The beginning of a friendship... | Ft. Amara

Je n’avais pas cours en cette après-midi-là. Et pour cause, le professeur qui m’enseignait les mathématiques appliquées était absent. Il était à une formation ou à une conférence, je n’avais pas réellement compris. Au moins, ça me permettrait de travailler mes cours de biologie correctement avant la course de voiture qui était prévu le soir même. Certes, j’aurais pu suivre les filles, avec qui je traînais généralement lors des cours, en boite de nuit mais j’aimais beaucoup trop l’adrénaline que procurait une voiture qui montait à presque 300 km/h. Lorsque mes concurrents me voyaient arrivées, ils rigolaient. Comme si une fille ne pouvait être aussi bonne qu’eux lors d’une course. Manque de chance pour eux, j’étais plutôt douée au volant et j’arrivais souvent à leur voler la vedette. Au moins, je gagnais de l’argent et puis, j’étais plutôt fière de les impressionner. J’arrivais donc à la bibliothèque. J’avais mon sac sur l’épaule, un bouquin de biologie sous le bras. Certes, j’avais toujours été une fille plus ou moins sérieuse qui arrive à mixer les soirées et les cours. J’étais un peu la fierté de ma famille, bien que mes deux frères aînés aient également intégrer de très bonnes universités. Je remarquais qu’il n’y avait pas de place. Je soupirais quelque peu, avant de remarquer une fille à une table seule. Je savais que je l’avais déjà vu à l’université ou en tout cas aperçu. Bien que soit plusieurs milliers d’étudiants, il y a des étudiants qu’on repère plus que les autres. Je m’avançais alors jusqu’à sa table et une fois à sa hauteur, lui demanda d’un ton assez neutre :

« Salut, j’peux m’asseoir à ta table ? Parce qu’il n’y a aucune autre place ailleurs… »

Je lui souris brièvement tout en attendant sa réponse. Certes, elle avait le droit de me rembarrer, après on ne s’était jamais parler. Sauf peut-être en soirée, lorsqu’on était complètement ivre mais aucune de nous deux ne s’en rappellerait.

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Ven 7 Mar 2014 - 22:30

Étant donné qu'Amara devait faire un devoir sur l'histoire du journalisme, elle avait prévu de passer son après-midi à travailler. Elle se rendit donc à la librairie et constata qu'il y avait beaucoup plus de monde que d'habitude mais heureusement, il restait une table de libre. Elle y posa donc son sac et passa environ une demie heure dans les rayons à rassembler tout les ouvrages parlant du journalisme. Elle se retrouva avec un montagne de bouquins et peina donc à revenir à sa place. Elle les disposa méthodiquement de façon à avoir tout les renseignement nécessaire facile d'accès. Elle ne craignait pas d'être vu ici pendant plusieurs heures entrain de bosser puisqu'elle aimait ça. Enfin pas travailler en lui même mais la branche spécifique si, alors même si cela occupait une partie de son emploie du temps, cela en valait la peine. Elle était plongée dans sa lecture lorsqu'une jeune femme lui demanda si elle pouvait s'asseoir à sa table en expliquant qu'il n'y avait pas d'autres places de libres.

«-Euh... Oui pas de problèmes»

Elle espéra que la jeune femme ne prit pas son hésitation comme une gène de la part d'Amara. Celle-ci était juste totalement ancrée dans son devoir qu'elle n'avait pas tout de suite comprit ce que la blonde lui avait dit. D'autant plus que celle-ci lui souris, alors elle en fit de même.

«-Tu as assez de place, avec tout ces livres, je dois dire que j'en occupe une grande partie, si tu veux je peut les regrouper pour que tu puisse poser ce dont tu as besoin.»

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Dim 23 Mar 2014 - 14:38

Si j’avais sur que les cours de médecine était aussi dur que ça, j’aurais certainement choisis une autre filière. Certes, j’ai toujours eu des facilités dans toutes les matières scientifiques sans exception mais dans le fond, ce n’est pas parce qu’on est douée quelque part que forcément on doit suivre notre filière. Pourtant, c’est ce que j’avais fait. Dieu seul sait à quel point, je pouvais gager de l’argent lors de mes courses de voiture illégales. Mais je savais aussi qu’il suffisait d’un seul faux pas pour avoir un accident et se retrouver sans rien. Je me rendais compte des risques que j’encourais mais je m’en moquais un peu. J’avais besoin de cette adrénaline pour vivre. J’avais besoin d’avoir ce petite côté rebelle, que personne ne connaît réellement. C’est vrai, quand on me voit dans la rue, personne ne peut se douter que je suis le genre de fille à faire des courses de voiture pour gagner de l’argent. Bref, cet après-midi-là j’avais décidé d’aller étudier à la bibliothèque. La fille avec qui je venais de parler avait l’air surprise. Après tout, elle pouvait très bien refuser que je prenne place à sa table, je trouverais une autre table. Elle me laissa donc un peu de place et je posais mes deux livres. Je lui souris et répondis :

« Nan t’inquiètes pas, c’est parfait !»

