le destin fait bien les choses pv JOAN :)

Les événements de ses derniers temps m’encombraient l’esprit. J’avais du mal à réfléchir et à me concentrer sur mes études. La fatigue n’arrangeait rien. Mes nuits étaient mouvementés, Sam arrivait parfois à les apaiser. Il était pourtant tant pour moi d’aller de l’avant. Il fallait que je retourne en cour. Sécher ne faisait pas partie de mes habitudes. Mes problèmes me dépassaient. J’avais envie de m’évader. Aidan n’était plus là pour le faire. En parlant du Lowell depuis l’autre jour. Il était resté discret et distant. Sa présence à mes cotées me manquait. Ma mère devenait trop présente. Quelque chose n’allait pas. Je me méfiais de cette femme tout comme mon père. Aujourd’hui, j’avais préféré marché. Le vélo était resté chez les cabots. Je prenais mon temps, l’air était frais. Je ne faisais pas vraiment attention au monde qui m’entourait avant qu’une demoiselle me pousse brusquement. Par pur réflexe je fis : « HEEEEEEE ca va là ? T’as pas l’impression d’aller un peu vite ! » dis-je méchamment avant de relever mon regard. Joan ! La meilleure amie d’Aidan. Je me mis à rire : « Et bien ça faisait longtemps » dis-je en levant les yeux au ciel.

Mes relations étaient complexes. Rares étaient les personnes qui avaient accès à ma véritable personnalité. Je ne cherchais pas à être aimée ou même appréciée. Joan faisait partie de celle que je ne supportais pas. Nous ne nous apprécions pas. Les raisons ? Je ne sais pas vraiment pour être franche avec vous. Je soupçonnais qu’elle n’aime pas la relation que j’avais avec Aidan. Une relation complexe, je l’avoue mais purement amicale. Enfin, c’Est-ce que je me répète à dire. « Oh oui trop longtemps ! Comment vas-tu ? » mes yeux roulèrent sur le cotée. Elle semblait ne pas apprécier ma présence. Dommage. Je n’étais pas le genre de fille à fuir. J’affichais un beau sourire niais et lui répondit : « Tu m’étonnes… Supeeeeeeer bien enfin sa allait bien mieux il y a deux minutes de cela mais s’est pas grave. Et toi alors ? » Joan était une jolie fille, je ne pouvais pas le nier. En bonne vipère, je lui fis : « Alooooooors à ce qu’il parrait la Quincy fait les beaux yeux à Cody ? » j’avais mes sources après tout j’étais une curieuse et une fouteuse de merde. La seule chose que je voulais, iriser les poils de cette jolie Lindley.