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ROXARYS ♡ And I need you, more than ever.

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"Don't let them in, don't let them see" Cette foutue phrase d'une chanson de Frozen était scotchée avec du sparadrap double face dans mon cerveau, depuis que j'étais partie de l'appartement, pour me rendre vers Charles River et y retrouver Emrys. Je lui avait dit que j'allais bien... Et c'était faux. Complètement faux. La veille, j'avais eu le droit à une lettre de la part de Demyan. Non, pas une lettre d'amour, une lettre d'adieu. Le pire dans tout ça ? C'est pas qu'il me disait que j'avais des sentiments pour lui à sens unique, non, il m'avouait la réciprocité certaine de mes sentiments, et me disait accessoirement que, ne les assumant pas, il avait décidé de s'engager dans des voyages humanitaires, quittant donc Harvard... Me quittant, moi. Avant même que nous ayons pu commencer une histoire, notre histoire. Et j'avais le cœur brisé. Mais aujourd'hui, Emrys voulait me voir, et voir Aylin. Celle ci s'était endormi dans la poussette. Heureusement, parce qu'elle avait pleuré toute la matinée, allez savoir comment, ma fille avait un don fou pour capter mes émotions. Arrivée près de la rivière, je m'asseyais sur un banc, scrutant les alentours. Allez Rox, tu peux paraître normale, Emrys vivait enfin une histoire heureuse, et je n'allais pas lui gâcher ça... Hors de question.
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Enfin ! Enfin, j'étais heureux dans ma vie sentimentale, ma santé allait bien mieux et je touchais du bois mais a part qu'on avait pas retrouvé Denys, aucune mort n'était annoncée. Je touchais réellement du bois en l’occurrence le bureau du professeur sur lequel je déposais ma copie que j'espérais trs bonne. Je dévalais ensuite les marches devant la bâtiment et courrais dans les ruelles de la ville. je devais retrouver ma meilleure amie pour une balade avec ma filleule et elle, simple, histoire de se voir car c'était impossible pour nous de rester trop longtemps séparé. Tout avait changé en plus ; la dernière fois, j'étais une loque, je ne savais quoi faire de moi par rapport à ma fiancé et là, maintenant, j'étais avec Charlie, heureux. Le temps passait si vite. Je marchais à une allure plus que rapide quand je tombais sur un fleuriste parce que si j'avais bien entendu, on trouvait bizarre ma chère amie et vu les dires, ça ne prouvait rien de bon donc déjà une belle attention lui ferait surement du bien. J'achetais donc de belles roses rouges signe d'amour bien qu'il n'y es aucun quiproquo puis je reprenais ma marche vers la rive droite de la Charles River. Je vis alors la silhouette de mon amie poussant la poussette de sa fille d'un air ailleurs. Je ne voyais rien de bon là-dedans si bien que je grimaçais déjà. Je tentais de la rattraper ce qui ne fut pas dur vu son pas lent. Roxanna ... Elle se retourna vers moi en entendant son nom. Pas tant dans ses reves que ça ! Je fonçais dans ses bras préservant les fleurs d'un potentiel écrasement puis je reprenais après avoir déposé un baiser sur sa joue ; Comment vas-tu ma belle ? Tout en attendant sa réponse, que je voulais réellement le prouvant par mon regard presque assassin vers elle, je me penchais vers la poussette où dormait ma princesse a qui je donnais un petit baiser tout chaste.
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Surtout, ne pas perdre son sourire. Je m'entraînais presque toute seule à faire des sourires faux, maitrisés, dans le simple but de ne pas alerter mon meilleur ami. Il me connaissait, et s'il devinait à mon expression que tout allait mal, j'allais gâcher son euphorie du moment. Il était heureux, j'étais heureuse pour lui, point. Les yeux baissés sur la poussette et sur ma fille endormie dedans, je finis par entendre une voix plus que familière dans mon dos, qui me fit sortir de ma rêverie. Roxanna ... Je m'arrêtais presque instantanément, et me tournais, adressant un sourire doux à Emrys. J'ouvrais les bras directement, pour l'étreindre avec un demi sourire, qui s'agrandit - cette fois ci sincèrement - lorsqu'il embrassa ma joue. Comment vas-tu ma belle ? Je devinais à son regard lourd de trois tonne sur ma personne qu'il avait déjà des soupçons. Qu'est ce qui m'avait trahi? Je le regardais aller se pencher au dessus de sa filleule, l'embrassant doucement. Elle ne broncha presque pas, profondément assoupie.« Je vais bien, un peu fatiguée mais on y survit, c'est pas comme si j'avais pas eu l'habitude avec cette foutue épidémie. » Je n'avais pas beaucoup dormi dans cet hôpital pourri. Remontant la couverture que j'avais posée sur Aylin doucement, je me dirigeais vers le banc le plus proche, invitant Emrys à me suivre évidemment. « Et toi alors, comment vas tu ? » Détourner la conversation sur tout sauf moi, teeelle était ma méthode.
