Un 14 février, pas seul. (Maëlys)

J'avais eu la chance de voir Maëlys, l'amie de mon cousin. Oui, j'avais croisé la jeune fille dans un sex shop entrain d'essayer une petite tenue et elle était vraiment ravissante, elle l'avait acheté et c'était un bon choix de sa part. Elle y avait été au départ pour acheter une connerie pour quelqu'un et ça m'avait fait rire. On avait discuter un petit peu à la sortie et elle m'avait proposer de passer la Saint-Valentin en sa compagnie. Elle m'avait proposé de la rejoindre devant la Cabot House et je ne m'étais pas fait prier pour enfiler un de mes plus beaux costumes, avec une cravate rouge assorti à ma confrérie. Au passage, j'avais pris le temps de lui acheter un petit bouquet de rose de couleur rose ainsi qu'une petite boite de chocolat. C'était la moindre des choses, venir les mains vides ne se faisait pas vraiment. Je patientais devant la Cabot House, l'arrivée de la jeune fille, espérant qu'elle ne me posait pas un lapin.

La Saint-Valentin, oh mon dieu que je détestais cette fête. C'était devenu totalement commercial de toute façon, et puis, célibataire, ce n'était pas le top non plus. Mais j'avais décidé de passer la soirée avec toi, tu étais drôle et puis on s'entendait plutôt bien. J'avais envie d'oublier, de rire, d'être moi. Donc de l'alcool serait au rendez-vous. Pour l'occasion, je m'étais préparée. Enfilant une robe assez simple mais élégante, bleu marine, avec des talons assortis, et un petit sac à main noir. Mes cheveux lissés, et très légèrement maquillée. C'était certainement l'heure à laquelle tu devais m'attendre donc je prenais une veste, et hop, je descendais devant la Cabot House, tu étais de dos, en train de regarder je n'sais où, une rose à la main, oh. Ça, je ne m'y attendais pas. "Hé.. Nikko."

Je m'étais habiller assez classe, ça faisait longtemps que je ne m'étais pas vêtu aussi bien. Surtout pour une soirée aussi simple, je sortais en célibataire avec une fille, pour la saint-valentin. C'était tout de même assez drôle quand on y pensait, mais ça allait être mieux que de rester seul dans son lit. D'ailleurs, une voix venait interrompre le silence, je me retournais et pouvait te voir face à moi, tu étais ravissante. Je m'approchais de toi en te tendant la rose, ainsi que la petite boite de chocolat, c'était la moindre des choses d'amener un petit truc, puisque c'est toi qui m'avait invité. « Maëlys, tu es très belle ce soir.. tiens, c'est pour toi » Je te fis un petit sourire, avant de te regarder droit dans les yeux. Je ne comprenais pas comment tu faisais pour être encore seule à l'heure actuelle. A moins que c'était quelque chose de voulu, de te part.

C'était étrange d'avoir ce feeling qui passait aussi bien avec toi. Depuis la première fois où Wyatt nous avait présenté. Mais je ne voulais pas aller trop vite ou quoi que ce soit. J'étais redevenue forte, et je ne comptais pas m'attacher. Mais bizarrement, du moment où je te voyais là, j'étais bien. J'étais même un peu stressée, c'était bizarre. « Maëlys, tu es très belle ce soir.. tiens, c'est pour toi » Tu m'offrais même une boîte de chocolat et des roses, magnifique. Wouah. Depuis quand on ne m'avait pas fait ça? Je relevais mon regard noisette au tien, tu étais très beau aussi. "Merci.. T'étais vraiment pas obligé, j'aime pas cette fête à la base mais.. merci. On va où? Tu as une idée? J'ai l'alcool dans mon sac moi." Je n'allais tout de même pas oublié une bonne bouteille de vin.

Je ne voulais surtout pas venir les mains vides, surtout que tu m'avais si gentillement inviter. Il faut dire que tu étais vraiment une fille charmante et que tu dois en faire craquer plus d'un. Les admirateurs secrets, tu dois en avoir plus d'un, sauf que tu l'ignore certainement, où ne te rend pas compte à quel point tu es bien. « Je déteste aussi cette fête, mais ce n'est pas grand chose, c'est surtout le geste qui compte hein » Te dis-je avec un léger clin d'oeil avant de te faire un petit sourire et de répondre à ta question. « Aucune idée, emmènes-moi où tu veux, je te suis » Je gardais un large sourire dessiné sur mes lèvres, tout en restant près de toi à t'observer dans cette tenue qui te va si bien.

Je me mis à réfléchir un peu, cherchant beaucoup trop compliqué puisque ma chambre était juste derrière nous et que Romy n'était plus là pour le moment, ma colocataire de chambre. D'ailleurs, beaucoup de filles n'était pas à la Cabot House ce soir. « Je déteste aussi cette fête, mais ce n'est pas grand chose, c'est surtout le geste qui compte hein » les fleurs et le chocolat, c'était adorable. Cliché, certes, mais adorable. Surtout venant d'un garçon qui ne me connaissait pas vraiment "Merci en tout cas.. T'es gentleman, c'est rare de nos jours.." puis je t'avais demandé ce qu'on allait faire, mais je pensais aux fleurs, les roses devait être dans de l'eau. « Aucune idée, emmènes-moi où tu veux, je te suis » "Viens, on va dans ma chambre.. J'vais mettre les roses dans de l'eau, et puis voir si on peut être tranquilles.." Je me retournais et faisait marche arrière, mais avec toi cette fois-ci. Je rentrais dans le salon et je n'entendais aucuns bruits. Je montais aux chambres, en t'entendant me suivre.

Ce n'était pas de la drague du tout, ça me faisait plaisir de t'apporter un petit truc, surtout suite à l'invitation que tu m'avais faite pour passer la saint-valentin ensemble, au lieu de s'ennuyer chacun de notre côté. « Ce n'est pas aussi rare que cela » Je t'avais ensuite glisser que je te laissais le choix de où, nous emmenez et tu me répondis rapidement que tu voulais aller dans ta chambre. Pour mettre tout d'abord les fleurs dans de l'eau et voir si on pouvait y être tranquille. « Pas de soucis, je te suis. Mais, essaye de pas me perdre dans la maison » Je me mis à marcher à tes côtés et te suivait pour entrer ensemble dans la maison devant laquelle je t'avais rejoint, il y a quelques instants.

« Pas de soucis, je te suis. Mais, essaye de pas me perdre dans la maison » je me mettais à rire un peu, pourquoi je te perdrais? Au pire, tu seras entre des parfums, soutifs, et petites tenues, ou des bonbons aussi.. nous étions très gourmandes. Une fois dans ma chambre, je fermais la porte et j'allais vite mettre les fleurs dans un petit vase. "Assieds-toi.. Tu as l'alcool? J'en ai, au pire.." je n'aimais pas la Saint-Valentin, mais ça allait être marrant. Ma colocataire de chambre n'était pas là.

Très rapidement, nous étions monter dans ta chambre pour passer la soirée de Saint-Valentin. En effet, au lieu de la passer chacun de son côté en célibataire, nous avions décider de la passer entre ami, chez toi. Tu me demandais si j'avais penser à prendre l'alcool, mais je te répondais avec un petit sourire pour que ma réponse passe mieux. « Ha ben, enfait j'ai tellement penser à toi, que j'en ai oublier l'alcool » Cet oubli passerait mieux avec une petite blague que simplement lui dire que j'avais oublier, tout ça car j'ai une petite mémoire sur le coup de ce soir.