(+ Feliks) et si tu me disais c'qui te plait pas quand deux mecs s'embrassent ?

dit-moi c'qui t'plait pas.

Tu le regardais droit dans les yeux. Son air méprisant, son petit sourire satisfait. Et ton minable « Vous faites chier » en guise d'insulte. T'avais pas envie de te battre ce soir. T'avais pas envie de sortir l'artillerie lourde et crier haut et fort. T'avais pas envie d'alarmer ton mec. Ton mec qui t'aimait... Seulement, tu semblais lui avoir ouvert une porte qu'il s'empressa de prendre. Il s'approcha davantage de toi, ce qui te fis soudainement peur. Voulais-tu te prendre au collet et te battre ? « Alors Charlie, je te croyais avoir un peu plus de repondant que ca et tu m'offres un Vous faites chier? Tu me déçois... Comme quoi mon père avait raison... Vous les PD, vous n'arriverez jamais a vous faire entendre. Sois vous etes incoherent soit completement stupide de vous en prendre a un gros comité... Regarde la France... Regarde la Russie! Ils font quoi les Fag? Ils se battent... Mais ils perdent tous! Les J.O ils veulent bousiller les J.O alors que c'est l'un des premieres en Russie, j'ai trouvé ca deplorable de bousillerca Ca... Vous trouvrez toujours les mauvais moments... Je comprend pourquoi on vous dit si faible... Après tout l'expression confirme la regles: " Tend ton cul pour mieu te faire battre ! " Ca me decois tellement... TU me decois tellement. » . Son ton. Son arrogance. Ses propos. Sa mentalité. Et son « TU me déçois tellement ». C'était trop. Tu te ruas sur lui, le plaquant contre le mur par le cou. Tu serras les dents avec une telle force. Et tu sentais toute cette rage monter en toi. Tu frappas un violent cou sur le mur, tout près de son visage. Assez pour qu'il ferme les yeux tant la surprise étant grande. « TU CROIS QU'J'AI VOULU ÇA ? TU CROIS VRAIMENT QUE J'VOULAIS ÊTRE UN PD, UNE PÉDALE, UNE TAPETTE, UN FAGGOT, UN SODOMITE ? TU PENSES PAS QUE JE ME DÉÇOIS MOI-MÊME ? J'AI DU VIVRE AVEC ÇA ! J'AI DU APPRENDRE À VIVRE AVEC ÇA ET DES CONS DANS TON GENRE SONT PAS CAPABLE DE VOIR QU'À NOUS AUSSI, LES PÉDALES, LES GAIS, LES PÉDÉS, LES HOMOS, ÇA NOUS FAIT CHIER D'L'ÊTRE ! » T'avais hurlé. Beaucoup trop fort. Et tu l'avais serrer au coup beaucoup trop fort...

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D.S. Feliks Vasnetsov & S. Charlie Freeman
My Problem? it's you fag !

Il fut surpris cela dit, Charlie le plaqua contre le mur son avant bras contre son coup, il le serra. Feliks essaya alors de ne pas brocher mais en sentant le vent de son poing contre le mur il ferma les yeux par reflexe d'auto defence et il se mit a crier: « TU CROIS QU'J'AI VOULU ÇA ? TU CROIS VRAIMENT QUE J'VOULAIS ÊTRE UN PD, UNE PÉDALE, UNE TAPETTE, UN FAGGOT, UN SODOMITE ? TU PENSES PAS QUE JE ME DÉÇOIS MOI-MÊME ? J'AI DU VIVRE AVEC ÇA ! J'AI DU APPRENDRE À VIVRE AVEC ÇA ET DES CONS DANS TON GENRE SONT PAS CAPABLE DE VOIR QU'À NOUS AUSSI, LES PÉDALES, LES GAIS, LES PÉDÉS, LES HOMOS, ÇA NOUS FAIT CHIER D'L'ÊTRE ! » Feliks était admiratif par autant de surnom que donnait le jeune Dunster il laissa echaper un sourire en lui disant: « Mais tu aimes ça... » Il savait que ceci aller enerver le jeune Dunster, Il se contredisait il hurlait que du negatif et pourtant Feliks savait bien qu'au fond les Gays aimait ça, aimait cette relation avec le même sexe... Charlie serra de plus en plus et Feliks commencais a sentir sa traché se boucher peu a peu... Il lui dit: « De toute façon t'es perdu... Tu crois simplement l'être Gay? Une chose que j'ai compris l'amis... Les gens changent... Il y a que les cons qui ne changent car les cons restent des cons toute leur vie... Tu aimes la bite? T'es gay... Tu aimes Emrys? T'es gay... De toute façon tu ne servira a rien dans ce monde, alors autant la pourrir avec ta relation infame... »

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dit-moi c'qui t'plait pas.

