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E. JORDAN-R. AL-NASR ► sandrah hellberg

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C'est le 07/07/1995 à Tokyo, au Japon, que les membres de la famille Al-Nasr ont accueilli ce petit bébé frêle que j'étais dans leurs bras. Ils m'ont d'ailleurs prénommée Eileen Jordan-Roween, une série de prénoms étranges dont j'utilise le deuxième. Je suis célibataire depuis toujours et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. D'ailleurs, sans être homophobe, je ne peux m'empêcher d'être gênée en présence d'un couple du même sexe. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine en majeur et de danse en mineur depuis cette année et travaille en parallèle de mes études en tant que danseuse lors des événements promotionnels d'une entreprise japonaise. Je n'en ai pas besoin mais j'ai envie d'avoir l'impression d'être une étudiante tout-à-fait normale. Et pour terminer, je voudrais intégrer la Lowell House ou la Cabot House.
E. Jordan-R. Al-Nasr

Looks alot like Sandrah Hellberg

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Lemon et j'ai quatorze ans. Je suis franco-marocaine et j'ai connu le forum grâce à mon futur mari Google. J'ai trouvé ce forum très beau, bien construit et l'ambiance avait l'air sympa alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sandrah Hellberg comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par mischievous wink. Je fais environ 100 à 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je suis un cookie aux pépites de chocolat mangé par un mouton multicolore.
Je souhaite
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Lors de l'explosion je n'étais pas encore entrée à Harvard, cependant je suis aussi touchée que ceux qui l'ont vécu. Mes blessures ne sont en rien physiques, cependant j'y ai perdu ma grande soeur, qui vivait sa dernière année à l'université. A sa disparition elle m'a laissé ses responsabilités d'aînée, mais ce n'est pas ce qui me touche le plus. Plus jamais je ne pourrais m'endormir sans faire un cauchemar en voyant le corps brûlé de ma soeur à l'hôpital, caché par une couverture, dans une pièce claire sentant le désinfectant. Plus jamais je ne pourrais parler de ma famille sans penser à cette bombe qui a détruit la vie de quelqu'un de si important à mes yeux. Plus jamais je ne pourrais regarder mon brave berger allemand sans penser à ma soeur jouant avec lui, souriant de ce sourire que je ne verrais plus jamais sur son visage. Aurais-je droit un jour à cette vengeance dont je rêve tant ?

LOWELL HOUSE.
On l'aura tous remarqué, je fais des études de médecine. Pas très artistique avouons-le. Enfin, en mettant de côté l'art de sauver des vies. Et puis certains dirons que même si j'étudie la danse, ce n'est qu'en mineur. Mais pour en savoir plus sur moi, il faut en savoir plus sur mon art. Et sincèrement, devenir médecin, plus précisément pédiatre d'ailleurs, ce n'est pas mon rêve, mais celui de mon père, obnubilé par son désir que je réussisse, car après tout, je ne fais pas partie de n'importe quelle famille. Il y a bien une chose qu'il n'a pas su m'enlever, mon art. A ce que je sache, depuis toute enfant déjà, je chantais à tue tête avec ma grande soeur, et effectuait une chorégraphie d'origine japonaise à ses côtés. Petit à petit avec le temps, j'ai cessé de chanter, simplement parce que j'avais peur, j'avais peur de ce qu'on puisse me dire, mais ma dance, ma dance à moi, je l'ai toujours pratiquée. Lorsque je danse, que je sens mon corps lutter contre la transpiration comme toute japonaise le doit, que je sens le sol ferme contre mes pieds, que je sens mes muscles bouger, je me sens bien, à ma place, comme si j'avais raison d'être là, et que rien ne m'en empêcherait. La danse n'est pourtant pas la seule chose dans ma vie. J'ai compensé ma peur de chanter par le dessin. Plus précisément le manga. Le manga est sûr, on ne peut pas se planter, on a juste à dessiner, dans le calme, à exposer une histoire sur du papier. Il est fréquent de faire cela au Japon, mais pas à Cambridge, où je me sens un peu perdue. J'évite alors d'exposer mes oeuvres du style manga, préférant montrer des dessins plus centrés sur les vêtements, pour que l'on ne m'assaille pas de questions. Je n'aime pas trop les questions. Mais c'est pour toutes ces choses, toutes ces choses si petites et d'autres si importantes, que je pense que je trouverais ma place à la Lowell House.