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Je la sentais si mal. Je la sentais si perdue et pourtant, elle tentait de ne pas me faire mal en jouant les femmes heureuses mais elle ne l'était pas et je maudissais ces bâtards de l'avoir fait souffrir. Autant étais-je un salopard mais j'avais toujours fait les choses bien je crois ne partant pas comme un voleur, je veux dire donc je ne tolérais pas ça. La mort, bien que je n'aimais pas l'autre gars là, il y était pour rien mais ce Demyan mais quel bâtard ! Je me sentais juste énervé pour elle et clairement, comment dire ... totalement fou de joie de ma nouvelle relation avec Charlie. J'avais peur qu'elle ne dure pas car l'adaptation était dure mais je profitais de l'instant présent. Elle me mentit encore. Je relevais mon regard vers mon ami, laissant la belle petite demoiselle profondément endormie tranquille puis je liais nos regards pour ne plus la laisser me mentir pourtant elle le faisait encore : .« Je vais bien, un peu fatiguée mais on y survit, c'est pas comme si j'avais pas eu l'habitude avec cette foutue épidémie. » Je grimaçais parce que j'imaginais son calvaire à elle aussi pendant l'épidémie mais ce qui me faisait mal, c'était de voir qu'elle voulait me ménager au lieu de me parler. Je me grattais nerveusement l'arrière de la tete en la regardant poursuivre la discussion ; « Et toi alors, comment vas tu ? » Elle m'avait fait la suivre jusqu'à un banc et je m'asseyais à ses cotés avant de me tourner de profil et de tenir les mains de mon amie. Je ne pouvais pas parler de moi alors que je savais pertinemment ce qui se déroulait de son coté. Elle avait été là pour moi alors je refusais d'etre absent, de ne pas forcer le barrage de ses sentiments profonds : Roxanna ... ça suffit maintenant ! Avais-je dit durement. Je fis de gros yeux tant j'étais étonné de ma soudaine hausse de voix qui montrait pourtant bien l'amour pour mon amie. Je serrais alors ses mains dans les miennes, capta son regard avant de reprendre gentiment cette fois : je veux que tu me parles, tu dois me parler et non, faire attention à conserver mon bonheur ... je sais tout Roxanna alors parle ...
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Toujours garder le sourire, en toute circonstance. Préserver le bonheur de mes proches. C'était mon crédo, et pourtant... Je devinais à l'expression embêtée d'Emrys que je ne parvenais pas à le duper avec ma fausse bonne humeur. Pourtant, je continuais, priant intérieurement pour qu'il finisse par y croire, pour qu'il ne me demande pas ce que j'ai... Je ne me sentais pas de lui expliquer qu'encore une fois, je m'étais trompée en faisant confiance à Demyan. Je l'invitais à me suivre jusqu'à un banc, puis, à peine assis à mes côtés, Emrys se tourna vers moi, attrapant mes deux mains. Je baissais les yeux sur celles ci, sourcils froncés, puis sursautais en l'entendant me dire d'une façon autoritaire Roxanna ... ça suffit maintenant ! Je levais les yeux vers Emrys, surprise de son ton, constatant que lui-même semblait surpris, jusqu'à ce qu'il reprenne, plus doux : je veux que tu me parles, tu dois me parler et non, faire attention à conserver mon bonheur ... je sais tout Roxanna alors parle ... "Je sais tout" ? J'arquais les sourcils, déglutissant. Alors comme ça, il savait déjà ce qui m'était arrivé? « Les nouvelles vont si vite que ça ...? » Demandais-je d'une voix faible, à demi étonnée cependant. Avec des torchons comme le blog de Cambridge's Secret, difficile de garder quoique ce soit secret de toutes façons. « Y a rien à dire Emrys.. J'ai juste encore accordé ma confiance à un homme, et foncé dans l'mur. » Je détournais les yeux vers ma fille, toujours dans la poussette à mes côtés, et finissais ma phrase, soupirant : « Je ne referais plus cette erreur. »
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Je gardais mes mains autour des siennes, ne voulant la lacher parce que je voulais pas qu'elle garde tout ça en elle pour préserver la joie en moi ; Non, je refusais irrévocablement. Je la regardais avec un regard plus que sincère et amicale voulant lui faire comprendre qu'elle pouvait tout me dire. Elle avait vécu trop de mauvaises choses en amour ces derniers mois, années je dirais meme alors je devais pouvoir l'aider, au moins, l'écouter. Elle débuta avec un étonnement certain, ne comprenant pas que la rumeur se soit répandue, qu'on parle et je lui répondais directement avec une voix douce : Malheureusement, oui ... mais j'ai cassé la gueule à la personne d'toute façon, j'ai dit ma façon de penser ! Elle avait l'air troublé de mon aveux et je ne pouvais que le comprendre ça. Je me sentais tellement mal pour elle ? Pourquoi ils s'occupent pas tous de leur putain d'affaires ? Je ne souriais pas, ou alors c'était un très timide sourire en coin. Je l'écoutais alors me confier qu'elle avait juste accordé trop vite sa confiance à un homme et je pus voir sa deception, sa tristesse dans ses yeux avant qu'elle détourne son regard de moi. Je serrais plus fort ses mains. Soupirant, elle termina par me dire : « Je ne referais plus cette erreur. » Je serrais les dents, traumatisé de voir mon amie si mal et si ... déçue. Je la voyais toute desespéré par les hommes et meme si je comprenais, ça m'énervait pour elle. Je levais ma main, la passant sur sa joue et tournant son visage vers moi pour affronter son regard une nouvelle fois : Tu n'as pas à t'en vouloir, tu n'y aie pour rien Rox ... pour rien, tu comprends ? Tu voulais accorder ta confiance, il a pas été digne mais tu ne dois pas dire que tu as commis une erreur ...
