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▲ Un Doux vent de sentiment. Feat Dixie.

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Un Doux vent de sentiment.


La Saint Valentin. Une fête qui ne signifiait rien en général pour le jeune homme qui en ce jour, préférait offrir un bouquet de rose à sa soeur ainsi qu'à sa mère plutôt qu'à sa propre petite amie. Ce n'était rien d'autre qu'une fête commerciale, servant à l'homme en question de se ruiner pour soit disant affirmer son amour pour la belle jeune femme en question. Foutaise. Et il le pensait toujours. Mais cette fois-ci autrement. Il avait cette envie de pouvoir en profiter avec une personne qui en ce moment même lui faisait ressentir de drôle de sentiment. Ce n'était pas de l'amour. Du moins, c'est ce qu'il se répétait pour se convaincre lui-même. Charlie n'avait pas envie de revivre le schéma de sa relation précédente où il avait finit cocu. C'est donc après avoir envoyé plusieurs messages à Dixie, en lui précisant de mettre un maillot de bain, qu'il lui avait donné rendez vous chez les Winthrop, dans sa chambre. Un bain moussant, suivant de quelques pétales de rose rouge, l'attendait. Romantique ? Peut être un peu. Mais pour une fois, il avait suivit ses envies. La pièce était donc plongé dans l'obscurité, et seul quelques bougies arrivaient à vaincre l'obscurité. Heureusement qu'elle ne voyait rien, sinon, il aurait certainement du justifier l'ambiance et sur le coup, il n'en avait pas envie. De plus, quelques amuses bouches étaient présent afin de s'amuser au cours de la soirée. Le jeune Wicox avait remarqué que dans ses sms, il arrivait à être plus franc, plus dragueur que dans la réalité, et cela l'agaçait. Dixie devait le sentir, qu'il était gêné face à son handicape. C'est donc pour cette raison qu'il avait choisir l'obscurité, au moins, il pouvait se rapprocher de son handicape. Charlie s'était donc préparé avec minutie malgré que ce rendez-vous n'était pour lui que.. rendez vous ? Il arqua un sourcil en secouant sa tête de gauche à droit en pestant contre lui. Ce n'était qu'une fille comme les autres, non ? Alors pourquoi fallait-il que cela passe pour un rendez vous ? Bonne question.
Enfilant un boxer qui ferait l'affaire pour prendre un bain, il ne mit qu'une simple chemise ainsi qu'un pantalon qu'il allait surement vite retirer vu le contexte. Le jeune Wilcox attendait donc à présent, après avoir envoyé l'heure du rendez vous, il s'asseya sur son lit en appréhendant la rencontre. Elle avait cette manière de lire en lui, qui lui donnait la frousse, bien plus qu'une fille avec tous ses sens de valide. C'était surement pour cette raison qu'elle l'intriguait, au point de se faire inviter à la saint valentin, alors que le mec en question, n'aime absolument pas cette fête stupide. Pensant un instant à sa famille, il vérifia rapidement son téléphone afin de savoir si oui ou non, les bouquets qu'il avait commandé en France était bien arrivé à son port. Deux bouquets qui à cause de l’éloignement, lui avait coûté la peau du cul. Il soupira alors tandis que ses yeux se fermèrent, du moins, jusqu'à ce qu'il entende quelques toquement provenant de sa porte. Ré-ouvrant les yeux, son coeur commença à s'emballer, en ce demandant comment il allait s'y prendre pour la séduire. Il se calma un moment, avant de marcher près de la porte afin de l'ouvrir.


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Dixie & Charlie.