CABOT HOUSE.
Si jamais pour je ne sais quelle raison la Lowell House m'était refusée, la seule maison devant la quelle je pourrais me tourner serait la Cabot House. Aux premiers abords, je n'ai pas l'air d'être la fille la plus féminine du monde, et pourtant cela ne fait pas de doute, je le suis. Je ne suis pas un pot de peinture, j'ai même un peu de mal avec le maquillage, je ne suis pas une barbie ambulante et je n'ai jamais attendu telle une hystérique devant un magasin avant le début des soldes. Enfin, ma féminité si marquée est quelque peu étrange, du fait de son origine franco-japonaise. Ce n'est pas très précis n'est-ce pas ? Alors disons que je suis plutôt féminine à la façon des françaises, mais à la façon des japonaises également. Pas à la façon des marocaines cependant, cette origine-ci ne me rappelant pas spécialement de bons souvenirs. Je m'égare trop, abrégeons. J'ai l'esprit très sororal, parfois même trop selon ce qu'on a pu me dire. Il n'y a qu'à voir ce que j'ai sorti de mon armoire lorsque j'ai appris que ma soeur avait été trompée par son petit ami alors qu'elle espérait recevoir une bague de fiançailles de sa part... Grande soeur... Oui, ma grande soeur m'a appris ce genre de choses. Je pourrais également ajouter que mon épaule a été le réconfort de bien des amies, si bien qu'elle pourrait être humidifiée à vie, à ce stade. Je n'ai aucune expérience dès qu'il s'agit de garçons, mais je me saurais d'une fidélité irréprochable si un jour je venais à en avoir un, et même si mon célibat ne me pèse en rien, il m'arrive de temps en temps de rêver de celui qu'il me faut, et je sais que lorsqu'il arrivera je me battrais de toutes mes forces pour lui, car même si j'ai l'air aux premiers abords pacifiste, je peux me montrer extrêmement violente et déterminée dès lors que je tiens à obtenir quelque chose.
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Mon existence n'est pas très intéressante, personne ne s'y est jamais intéressé et ne s'y intéressera sans doute jamais. Je suis née dans un pays peuplé de gens qui ne me ressemblent pas, appelé le Japon. Pourtant ma peau n'est pas claire, mes yeux ne sont pas bridés, mes cheveux ne sont pas lisses et parfaits. Cela peut parfois être difficile d'être la seule occidentale dans une classe d'asiatiques, on fait semblant, on se ment, mais dès qu'on tourne le dos, des centaines de regards se braquent sur ces cheveux si étranges, ce nez si étrange, ces yeux si étranges. A leurs yeux, j'ai toujours été étrange, une forme de vie presque inconnue, et même si je n'étais pas la seule, je me suis toujours demandée pourquoi je ne pouvais pas simplement être japonaise. Avoir les cheveux noirs et raides, les yeux marron foncé et bridés, la peau délicate, le visage fin. Lorsque l'on vit au Japon, on est laid. Notre corps aux traits bruts fait tâche devant cette armée de perfection. J'ai toujours été laide, depuis que je suis née. Si seulement. Si seulement j'étais japonaise. On peut parler mieux japonais que les japonais eux-mêmes, on peut connaître les traditions japonaises mieux qu'eux, cela ne changera jamais rien, je le sais très bien. Bien qu'ils soient plus petits que moi, ces personnes aux yeux bridés me regarderont toujours de haut car pour eux, je ne serais jamais japonaise, juste une étrangère tentant de voler leur culture. Ce genre de chose, je n'y ai jamais fait attention. J'ai toujours été une fille réservée, et face à ces regards scrutateurs, je suis allée jusqu'à devenir méfiante. Déjà petite, je n'aimais pas la compagnie. Je n'avais pas d'amis. Même si j'avais essayé, sans doute mes efforts se seraient soldés d'un échec. Je le sais bien. Une âme sympathique un jour, tenta de m'approcher, mais on ne peut pas savoir à quel point les enfants sont méchants. A peine vis-je un point de lumière apparaître dans mon tunnel sombre que des coups de pieds et de mains m'assaillirent, moi qui n'avait rien fait. Tout enfant a besoin d'un bouc émissaire. Depuis loin que je m'en souvienne, je l'ai toujours été. C'est plus facile de s'attaquer à quelqu'un qui ne nous ressemble pas, on se rassure plus facilement, on se dit que c'est normal. Moi aussi je me suis dit que c'était normal. C'était normal que l'on me regarde de haut, qu'on me mette à l'écart, qu'on me fusille du regard. Après tout, je n'étais que moi.