Tu ne relâcha pas ton emprise sur le jeune homme. T'as un minimum l'impression d'avoir le contrôle pour une fois. Dommage que ce soit par la force. Seulement tu lui fis entendre que d'être gai, de découvrir qu'on est gai, ce n'est pas quelque chose de facile. C'est même très ardu. Très difficile. Heureusement que ton père était déjà mort le jour où tu as fait ton coming out sinon il t'aurait bien remis à ta place en t'envoyant dans diverses thérapies. T'avais hurlé comme un bon, t'avais hurlé le fond de ta pensée. Pensée que même Emrys ignorait. Tu ne t'acceptais pas, en fait. Malgré tout ce que tu pouvais dire ou faire - ou avoir l'air - tu ne t'acceptais pas. « Mais tu aimes ça... » prononça-t-il avec une voix semi-amusée malgré la force que tu déployais pour le retenir plaqué contre ce mur. « De toute façon t'es perdu... Tu crois simplement l'être Gay? Une chose que j'ai compris l'amis... Les gens changent... Il y a que les cons qui ne changent car les cons restent des cons toute leur vie... Tu aimes la bite? T'es gay... Tu aimes Emrys? T'es gay... De toute façon tu ne servira a rien dans ce monde, alors autant la pourrir avec ta relation infame... » S'en était trop. Tout ce passa très vite. Trop vite. Ton poing parti en un rien de temps et alla fracasser la mâchoire du Winthrop. Dans ton élan, tu pris la peine de crier « TU PENSES QUE J'AI PAS ESSAYÉ D'CHANGER ? TU PENSES QUE J'AI JUSTE PRIS POUR ACQUIS L'FAIT D'ÊTRE GAI ! BORDEL SI J'POUVAIS, J'SERAIS L'HÉTÉRO L'PLUS BEAU DU MONDE ! ».

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Il sentit alors le poing du Dunster lui atterir sur la machoire, sa lèvre saigna du faite qu'il est du se la mort pendant l'impact... Il eu un sourire en l'ecoutant « TU PENSES QUE J'AI PAS ESSAYÉ D'CHANGER ? TU PENSES QUE J'AI JUSTE PRIS POUR ACQUIS L'FAIT D'ÊTRE GAI ! BORDEL SI J'POUVAIS, J'SERAIS L'HÉTÉRO L'PLUS BEAU DU MONDE ! ». Il lui dit alors un peu sonner: « Tu vois Charlie! Rien que d'entendre sa tu as illuminé ma journée... Mais pour ton coup je ne te le rendrais pas... » Et il redevena serieu d'un coup en le regardant: « Ma Mère m'as toujours appris de ne pas frappé les Handicapés. » Dit il en posant ses mains sur le torse de Charlie pour le pousser pour se degager de son entrain, il passa son poignet devant sa bouche pour s'essuyer...

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dit-moi c'qui t'plait pas.

Tu n'es pas le genre à te battre. Tu es encore moins le genre de mec qui donne le premier coup. Sauf que là, tu avais des limites. Tu avais vraiment des limites... « Tu vois Charlie! Rien que d'entendre sa tu as illuminé ma journée... Mais pour ton coup je ne te le rendrais pas... » Tu le fixas un instant, attendant la suite de ses dires. « Ma Mère m'as toujours appris de ne pas frappé les Handicapés. ». Il te poussa légèrement pour se dégager de toi. Tu le fixais d'un air béat. Il était vraiment prêt à aller aussi bas... « Tu me traites d'handicapé, de con... Quand y'a à peine quelques mois on était potes. Vraiment, je peux croire et peut-être même comprendre les homophobes. Mais ça me surprend de toi. De voir à quel point ton attitude a changé envers moi à la nanoseconde où tu as su que j'étais gai. Ça change quoi à ta vie ? Ça change quoi à notre amitié ? Ça ne change strictement rien entre nous et pourtant tu t'es mis sur la défensive comme si t'avais peur que parce que je suis gai et ton pote, j'te saute dessus. Comme si t'avais peur que ça s'attrape... ». T'avais parlé en toute franchise et sans honte. Parce que c'était vrai. Habituellement, tu ne prêtes guère attention aux homophobes que tu ne connais pas. Tu as assez de ton propre jugement face à ce que tu es. Cela dit, le hic venait du fait que durant l'été 2013, Feliks et toi aviez liés d'amitié. Et que du jour au lendemain, tout bascule à cause d'une histoire de préférence.

