer la mémoire pour mieux souffrir par la suite ?! Je m’étais plaint d’être une page blanche, de ne rien connaitre sur mon identité, de subir la réputation de l’autre Mina mais la vérité était que je n’étais pas de taille à supporter mes propres souvenirs. Alors, je me raccrochais à la seule personne présente : cet homme. Celui qui m’avait sauvé, qui avait mis fin à ce premier cauchemar et qui par sa présence, ses attentions à mon égard, commençait à calmer les flashs. Mes sanglots se calmèrent doucement, me laissant simplement tremblante dans ses bras tandis que je continuais de serrer son sweat entre mes doigts comme si je craignais qu’il s’évapore dans la nuit, me laissant seule avec des démons contre lequel, je me sentais sans défense. « Mi..Mina » bafouillais-je peu après qu’il se soit présenté. « Whilelmina Frost » ajoutais-je avec un peu plus d’assurance comme si le fait de prononcer mon nom complet m’aidait à chasser le reste de mes craintes. « Je suis désolée… D’ordinaire, je me contrôle davantage » reniflais-je en m’écartant légèrement. Mes doigts me faisaient mal preuve que j’avais dû réellement le tenir comme si ma vie en dépendait. Je fis un pas en arrière, passant une main rapide sur mes joues pour tenter d’essuyer les traces de mes larmes mais c’était peine perdue. Je devais avoir une tête à faire peur. Je remarquais alors mon sac à main au sol dont quelques objets s’étaient éparpillés sous le choc de la chute. « Merci.. De m’avoir aidé…Je ne sais pas où ils seraient allés sans ton intervention » murmurais-je en m’accroupissant pour ramasser mes affaires seulement mes mains tremblaient trop. « Fais chier ! » râlais-je, tentant de calmer mes nerfs.

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