Un jour, mon jeune corps frêle d'enfant de huit ans finit attaché à une cage de football, les vêtements abîmés, déchirés, les cheveux détachés. Je m'en souviens encore, mieux que jamais. J'avais pleuré, j'avais pleuré durant des heures, tandis que des gosses de maternelle me regardaient en riant. Mes larmes coulaient, mais je ne les suppliais pas, je m'interdisais de les supplier. Ils n'en étaient pas dignes, sans doute n'essaieraient-ils même pas de m'aider. Ce ne fut que tard que je pus enfin m'échapper de ma prison, les vêtements en lambeaux, les yeux rouges d'avoir pleuré. A peine pus-je passer le seuil de la porte de notre maison que ma soeur, ma chère grande soeur, Hazel, de neuf ans mon aînée, accourut à ma rencontre pour me prendre dans ses bras. Elle pleurait encore plus que moi, ses cheveux mouillés par ses larmes m'humidifiaient un peu plus les joues. Elle n'eut pas même besoin de contempler mon corps abîmé pour comprendre. Cependant elle ne fit rien, elle ne dit rien, elle se contenta de pleurer. Elle avait compris. Je n'avais pas l'intention de leur laisser la satisfaction de me plaindre. Je n'avais que huit ans mais déjà là je n'aspirais qu'à garder ma dignité. Après tout on me l'avait enseigné ainsi. Mes parents ne parurent même pas remarquer mon retard, pas même mes vêtements déchirés. Ils se fichaient de moi, ne se préoccupaient que de Hazel, ma Hazel si parfaite, elle qui était le seul espoir de ma famille. Car il y a une chose que je n'ai pas dite sur ma famille. Bien que mes parents aient des origines françaises, ils sont avant tout marocains. Et le frère de mon père doit bien être l'une des personnes les plus importantes de ce pays puisqu'il est le président de leur compagnie la plus influente. Dirigeant d'une grande partie des domaines commerciaux du Maroc jusqu'à en être le dirigeant politique le plus important, travaillant dans l'ombre, cet homme vieux et barbu, qui jamais ne m'a sourit, je ne l'ai jamais aimé, et il ne m'a jamais aimée. Alors même que mon père m'avait obligée à lui annoncer, armée d'un faux sourire, que j'avais pour ambition de prendre des cours de danse, pour le simple bonheur de le mettre au courant de ma vie me disait-on, il m'avait rit au nez, m'avait dit que cela ne servirait à rien, qu'il valait mieux que je devienne médecin. Pédiatre, cela me rapportait même plus. J'ai toujours détesté aller au Maroc pour voir cet oncle que je hais tant, qui n'a jamais cru en moi. Alors déjà que je faisais face à des problèmes de haute envergure au Japon, je me voyais obligée de me démener pour lui faire plaisir. Si je n'avais pas fait danse, sans doute aurais-je tout lâché, sans doute aurais-je fait boire de force à sa femme une centaine de produits de fertilité pour qu'ils aient des enfants et nous laissent enfin tranquilles. Il m'arrivait de préférer cette cage de football à cet homme sans coeur.

