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C'est le 11 Avril 1995 à Manhattan, que les membres de la famille Garett m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Alison Catherine. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Social et sociologie depuis 1 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que emploi (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Eliott. | Alison C Garett Looks alot like Rosie Tupper |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Buzz ou simplement Laura et j'ai 17 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à un top site. Je trouve le forum très actif et convivial alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Rosie Tupper comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
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APRÈS LA BOMBE Une vive lumière s'abattit sur sa prunelle, puis l'autre, laissant son regard un instant meurtrit. Alison avait tellement de blessures qu'elle ne les ressentait même plus. Les médecins la forçaient à parler, encore et encore, ils lui demandaient de raconter encore et encore le désastre qu'avait été sa matinée, et comme la jeune femme restait calme, trop calme après ce genre d'évènements, ils s'obstinaient à essayer à la faire réagir, à la faire comprendre qu'elle avait été victime d'un attentat. Pourtant Alison savait très bien ce qui s'était passé. Elle savait très bien que des bombes avaient éclatées dans l'enceinte de l'université. Elle avait bien vu les tables de la cafétéria converger vers elle alors que son verre brisé lui tranchait la main. Elle avait bien sentit la chaleur du feu et l'oppression de sa poitrine à cause de la fumée. Elle était juste calme parce qu'elle l'avait toujours été. Pas un cri, pas une larme, pas un sourire non plus, juste calme et un peu renfermée. "J'étais assise à une table près du bar de la cafétéria, assez loin des fenêtres. Je discutait avec Carra... "les bips bips de la machine s'accélérèrent à l'évocation du nom de l'amie de la jeune femme. C'était la seule chose qui la faisait vraiment réagir, la vision de son amie étendue inerte son cou anormalement incliné. Un fragment de table avait violemment frappé sa nuque et Ali continuait à espérer délibérément qu'elle ne l'avait pas abandonnée. "Comment va Carra? " les médecins s'observèrent un instant la mine soucieuse et murmurèrent qu'ils se renseigneraient. Alison éclata d'un rire sans joie, et les premières larmes coulèrent sur ses joues. Bien sur qu'ils savaient ce qui lui étaient arrivée. Bien sur qu'ils savaient si elle allait s'en sortir. Bien sur qu'ils avaient su, d'un seul regard sur l'angle improbable de son cou qu'il n'y avait plus rien a faire pour elle. Et elle, fragile, prête à se briser en mille morceaux ressentait une chaleur malsaine emplir chaque parcelles, chaque cellules de son corps. Ca bouillonnait, ça soulageait son coeur et ça séchait ses larmes. Alison n'avait jamais ressentie une si grande haine de toute sa vie. Jamais son coeur n'avait été empreint d'une telle noirceur et ses idées n'avaient jamais étés aussi sombres. Elle laissa cette sensation apaisante la posséder toute entière, emprise d'un frisson glacé et alors, tout explosa. Hurlant, elle envoya valser tout ces fils qui la reliaient à des machines, elle frappa de sa main bandée l'infirmière qui essayait désespérément de la calmer. Elle ne se retenait plus, ce n'était même plus elle qui agissait à cet instant. Elle se foutait éperdument de son bras, sa jambe et ses deux cotes cassées, elle voulait juste frapper, hurler, détruire. C'était un trou noir absorbant toute empreinte de bonheur. Alison sentit à peine la piqure qu'on avait maladroitement réussit à lui injecter. Pourtant, elle se calma bien vite, tombant dans les bras d'un médecin,assommée par l'emprise du sédatif et plongeant dans un sommeil sans rêve. | Quincy Alison a toujours été douce, calme, gentille et accueillante. Venant d'un milieu aisé, elle donne souvent aux plus démunis car elle trouve normal d'aider ceux qui n'ont pas eut la même chance qu'elle. La jeune femme ne pourrait pas voir meilleur groupe pour elle car il correspond complètement à ses exigences. Eliott Comme dit plus haut, Alison vient d'un milieu très aisé. Elle n'est pourtant pas hautaine ni snob comme la plupart des Eliott le sont. Ca pourrait donc être plutôt intéressant de voir comment elle évolue parmi eux et si ils arrivent à la décoincer un peu |
Une vie calme, tranquille, sans vraiment d'histoire, c'est un peu ce qui caractérise la vie d'Alison. Elle qui avait toujours rêvée d'aventure, du grand amour qui l'enlèverait à sa famille trop banale et l'emmènerait faire le tour du monde à ses cotés, se retrouvait dans sa tour d'ivoire à se surprendre tout les matins à rêver de cet avenir qui ne viendrait surement pas. La jeune femme avait toujours été bercée par le luxe, l'agent et le confort. Il est donc normal qu'elle vive de façon aisée, profitant de sa condition confortable. pourtant, Ali ne s'est jamais laissée aller à un air hautain et snob comme ses deux frères et ses trois soeurs. Toujours prête à aider les autres dans le besoin, elle assistait sa mère dans ses nombreuses associations caritatives, même si elle savait que l'intérêt de cette dernière n'était absolument pas d'aider les autres mais plutôt de bien se faire voir et de montrer sa fortune. Depuis sa plus tendre enfance, Alison à su apprendre à se débrouiller seule très vite. Cadette de deux frères et de trois soeurs, ses parents n'avaient pas vraiment le temps de s'occuper de la petite dernière toujours sage. Ses frères et soeurs étaient en effet plus turbulents. Les deux jeunes hommes avaient très vites sombré dans la délinquance et la dépendance de drogue ou d'alcool, alors entre les allez-retour entre les maisons de correction, les commissariats, les cures de désintoxication et les médias pour les convaincre d'étouffer l'affaire, les parents d'Alison n'avaient plus vraiment de temps pour elle. De leur coté, les jeunes soeurs avaient aussi donné du fil à retordre aux Garett. Leurs airs de divas en avaient attirées plus d'une et c'est avec des airs supérieurs qu'elles envoyaient leur "cour" faire les tâches les plus pénibles -et parfois illégales- laissant Alison complètement écoeurée d'une telle débauche.