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Malheureusement, oui ... mais j'ai cassé la gueule à la personne d'toute façon, j'ai dit ma façon de penser ! A une certaine époque, j'aurais dit à Emrys que ça n'en valait pas la peine, mais là... Ben j'étais limite ravie de l'apprendre. J'en pouvais plus d'entendre sans cesse parler dans mon dos, ça m'exécrait à un point pas possible, encore que ce soit un ami, ça allait, normal qu'on communique; mais s'il s'agissait d'une personne que je ne connaissais pas, ou pire, que je n'appréciais pas... J'avais envie de meurtres. En m'entendant expliquer la situation, je sentis que je peinais Emrys, et ça m'agaçait... Voilà ce que je ne voulais pas, voilà pourquoi j'aurais du reporter notre sortie... le temps d'apprendre à parfaitement masquer mes émotions. Il serra d'avantage mes mains en m'entendant dire que je ne commettrais plus cette erreur deux fois. J'en avais fini de faire confiance aux sentiments et aux hommes. Alors que j'avais détourné le regard, Emrys prit l'initiative de lever une main pour la passer sous mon menton, et me forcer à le regarder de nouveau. Tu n'as pas à t'en vouloir, tu n'y aie pour rien Rox ... pour rien, tu comprends ? Tu voulais accorder ta confiance, il a pas été digne mais tu ne dois pas dire que tu as commis une erreur ... Je secouais la tête, contractant la mâchoire en l'entendant me dire ça. « Non mais tu comprends pas ... Avant qu'on se connaisse, j'étais intouchable, les sentiments je m'en tapais comme de l'an 40 ... C'est en laissant rentrer l'amour dans ma vie que j'me suis fait tout ce mal, elle est là mon erreur... » Mais c'était fini, j'allais redevenir la Roxanna du début, la Roxanna d'avant Jude, celle qui se jouait des hommes et se moquait des histoires de coeur... Tout ça, c'était fini pour moi. « Maintenant, j'ai bien prévu de m'amuser, et ce sans la moindre petite attache. » Finis-je par dire, le visage fermé à toute émotion. J'en avais fini de pleurer.
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Elle semblait vraiment dépité par cette vie qui pulvérise tout car le monde est cruel et je comprenais réellement. Elle s'en voulait d'avoir été conne et je comprenais mais je voulais pas la laisser penser ça parce que ouais, j'avais déjà mal de penser sans cesse cela de moi, d'etre un connard, elle c'était pas ça, c'est detre assez conne pour laisser l'amour entrer mais moi, c'était connard, batard, trop de chose alors qui de mieux que moi pour la comprendre. D'ailleurs, ça ne me choqua pas quand elle se mit à m'expliquer en soupirant : « Non mais tu comprends pas ... Avant qu'on se connaisse, j'étais intouchable, les sentiments je m'en tapais comme de l'an 40 ... C'est en laissant rentrer l'amour dans ma vie que j'me suis fait tout ce mal, elle est là mon erreur... » Je sentais l'émotion dans sa voie mais aussi, le fait qu'elle essayait de combattre ce mal en elle. Je grimaçais soupirant ensuite de tout ces malheurs qui ne cessaient réellement jamais. Quel truc de merde cette vie parfois avec les gens ! Je voulais tellement l'aider. Elle ne me laissa pas parler et se contenta de balancer qu'elle voulait en profiter, inconsciemment, je voulais ça aussi. Mais je pouvais pas parce que je ne sais meme plus pourquoi d'ailleurs ! dans ces paroles, on ne sentait plus rien comme si la Roxy émotive avait disparu. Je soupirais et me contentais de lui répondre avec tendresse : Je te comprends tellement ... je ne peux meme pas essayer de faire quoi que ce soit parce que ouais, parfois, je me reconnais pas dans ce que je suis là, Rox, et j'aimerais faire ce que tu entreprend ... Profiter sans attache ! Avais-je avoué en rougissant. Je m'en voulais de lui dire ça parce que j'avais la chance d'etre aimé, d'etre en couple mais je savais qu'elle ne m'en voudrait pas de dire cela, parce que Roxanna restait la personne qui comprenait toujours tout surtout chez moi et je l'appréciais pour cela meme si je n'étais pas daccord pour qu'elle m'accorde tout.
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