Mon oncle ne prenait des nouvelles de notre famille que parce qu'il n'avait pas d'enfants, et que ma soeur était ainsi une potentielle héritière. Après tout, cette compagnie était importante, il fallait bien lui donner un nouveau chef, de préférence de sang familial. Après tout, les Al-Nasr sont la fierté de cette compagnie. Gloire, c'est ce que ce nom veut dire, et seul un porteur de la gloire peut continuer à faire prospérer la vieille et importante compagnie du Maroc. Heureusement, elle assumait ce poids bien mieux que moi, qui ne voulait même pas entendre parler de cet homme abject. Je pouvais danser aussi bien que je le voulais dans le seul but de le faire sourire, qu'il me critiquait de part et d'autre. Je pouvais lui montrer mes plus beaux dessins, qu'il disait que le manga était une insulte à la création de Dieu. J'ai toujours été une fille gentille, compréhensive, mais encore aujourd'hui je ne peux m'empêcher d'imaginer son visage tordu de douleur, allongé sur son lit de mort. Si seulement. Si seulement pouvait-il ne pas être dans ma vie. Pourquoi cette vie que je mène est-elle tant peuplée de si seulement ? Hazel, elle, réussissait bien sa vie. Alors qu'elle était entrée à Harvard, je me retrouvais seule, à danser pour oublier mes problèmes, à dessiner pour raconter mon histoire. La seule chose que je réussissais bien au Japon, c'était danser. Dessiner, tout le monde le faisait bien aussi, mais danser, je le faisais mieux que quiconque. Je faisais même partie de clubs. Celui de lecture, de musique et de danse. L'un pour le silence, l'autre pour la détente, le dernier pour ma passion. Je n'y avais pas d'amis, j'étais juste quelqu'un, mais j'étais respectée telle une personne. Une vraie personne. Pas juste une étrangère. Je ne me sentais plus autant comme un échec ambulant, je pouvais rire, de temps en temps, sourire. Je n'ai pas eu une enfance si dure que ça. Après tout, lorsque mon point de ralliement au monde est parti dans une glorieuse université, j'ai pu compter sur un autre. La danse. J'ai même eu une vie plutôt agréable pendant plusieurs années. Sachant que Hazel faisait ses preuves à Harvard, mon oncle n'avait plus besoin de faire mine de s'intéresser à nous. Et moi, je pouvais profiter des beautés du Japon, effectuer la cérémonie du thé comme une japonaise normale, parler parfaitement japonais sans que l'on ne me dévisage, rire de ce rire que je n'avais plus entendu durant si longtemps. Ce changement, je ne me le suis jamais expliqué. Peut-être une vague de respect abattue tardivement sur la plage que je suis, provoquée par cette danse que je peux pratiquer librement. Au Japon, on respecte une occidentale lorsqu'elle danse aussi bien que les japonaises des danses traditionnelles devant le temple de l'amour. C'est ce que j'avais fait, pour bénir l'amour de ma soeur et de son petit ami. Bien que leur histoire n'ait pas marché, après une trahison de... David ? Richards ? Dylan ? Avait-ce une importance ? Simplement, dans ce flot de paroles insensées, je veux juste dire que j'étais enfin heureuse.

Et puis un coup de téléphone, des cris à la télévision, des larmes silencieuses, des airs faussement désolés, cela avait suffit à détruire ma vie. Alors que je pouvais enfin avoir l'air normale, le tracé de ma vie avait été coupé court par une bombe, une bombe qui avait décidé de survenir telle une traîtresse, sans doute dans le seul but de me faire souffrir, pour me voler ma soeur, cette chère soeur que j'aime tant. J'ai mis du temps à me rendre compte que plus jamais je ne pourrais voir son sourire taquin, sa façon de m'ébouriffer les cheveux avant de me prendre dans ses bras, son rire cristallin, son air protecteur. Notre chien, Duke, que l'on avait acheté ensemble alors que j'étais un peu plus jeune, avait compris lui aussi, car durant une semaine entière, il resta dans le jardin, sans bouger, sans même apporter le journal devant notre porte comme à son habitude. Il ne songea pas même à s'abriter alors que durant plusieurs jours la pluie s'abattait sur son doux pelage, collant ses longs poils à son corps musclés, tout en dégageant une odeur répugnante. Une longue, une interminable semaine, jusqu'à ce qu'il semble décider qu'il était temps de me réconforter, moi qui souffrait autant que lui, sinon plus. Le berger allemand est le chien le plus fidèle du monde, je l'ai toujours su. Peut-être est-ce pour cette raison que je l'ai pris à mes côtés. Parce qu'inconsciemment, j'ai deviné qu'une chose terrible arriverait et que j'aurais besoin de lui. Ce fut lui et mon art qui m'aidèrent à supporter ce temps long, et alors que je m'apprêtais, la mort dans l'âme, à aller à Harvard, cette même école qui avait vu ma soeur mourir, je me rendis compte que j'étais l'une des dernières cartes à jouer de mon oncle. La compagnie, que j'avais crue oubliée, revenait à la charge après avoir perdu une prétendante, pour en voler une autre. Pourquoi donc le destin s'acharne-t-il sur moi ?
The End
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Oh My God, vous faites peur XD. On peut dire que c'est du rapide. Sinon merciii E. JORDAN-R. AL-NASR ► sandrah hellberg 2659158125.
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E. JORDAN-R. AL-NASR ► sandrah hellberg 4205929361

Pardon.. Bienvenue ! E. JORDAN-R. AL-NASR ► sandrah hellberg 3850463188 hanwii
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BIENVENUE PARMI NOUS  hanwii :loukas: 
Ton avatar  E. JORDAN-R. AL-NASR ► sandrah hellberg 3850463188 
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Bienvenue parmi nous  hanwii 
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