Green Kodama ► G-Dragon

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle YueBe et j'ai 28 ans. Je suis Belge et j'ai connu le forum grâce à Hyun-Ha Lee‏ .   J’ai entendu que du bien et j’avais très envie de renouer avec le RP alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise G-Dragon comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Nautiljon. Je fais environ 8 lignes par RP (je n’ai pas compté).
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Bon commençons par le début.

Dans les bas quartiers de Tokyo, une jeune femme du nom de Yumiko Nasanari avait mis au monde un jeune garçon. Elle avait à peine 18 ans, son amour d’école un homme peut fréquentable lui avait promis mont et merveille. Mais voilà, depuis leur sortie de l’école, il n’avait toujours pas trouvé de travail. Yumiko était inquiète, très inquiète… il fallait de l’argent pour le jeune Green qui venait à peine de naître. Pourtant son époux Sukio, restait allongé dans le divan toute la journée, à jouer aux jeux-vidéo et malgré tout.  Tous les mois elle avait de quoi vivre. Yumiko n’en pouvait plus et craqua, une violente dispute ébranla les murs de leur petit appartement.

Le lendemain, Yumiko donnait à manger à Green, elle l’aimait énormément, il était déjà si beau avec ses grand yeux de séducteur. C’était pour cela qu’elle l’avait appelé Green, Seth Green était un acteur et un scénariste talentueux, pour elle c’était le meilleur de tous. Elle espérait que son fil aurait une carrière aussi brillante que son acteur favori.

L’horloge de la cuisine se mit à sonner, la retirant de ses douces pensées. Il était déjà 11h passé, et Sukio était toujours en train de dormir dans le lit. Quand il se leva, elle ne lui donna aucun signe d’affection, Sukio prit le journal et vit que les annonces étaient toutes soulignées en rouge. Il hurla et claqua la porte. Seule avec son fils, Yumiko tomba en larme.

Sukio voulait trouver un job, êtes un père formidable. Mais il ne savait rien, ses notes à l’école n’avaient jamais été bonnes, souvent il se revoyait quitter l’école pour errer dans les rues. Personne ne voulait engagée un type qui n’avait pas fait grand-chose et surtout pas réussit à ne décrocher le moindre diplôme. Les heures défilaient devant ses yeux, tout comme les portes devant lui, personne ne lui avait dit le moindre mot. Il était abattu, d’espéré, il ne savait plus quoi faire.

Le hurlement d’une voiture le fit relever la tête, des hommes en noirs sortirent. Sukio, se mit à courir poursuivit par ces hommes en noirs, il courait ne sentant plus son souffle. Au coin d’une rue une voiture le percuta de plein fouet, Sukio avait très mal, la douleur était intense, il releva péniblement la tête et les hommes le bloqua contre un mur et le tabassa, il n’avait plus peur, il savait qu’il allait mourir. Ses oreilles bourdonnaient, ses pensées allèrent vers sa femme et son fils qui devaient l’attendre, quand il reçut un coup de poing dans l’estomac. Il se brisa en deux, vomissant tout son être.

- Nasanari ! L’heure est passée où est le fric !?
- Deux jours… encore… deux jours
- T’aura même pas deux secondes.

Un violent coup l’assomma, il n’avait entendu qu’un vague bruissement signe que les voitures étaient partie. Quand Sukio, s’éveilla, la douloureux fut-elle qu’il hurla se brisa une nouvelle fois, le sang coulait de sa bouche, il tremblait. Il avait eu si peur, tellement peur qu’il n’arrivait même plus à respirer. C’était comme-ci, il avait oublié comment on faisait. Il se redressa péniblement, il gémissait sous les plaies ouvertes. À son pied, il vit une photo…

Cette simple image, l’avait choqué les yeux grands ouverts, il tremblait. Il se mit à se plaindre et se redressa totalement, il devait rentrer, il faisait nuit, il pleuvait. Mais surtout, il devait êtes là.

Comme un fou, il monta les marches de son appartement, la peur au ventre, la nausée douloureuse, il savait, il le savait ce qui s’était passée mais une part de son êtes refusait de comprendre.

La porte était ouverte, dans le couloir une trace de sang cheminait jusqu’à la chambre. Yumiko sur le lit, dénudée avait subi les pires traitements. Sukio tomba à genoux, hurlait son d’espoir et tenait sa femme dans ses bras. Il bougeait d’avant en arrière dans des spasmes saumâtres, ses larmes étaient brulantes, il devenait rouge vif, il était impossible pour lui de respirer, son cœur était brisé à jamais. Ses mains étaient couvertes de sang, Sukio était brisé. Il voulait se lever pour voir si Green allait bien, mais il n’avait plus la force, plus de volonté pour quitter son amour.

Puis tout se passa rapidement, des policiers arrivèrent, le plaqua au sol, hurlait et le temps qu’il comprenne quoi que ce soit Sukio fut arrêter pour le meurtre de sa femme. La prison pour l’éternité, sans nouvelle de son fils.

Green allait parfaitement bien, Oyabun avait pris sous son aile le jeune garçon.
Le Oyabun, est le nom respectueux du chef du clamp Kodama chez les Yakuza japonais.

Green fut élevée pour devenir l’un des membres privilégiés, voir le futur du clamp Kodama. Un Kyodai avait été désigné pour le surveiller, le Kyodai est un membre loyal. On peut le comparer à un grand frère, il protège et enseigne son jeune apprenti (frère). Green vécu dans le lux, le meurtre, la drogue, l’esclavagisme  l’univers dans lequel il baignait le rendait arrogant, mais surtout très instable. Pour son âge, il n’en restait pas moins un grand gamin, jouant à des jeux vidéo, des jeux dangereux, à sortir avec tout et n’importe quoi, a tester lui-même la marchandise. Il était craint des autres clamps, car on ne savait jamais sur quel pied danser avec lui. Tantôt sérieux, tantôt colérique, tantôt comique, personne ne pouvait prédire son comportement. Mais la seule chose qu’on savait de lui, c’était ce que le Oyabun lui avait dit. Sa mère était morte le jour de sa naissance, et il n’avait pas de père… c’est ce que le Oyabun avait dit donc c’était la vérité.

Green, passait sa vie à rien faire à par bien sur les affaires familiales. Mais le jour de l’explosion de cette bombe, l’avait rendu malade. Qui avait osé faire la chose qu’il n’avait pas encore faite !? Décidé à trouver le mec et à le tuer, il décida d’entrer à Harvard, et c’est si facile d’y rentrer quand on a les gens qu’il faut… et la manière. Ses notes seront excellente quoi qu’il fasse… maintenant à lui de trouver le coupable et pourquoi pas s’amuser en même temps. Rien ne vaut le plaisir de prendre du bon temps avec des jeunes innocents.