Une douce et pure Alison donc, qui durant toutes ses années n'avait jamais voulut avoir affaire à qui que ce soit d'illégal. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle avait absolument voulut faire ses études loin du cocon familial. cette famille l'étouffait, ils la tiraient vers le bas et Alison était sure de ne rien avoir en commun avec eux. C'était sa principale motivation au collège quand elle elle finit l'année devant Myriam Cowell, la tête, l'indétrônable Myriam. C'était sa première motivation lors de l'obtention de son diplôme, ce fut sa première motivation lors de son entretient avec le directeur d'Harvard. Alison voulait fuir son quotidien borne et glacé. Elle voulait recommencer une nouvelle vie, elle voulait briller, vivre enfin, faire quelque chose de sa vie, être ambitieuse, vouloir quelque chose, toucher le soleil... Pourtant, depuis la -ou plutôt les- bombe dans l'enceinte d'Harvard qui avait tué la meilleure amie de la jeune femme, quelque chose s'était brisée en elle. Comme si Alison se rendait compte que s'efforcer d'être juste et droite n'avait aucune valeur en soi. Comme si la justice n'existait pas dans ce bas monde. Et alors cet idéal d'une nouvelle vie s'était littéralement effondré aux pieds désespérément nus de la jeune femme. Elle avait vu ses rêves tomber les uns après les autres et son ambition était retombée, comme si rien n'avait jamais existé, comme si elle n'avait jamais été animée d'un besoin de grandeur. Après une immense période de deuil, la jeune femme s'était mise à boire -raisonnablement tout de même- et se laissait tenter peu a peu par une débauche dont elle ne connaissait rien. tous dans sa famille avaient cédés à la noirceur et depuis cette bombe, Alison n'était pus trop sure de vouloir y échapper. A quoi bon de toute façon, puisque tout semblait vouloir que sa famille entière soit condamnée? Pourquoi elle en sortirait-elle toute blanche, comme elle l'avait toujours fait? A quoi cela rimait-il finalement?
Une douce et pure Alison donc, qui durant toutes ses années n'avait jamais voulut avoir affaire à qui que ce soit d'illégal. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle avait absolument voulut faire ses études loin du cocon familial. cette famille l'étouffait, ils la tiraient vers le bas et Alison était sure de ne rien avoir en commun avec eux. C'était sa principale motivation au collège quand elle elle finit l'année devant Myriam Cowell, la tête, l'indétrônable Myriam. C'était sa première motivation lors de l'obtention de son diplôme, ce fut sa première motivation lors de son entretient avec le directeur d'Harvard. Alison voulait fuir son quotidien borne et glacé. Elle voulait recommencer une nouvelle vie, elle voulait briller, vivre enfin, faire quelque chose de sa vie, être ambitieuse, vouloir quelque chose, toucher le soleil... Pourtant, depuis la -ou plutôt les- bombe dans l'enceinte d'Harvard qui avait tué la meilleure amie de la jeune femme, quelque chose s'était brisée en elle. Comme si Alison se rendait compte que s'efforcer d'être juste et droite n'avait aucune valeur en soi. Comme si la justice n'existait pas dans ce bas monde. Et alors cet idéal d'une nouvelle vie s'était littéralement effondré aux pieds désespérément nus de la jeune femme. Elle avait vu ses rêves tomber les uns après les autres et son ambition était retombée, comme si rien n'avait jamais existé, comme si elle n'avait jamais été animée d'un besoin de grandeur. Après une immense période de deuil, la jeune femme s'était mise à boire -raisonnablement tout de même- et se laissait tenter peu a peu par une débauche dont elle ne connaissait rien. tous dans sa famille avaient cédés à la noirceur et depuis cette bombe, Alison n'était pus trop sure de vouloir y échapper. A quoi bon de toute façon, puisque tout semblait vouloir que sa famille entière soit condamnée? Pourquoi elle en sortirait-elle toute blanche, comme elle l'avait toujours fait? A quoi cela rimait-il finalement?
The End
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