ZADIG ANTONINA SKLERIJEN ► lana del rey

C'est le dix avril 1992 à Amsterdam, que les membres de la famille Sklerijen m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Zadig Antonina. Je suis célibataire, et libre et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis lesbienne et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de relations internationales (majeur) et de sport (mineur) depuis trois ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Dunster.

Zadig Antonina Sklerijen

Looks alot like Lana del Rey

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas et j'ai dix-neuf ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à sa réputation. MOUMOUMOUMOU :love2: alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Lana del Rey comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par arwene. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ COINCOINCOINCOIN :loukas:

Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Tu n'as presque rien vu. Il y a eu un grand bruit, tu avais l'impression que l'on t'arrachait les tympans. Tu n'avais pas peur, on t'avait toujours appris à ne pas craindre la mort, la meilleure façon d'y survivre est d'y faire face. Tes yeux sont restés ouverts, tu as vu le souffle de feu qui s'engouffrait dans le bâtiment à une vitesse fulgurante. Tout ralentissait, comme si le temps s'arrêtait. Tu voyais les visages des autres se déformer, certains hurlaient, d'autres pleuraient, d'autres priaient. Ils rampaient tous devant la mort noire. Tu l'attendais, pour lui retourner la plus grosse mandale de son existence. Elle prendrait les faibles, mais jamais elle n'arrachera les forts. Tu restais droite comme un piquet. Tu avais chaud, si chaud. Ta peau blanche rougissait, tu cuisais comme une écrevisse plongée vivante dans l'eau bouillante. Tes yeux se fermèrent. Violemment, tu les rouvris. Le blanc. Le silence, soudain. Tes yeux brûlaient. Tu ressentais une douleur vive. Vivante. Tu avais de nombreuses commotions et la jambe fracturée, ainsi que des brûlures de par et d'autres de ton corps, mais rien qui puisse mettre tes jours en danger ou à mal ta beauté. Ton père avait fait venir les meilleurs médecins d'Hollande jusqu'en Amérique et t'avais réservé la meilleure chambre dès qu'il l'a appris, jusqu'à soudoyer les pompiers pour qu'ils te récupèrent en priorité. Le seul souvenir qu'il t'en reste est la fierté. La fierté avec laquelle tu as fais face. Tu n'avais pas peur.

Eliot
Tu es la fille de l'homme le plus puissant de Hollande, au-dessus des politiques. Il possède de nombreuses grandes entreprises et dirige de puissants lobbys. Une loi en préparation ne lui plaît pas ? Il fera pression, dépensera des milliards en publicité pour manipuler les masses et mener ses projets à bien. Tu as hérité de ce caractère de leader, tu diriges, tu dictes, tu mènes. Personne ne peut te dicter ton comportement, pas même ton père. Tu es rusée et extrêmement pragmatique. Tu as peu d'états d'âmes et tu trahis sans peine, sans compter que tu ne penses qu'à ta petite personne. Cette maison semble tout indiquée pour t'accueillir. Qui plus est, tu as toujours vécu avec des riches, tu as un mépris certain pour les pauvres. Ils te semblent paresseux, pas assez volontaires.

Dunster
Venant d'une famille très aisée, tu as eu la meilleure éducation possible. Ton parcours scolaire est sans fautes, tu as des facilités partout et si tu es moins excellente dans une matière, tu te payeras le meilleur professeur possible jusqu'à atteindre la perfection. Tu ne supportes pas l'échec et encore moins les perdants. Tu apprécies le climat d'émulation de cette maison, tu côtoies des ambitieux, ça te plaît. Les contacts, c'est ce qui forge la vie professionnelle, autant commencer dès que possible.

(Invité)

Tu es l'image typique de l'aristocrate européenne que se font les prolétaires. Tu es une grande escrimeuse, une excellente archère, tu montes à cheval comme personne, tu joues du piano, tu chantes de grands airs, tes vêtements sont faits sur mesure par de grands créateurs... Chez toi, on a pas peur de vomir le fric par bassines pour arriver à ses fins. Tu suis les pas de ton père plus que ceux de ta mère, femme puissante, mais qui reste constamment en coulisses, sous couvert de gentille femme au foyer. Tu es une personne d'action, tu influences, tu corromps, tu prends les décisions; En somme, tu mènes contre vents et marées le grand bateau qu'est ta vie. Tu ne crains pas les tempêtes, tu es indestructible, sans peurs. Tu n'as jamais aimé qui que ce soit, tu aimes la drague, le sexe, mais l'après te répugnes. Tu es une grande hédoniste, tu vis le plus fort possible. Tu bois beaucoup, t'injectes des drogues diverses, dans leur version la plus pure, la plus trippante. Tu as un comportement assez masculin et même si tu entretiens une certaine féminité, tu te sens entre les deux, indécise, libre. Tu parles de nombreuses langues et tu connais les failles du langage et comment les tourner à ton avantage. Ton père a toujours été fier de toi, jusqu'à ce que ton homosexualité arrive sur le tapis. Il avait toujours fermé les yeux sur les filles que tu ramenais, les plus belles, les plus fraîches. Tu sais qu'il était jaloux de toi et du bon temps que tu prenais avec ces femmes magnifiques. Mais dans ton dos, il faisait son possible pour t'envoyer le plus de prétendants possibles. Il espérait que ce ne soit qu'une passade et qu'en rencontrant le bon, tu reviennes enfin sur ce qu'il croyait être le droit chemin. Mais tous ces hommes sont rentrés bredouille, frustrés, bouillonnant de rage. Tu n'avais pas raté l'occasion de les humilier, de les rabaisser jusqu'à ce qu'ils repartent, détruits ou dans une colère dévastatrice, se plaindre à ton père. Tu ne te trouvais pas cruelle envers lui. Tu savais que dans les jeux il y a toujours un perdant et un gagnant, même en famille. Et tu refusais de perdre, à tout prix. Il était faible, pas toi. Il t'aimais de tout son cœur, tu es sa fille, sa perfection, sa grande réussite. Toi tu n'avais aucun état d'âme, dirigée par ton pragmatisme implacable, "si tu n'es pas avec moi tu es contre moi" et tu as usé de tous les moyens nécessaires pour le faire abandonner, tout en jouant habilement pour qu'il t'aime encore plus. Tu avais gagné, sur tous les plans. Tu avais le soutien, les filles, l'argent, la gloire. Rien ne peut t'arrêter. Ton père a voulu t'envoyer dans la meilleure université possible et Harvard lui est tout de suite venu en tête. Tu as également postulé à Oxford en Angleterre et Sciences Po en France, mais l'Amérique t'attirait comme une gigantesque aimant. Tu avais un certain attachement pour cette bonne vieille Europe, mais tu voulais changer d'air, respirer la nouveauté et t'émanciper de l'empire familial. Enfin, tu étais devant ce grand bâtiment, fumant intensément tes gauloises, exportées directement de France. Un nouveau lieu à conquérir, de nouvelles personnes à écraser. Tu étais prête à sauter dans le ravin de la vie. Tu avais les ailes d'Icare, mais tu savais pertinemment que ces dernières ne brûleraient jamais.

The End

(Invité)