J’ouvris l’un des deux livre sur le cours que j’avais étudier quelque jour plus tôt. Je n’avais pas tout à fait compris les formules et tout ce qui s’en suivait. Je voyais déjà les heures de travail que j’allais passer dessus. Au revoir ma petite vie sociale, bonjour les cours de maths. Je m’appuyais ensuite contre mon dossier, regardant de loin le cours que je ne lisais. Je tournais alors la tête vers la fille à côté de moi, l’observa quelques minutes, plus lui demanda :
« T’étudies quoi ? »

Il y avait pas mal de bouquin et il faut dire que j’étais relativement curieuse.

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Amara était en train de réviser lorsqu'une jeune femme était venue s'asseoir à sa table après lui avoir demandé. Elle lui fit malgré le réponse de la jeune femme un peu plus de place ce qui est meilleur pour travaillé. Elle se replongea dans sa lecture aussitôt. Ce n'était pas qu'elle était associable, c'est juste qu'elle était vraiment passionné par ce qu'elle lisait est elle s'était crée une petit bulle. Mais elle fut pas désagréable lorsque sa voisine lui demanda ce qu'elle étudiait.
"-Le journalisme, enfin l'histoire du journalisme, c'est vraiment passionnant. Et toi tu étudies quoi?"
Elle n'avait à la base pas l'intention de parler à qui que se soit en rentrant dans la bibliothèque. D'habitude lorsqu'elle y allait, elle restait des heures toute seule avec pour seuls amis ses livres. Mais cette fille là avait l'air gentille et faire une petite pose n'allait pas l'a tuer. Au moins les gens autour d'elle n’allait pas la prendre pour quelqu'un qui a pour seul but dans la vie que d'étudier.

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J'étais le genre de fille plutôt extravertie, qui va facilement vers les autres et qui ne se prend vraiment pas la tête. Certes, j'avais mon petit caractère, comme tout le monde après tout. Je 'étais donc installée à côté de la blonde, elle avait pousser es affaires. par curiosité, je lui demandais ce qu'elle étudiait. Elle me répondit qu'elle étudiait le journalisme. C'est typiquement le jour de filière que je n'aurais jamais choisis, c’est beaucoup trop littéraire pour moi. J'ai besoin de choses cartésiennes moi. En médecine et en mathématiques c'est soit juste, soit faux, il n'y a pas de juste milieu. Je lui souris, puis répondis:

« La médecine et comme option, j'ai pris les maths appliquées. » En général, on ne me voyait pas vraiment être dans une filière comme ça, comme on ne me voyait pas faire des rodéos nocturnes. Allez savoir pourquoi! Je marquais une brève pause puis ajouta, sur un ton pour rigoler: « Le jour où j'aurais jamais dû me lancer dans ce genre d'étude, c'est tellement galère. »

Je rigolais. C'est vrai que même pour moi qui était plutôt douée dans les matières scientifiques, ils fallait bien avouer que mes études étaient plus que galère.En médecine, les professeurs m'étaient la barre relativement haute. Néanmoins, ça ne m'empêchait pas de faire la fête et d'aller gagner un maximum d'argent sur des rodéos vraiment pas légaux.

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« La médecine et comme option, j'ai pris les maths appliquées. » Amara, avait toujours appréciait ce qui tournait autour de la médecine, mais elle n'aurait jamais pu se lancer là dedans. Et elle avait un grand respect envers les personnes qui étudier la médecine. Il fallait avoir du courage, être persévérant et travaillait dur pour ne pas se faire submerger par la travail. D'ailleurs même si elle ne faisait pas médecine, Amara était tout de même submergée par le travail.
"-La médecine plus les maths appliqués, tu serais pas un peu folle toi? J'peux comprendre que tu aimes travailler, ce qui est mon cas, mais là, c'est presque un suicide social."
Mais elle lui annonça après que c'était vraiment difficile, ce qui en quelque sorte rassura Amara, au moins elle n'avait pas à faire à un robot. Mais même si elle passait beaucoup de temps à travailler , Amara n'en était pas moins fêtarde, ce qui était peut être le cas de la jeune femme.
"-Tu viens souvent ici? Enfin je veux dire à la bibliothèque? Car c'est bien la première fois que je te vois. Et au faite je m’appelle Amara."

(Invité)

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