The girl next door

Jimmy adorait sa villa. Elle était gigantesque et il pouvait donc faire des grosses soirées. En plus, le jardin était tellement grand que les voisins étaient loin de lui. Mais ce que Jimmy adorait aussi dans sa villa, c'est le fait qu'elle soit située non loin de celle de Lia, une vieille connaissance. C'était très pratique, car depuis maintenant quelques temps, ils avaient une relation un peu plus intime. Le fait qu'elle habite à côté leur permettait donc de passer souvent chez l'autre pour s'adonner à leur passe temps favoris. Lia était l'une des femmes les plus sexy que Jim connaissait. Le fait qu'il puisse dominer son corps à de multiple reprises enchantait son esprit. Aujourd'hui, le canadien avait envie d'elle. Oui, ça lui arrivait ce genre de pulsions. En même temps, ça arrivait également souvent à Lia qui venait chez lui pour qu'ils couchent avant de repartir comme si de rien n'était. Il espérait qu'elle soit chez elle en ce début d'après-midi. Le jeune homme s'approcha donc de la villa de la belle brune puis sonna et attendit qu'elle lui ouvre. Il espérait qu'elle allait être motivée. En même temps, de souvenir ça ne lui était jamais arrivé de refuser une bonne partie de jambes en l'air avec lui.

Un autre de ces fameux jours à s'emmerder. Je travaillais sur mes croquis, et l'inspiration n'était pas là. Mais pas du tout. J'avais beau travailler près de la fenêtre pour avoir la vue sur la nature ; les arbres, les oiseaux, le jardin derrière, etc. Rien n'y faisait. Ma villa était peut-être l'une des plus belles ici, ça ne m'apportait pas inspiration. J'voulais créer, et je savais pas du tout quoi faire, en fait. Pourtant, le destin faisait toujours bien les choses : deux heures et demie après être restée sur cette chaise face à la fenêtre à tenter de contrer ce manque d'inspiration, quelqu'un toqua à la porte. Je souris. Bien évidemment, c'était Jimmy. Rares étaient les personnes qui venaient chez elle sans prévenir. Jim, c'était mon voisin et une vieille connaissance : il était le fils de l'amie à ma mère. Les deux femmes avaient longtemps travaillé «ensemble» et bien sûr j'avais rencontré le fils. En grandissant et en devenant adulte, lorsque j'avais déménagé dans ma villa près de la sienne, notre relation s'était transformée agréablement. Des bonnes parties de jambes en l'air dès qu'un ou l'autre en avait besoin. J'ouvris la porte et je tombai sur son visage. « Mon chou. T'avais envie d'me voir? » J'le laissai entrer, sans même avoir à le lui dire il avait compris. [color:dede=ef1ee9]« Justement, l'inspiration qui me manquait. Ça va? », dis-je à son intention.