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Il baissa ses bras s'entend le gout du sang dans sa bouche... Gout de fer qu'il n'appreciait pas tellement... Et il l'ecouta « Tu me traites d'handicapé, de con... Quand y'a à peine quelques mois on était potes. Vraiment, je peux croire et peut-être même comprendre les homophobes. Mais ça me surprend de toi. De voir à quel point ton attitude a changé envers moi à la nanoseconde où tu as su que j'étais gai. Ça change quoi à ta vie ? Ça change quoi à notre amitié ? Ça ne change strictement rien entre nous et pourtant tu t'es mis sur la défensive comme si t'avais peur que parce que je suis gai et ton pote, j'te saute dessus. Comme si t'avais peur que ça s'attrape... » Feliks fut surpris... Après tous ce qu'il vient de lui balancer comme vacheries, il pensait tout de même a l'heure amitié... Feliks soupira ne le regardant même plus Il lui dit: « J'ai peur... Oué pourquoi pas... Non ecoute mec... J'ai été élevè comme ça... Ma Famille, mes amis, mon entourage... Tous ses gens que j'ai fréquenté et que je fréquente encore... Sont Homophobes... oué ils n'aiment pas... Bah les gars comme toi... J'en ai marre moi d'entendre a la télé ou sur le net : " Oui mais faut les comprendre ses pas faciles.... " Oué Okay c'est peut être pas facile pour vous... Mais regarde moi... Dans quoi j'ai été elevé... On m'a toujours dit... t'approches pas des pédales, tu vas finir comme eux ! Ca n'apporte que le Sida et les MST. J'ai eu peur de vous ! Je vous fuis comme la peste...Et tu veux être encore mon ami? Après ce que je t'ai fait subir depuis des semaines? Ce que je viens de te balancer dans la gueule? Imaginons je fais des efforts, je dit plus rien sur ta vie sexuel... Tes choix ou quoi... Tu m'accepterer encore comme ami alors que tu sais que je suis tout de même homophobes? Que j'aurais toujours peur de toi, que tu me sautes dessus ou que tu me refiles ta sois disante "maladie"? » Feliks se resonna devant plus sincere envers lui même et lui avoua tout alors.

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dit-moi c'qui t'plait pas.

Charlie, ou l'éternel ami de tous. Malgré tout ce qu'il venait de dire, malgré tout ça, tu ressortais ton côté humain et tu lui fis par de ton ressenti par rapport à votre amitié. Amitié qui comptait à tes yeux. Oui, même s'il se montrait homophobe. Après tout, tu es du genre à penser que ton homosexualité ne te définit pas entièrement. Il y a pas que ça chez toi. « J'ai peur... Oué pourquoi pas... Non ecoute mec... J'ai été élevè comme ça... Ma Famille, mes amis, mon entourage... Tous ses gens que j'ai fréquenté et que je fréquente encore... Sont Homophobes... oué ils n'aiment pas... Bah les gars comme toi... J'en ai marre moi d'entendre a la télé ou sur le net : " Oui mais faut les comprendre ses pas faciles.... " Oué Okay c'est peut être pas facile pour vous... Mais regarde moi... Dans quoi j'ai été elevé... On m'a toujours dit... t'approches pas des pédales, tu vas finir comme eux ! Ca n'apporte que le Sida et les MST. J'ai eu peur de vous ! Je vous fuis comme la peste...Et tu veux être encore mon ami? Après ce que je t'ai fait subir depuis des semaines? Ce que je viens de te balancer dans la gueule? Imaginons je fais des efforts, je dit plus rien sur ta vie sexuel... Tes choix ou quoi... Tu m'accepterer encore comme ami alors que tu sais que je suis tout de même homophobes? Que j'aurais toujours peur de toi, que tu me sautes dessus ou que tu me refiles ta sois disante "maladie"? » Voilà, il venait de cracher le morceau, il livrait le fond - le vrai fond - de sa pensée. Tu humectas tes lèvres, le regard fuyant. Tu cherchas tes mots un bref instant avant de reprendre. « Je comprends Feliks. Je suis pas con. Mon père était homophobe. Mes oncles l'étaient aussi... Je sais c'que sait que de vivre, de côtoyer des gens qui sont... disons moins ouvert. Mais après, c'est quelque chose qui se développe, qui s'apprend. J'ai moi-même dû m'ouvrir à ça et c'était pas de gaité d'coeur... Et après, oui j'considère que notre amitié vaut plus que tout ça. Parce que tu devrais savoir que j'vaux plus que d'être gai ou hétéro. J'te juge pas parce que t'es hétéro et j'ai pas peur que tu m'contamines... Alors ça revient au même. » dis-tu en restant parfaitement immobile. Seulement tes yeux étaient fixés vers lui.

