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C'est le 16 Juillet de l’an 1992 dans l’État de Louisiane, la magnifique ville qui abrite la Nouvelle-Orléans, que les membres de la grande famille que sont les Allister m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Pearl Katheryn. Je suis célibataire et heureuse et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétéro et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de design de mode depuis trois ans et travaille en parallèle de mes études en tant que vendeuse d’appât. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot. | Pearl Katheryn Allister Looks alot like Sasha Pieterse |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Cherry et j'ai 1* ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à une amie qui s'est récemment inscrite sur le forum. J’ai vraiment adoré le design du forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par le nom de la personne qui est écrit dessus. Je fais environ 600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi.
Mot de la fin ? ▲ jador lé craip a la freizz miam !!!!! =)))))))))
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
Mot de la fin ? ▲ jador lé craip a la freizz miam !!!!! =)))))))))
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APRÈS LA BOMBE La bombe a été une expérience très difficile pour moi. J’ai vraiment eu très peur, à ce moment-là. Je me trouvais dans la bibliothèque, dans une pièce tranquille, à l’étage et je révisais un cours d’histoire. J’avais, au début, entendu le bruit de verres qui se cassaient mais je n’y ai pas fait attention. Je continuais à lire un livre qui s’appelait « les trilogies et les légendes des temps 1600 av. J-C ». J’avais sursauté en entendant des cris cassés et poignants. Une alarme, que j’eus reconnus comme l’alarme d’incendie de Harvard, avait commencé à sonner. La secrétaire de la bibliothèque avait commencé à hurler dans toute la salle « sortez, sortez, s’il vous plaît » et c’est à ce moment-là que j’avais daigné fermer le livre. Je m’étais très vite levée mais je sentais déjà une fumée odorante qui s’était infiltrée dans mes narines. J’avais l’impression que de la poussière se formait dans ma gorge et je me mis à tousser. J’entendais des cris dehors. L’alarme sonnait toujours. Je voulus courir mais je trébuchais sur quelque chose. Je m’aperçus que c’était un livre. Je m’étais fortement cognée contre la rambarde des escaliers. J’aperçus les premières flammes en bas. Je m’étais crispée et je n’arrivais pas à bouger, j’étais comme figée. Le feu prenait peu à peu sa place dans la bibliothèque et l’endroit était sien, désormais. Je sentais les larmes couler le long de mes joues. Il n’y avait plus personne, j’étais seule. Enfermée. Piégée. Je vis, avec horreur, que le feu s’était répandu sur la première marche des escaliers. Rien. Il n’y avait rien qui puisse me sauver. Même pas une seule fenêtre. Le crépitement du feu m’effraya au plus haut point. Mon visage était inondé. Mes larmes étaient incontrôlables. Je ne pouvais rien faire d’autres à part pleurer sans pouvoir m’arrêter. Je me reculais rapidement de la rambarde. Le feu dévalait la sixième marche. Je me reculais le plus loin possible et j’allais m’asseoir au coin du mur, la tête baissée dans mes bras. Le néant m’avait capturée. Je m’étais ensuite réveillée dans un hôpital. La chambre était froide et fraîche. Je frissonnais. J’avais essayé de me relever mais sans aucun succès, je me sentais faible comme une herbe. Ma main était brûlante et j’aperçus une énorme et longue trace de sang rouge. Mon bras était complètement ouvert. Ma tête tournait et elle était lourde. La porte s’était ouverte le médecin était rentré et il a commencé à m’examiner longuement. Il ouvrait puis refermait mes yeux. Je me levais difficilement. Il me posa des questions de base comme « comment allez-vous ? » ou encore « vous vous sentez bien ? ». C’est alors qu’il me demanda « comment vous appelez-vous ? ». J’avais un trou vide dans ma tête. Je ne savais pas quoi répondre. Trois heures plus tard, on m’avait détectée amnésique. J’ai recouvert la mémoire seulement un an après. Pour une première année, elle s’était vraiment très mal passée. Cette bombe a été très dure et difficile pour moi et c’est un souvenir très mauvais que je garde. | Eliot House Je souhaite intégrer la Eliot House parce que c’est tout simplement la maison qui convient le plus à Pearl. Ne dit-on pas que l’Eliot House regroupe la fierté, l’élite de Harvard ? Et bien Pearl peut tout à fait appartenir à ce groupe de qualité. Étant née dans une famille extrêmement riche, sa mère est une femme d'affaires, qui est la descendante royale d’une famille de rois, qui régnait dans les années 1636, en Angleterre. Elle a donc reçu tout l’héritage de sa famille d’aïeux. Son père, quant à lui, était un très grand agent militaire qui est partie à la guerre, en armée, puis est devenu policier, et enfin, il est maintenant vendeur d’appât. Pearl a toujours été très gâtée dans son enfance. Elle était fille unique et n’a jamais manqué de rien. Ses parents l’ont élevée comme une perle rare. Pearl a été le chou, la crème de la crème, la cerise sur le gâteau de sa famille. Pearl est la fierté de sa famille, on lui a toujours dis qu’elle était tout ce qui était de plus cher à ses parents. Ses parents la considèrent comme leur princesse. Elle sait très bien que l’Eliot House est très peuplée et qu’il fallait éviter de choisir cette maison mais… Qu’est-ce qu’elle y peut ? Pearl a jeté son dévolu sur l’Eliot House. Elle est très loyale et accueillante, comme femme, et je pense qu’elle mérite toute sa place dans l’Eliot House. dunster house rien à dire. |
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