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Il c'était confié, bizarrement lui aussi se confia a son tour: « Je comprends Feliks. Je suis pas con. Mon père était homophobe. Mes oncles l'étaient aussi... Je sais c'que sait que de vivre, de côtoyer des gens qui sont... disons moins ouvert. Mais après, c'est quelque chose qui se développe, qui s'apprend. J'ai moi-même dû m'ouvrir à ça et c'était pas de gaité d'coeur... Et après, oui j'considère que notre amitié vaut plus que tout ça. Parce que tu devrais savoir que j'vaux plus que d'être gai ou hétéro. J'te juge pas parce que t'es hétéro et j'ai pas peur que tu m'contamines... Alors ça revient au même. » Felis l'ecouta avec grande attention après tout c'était son ami il avait raison, mais cette peur et ses voix dans sa tête lui rapellant le souvenir de cet acte qu'il trouve repugnant il lui dit d'un ton plutôt humouristique: « Ah! Jamais je te contaminerai... Après tout tu l'as dit toi... Le plus beau Hetero du monde?! Laisse moi rire... Je t'aurais tué avant » Dit il avant rire il s'approcha de lui posant ses mains sur ses épaules: « Tu me répugnes... mais putain que t'es vraiment con mais jt'aime bien Charlie... » Dit il d'un sourire avant de lui coller un coup de boule sur le front ni trop violent ni trop tapette! « Ca c'est pour ton crochet! Handicapé ou non finallement rien a foutre! » Dit il en souriant

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dit-moi c'qui t'plait pas.

C'est fou comment la conversation pouvait prendre une toute autre tangente, là tout de suite. Est-ce que ce Feliks était sur le point de s'ouvrir les yeux sur ce qu'est... une société mixte et libre ? « Ah! Jamais je te contaminerai... Après tout tu l'as dit toi... Le plus beau Hetero du monde?! Laisse moi rire... Je t'aurais tué avant » dit-il en riant. Le fait qu'il rit maintenant était un bon signe, tu trouvas. Il s'approcha de toi et posa ses mains sur tes épaules. Tu étais alors très surpris d'un tel contact venant de sa part. « Tu me répugnes... mais putain que t'es vraiment con mais jt'aime bien Charlie... ». Heu. C'était supposé te rassurer ? Tu souris et secoua légèrement la tête, signe que votre prise de tête t'avait un peu ébranlé. Et contre toute attente, il te frappa dans le front, avec sa propre tête. Pas trop fort, mais juste assez. « Ca c'est pour ton crochet! Handicapé ou non finallement rien a foutre! » Tu souris. Tu l'avais bien cherché en fait. « Écoute mec. J'te respecte. Et c'est pour ça qu'à présent j'te parlerai plus jamais d'ma vie privée... J'suis peut-être gai et t'es peut-être homophobe, mais j'suis d'abord et avant tout ton ami. Point barre. » répliquas-tu. Tu pris cela dit un temps pour réfléchir avant de rajouter un truc. « Mais... Garde c'que j't'ai dit pour toi, okay ? » Tu avais dit à Feliks que tu n'acceptais pas ton homosexualité. Et même si tu l'avais dit dans un excès de colère, c'était quand même un peu vrai. Tu avais peur qu'il aille voir Emrys ou quoi... Bref.

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Il l'ecouta plutot satisfait de l'arrangement des deux personnes... Il eu un sourire tandis qu'il lacha l'emprise sur ses épaules et il l'ecouta a nouveau, il posa sa main sur son épaule et lui dit: « Tu m'a pris pour cette pute de Cambridge secret? Ne t'en fais pas... Je trahirais pas ta confiance, Je suis Russe. Les russes sont fidèles envers les compagnions ! » Dit il avait sourire, finalement c'était un mal pour un bien se dit il ! Et puis il passa son bras derrière sa nuque commencant a emboiter le pas: « Bon tu sais ce qu'on fait chez moi pour fêter une Amitié? » Il se mit a sourire commenca il est 10 heures du matin? C'est l'heure... « On picole ! Ca tombe bien j'ai de la bonne Vodka dans ma chambre... Tu es peut être gay ! Mais avec ca tu aura de vrai couilles d'hétéro ! » Dit il en riant... Alors qu'il marchèrent dans le couloir direction la chambre de Feliks! Marshall était pas là partit plus tôt l'occasion de profiter!

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