14 février. Une date mémorablement importante. Du moins, pour les couples et futurs couples. Dixie n’avait jamais eu l’occasion de passer cette journée en de bonne compagnie, autrefois. Elle s’était toujours caché la vérité à elle-même : être seule à la St-Valentin était toujours un peu triste et déprimant. N’ayant jamais vraiment eu de chance en amour, elle n’avait pu que passer les années précédentes à manger des chocolats, collée à un ours en peluche devant des films romantiques. Cliché, mais vrai. Bien que cela lui ait toujours fait l’effet d’un pincement au cœur, la Mather trouvait que la St-Valentin était tout de même une «fête» assez inutile. Pourquoi? Parce que si un couple était amoureux, celui-ci devait prouver son amour tous les jours. Pas seulement un jour spécifique. Et c’était bien ce qui la dégoûtait de ce jour de l’amour.
Bref, depuis quelques temps, la St-Valentin avait le don de l’intriguer. Tout simplement parce qu’elle et Charlie, ce garçon qu’elle avait rencontré par hasard lors d’une soirée où elle se serait presque fait violer sans son aide, puis qu’elle avait rencontré de nouveau alors qu’elle était dans la salle d’arts plastiques, se parlaient depuis quelques temps par SMS, et par téléphone, et qu’il l’avait invitée à venir passer la soirée chez lui. Surtout qu’il lui avait bien recommandé de mettre un costume de bain. Quoi? Pourquoi? Que lui réservait-il? Elle avait peut-être une toute petite idée, puisqu’ils se draguaient quand même assez ouvertement par SMS et qu’ils avaient un peu insisté sur le fait qu’elle devrait lui réserver, un de ces jours, une place dans son bain. Eh bien ce soir, c’est peut-être elle qui aurait une place privilégiée dans le sien, qui sait? Elle enfila donc un maillot de bain, plutôt un bikini, blanc avec quelques motifs, et quand même assez sexy d’ailleurs. Bah quoi? Elle voulait réussir à attirer son attention, à le rendre un peu dingue quoi… Une fille s’essaye toujours, n’est-ce pas? ([url=http://img.pandawhale.com/66818-Nina-Agdal-dat-gap-hot-bikini-HCj3.jpeg]ici[/i]) Ce qui l’enrageait le plus, c’est qu’elle, elle ne pouvait pas le voir. Et depuis qu’elle l’avait rencontré, c’est comme si le fait de ne plus rien voir autre que seulement des formes l’enrageait toujours de plus en plus. Une rage intérieure qu’elle tentait de dissimuler le plus possible.
Assez stressée tout de même, elle tentait de se calmer en pensant à ce qu’il avait bien pu préparer. Elle, dans son cas, avait pensé à certaines choses à lui offrir. Mais elle avait un peu peur de sa réaction. Peur de sa réaction parce qu’elle, la belle Mather, était aveugle et malgré tout l’intérêt que le jeune homme pouvait lui porter, elle sentait la légère résistance qu’il éprouvait face à elle. Elle comprenait, mais ça la blessait un peu, d’un autre côté. Bref, elle avait quand même pensé à certaines choses pour la soirée, qu’elle ne manquerait pas de mettre à exécution selon le contexte de la soirée. C’est sur ces pensées et cette légère appréhension qu’elle arriva devant la porte de sa chambre à la Winthrop House, vêtue de son maillot de bain, celui-ci dissimulé sous un long manteau qu’elle n’enlèverait pas tant que lui il ne le lui demanderait pas. Elle toqua deux coups, puis attendit, en déposant, à côté de sa porte, dans le couloir, la canne qui lui servait de guide. Elle préférait ne pas entrer avec. Ses joues étaient devenues rouges sans qu’elle ne s’en rende compte, puis entendit la porte devant elle s’ouvrir, après ce qui lui semblait être une éternité. Dixie sentit la présence du jeune homme devant elle. Après un instant, elle fit quelques pas afin de pénétrer à l’intérieur de sa chambre. Sans un mot, elle pivota la tête de gauche à droite, bien qu’elle ne puisse rien voir. Elle sourit de plus belle en se rendant compte – oui, elle en était capable – de l’ambiance qui régnait autour d’elle. D’eux. Dans un murmure, elle souffla : « Ça sent… ça sent le romantisme. » Elle pivota de nouveau sa tête vers Charlie, et la pencha légèrement sur le côté en l’observant sans vraiment le voir. Ce qu’elle aurait aimé le voir en cet instant… et voir la chambre, aussi, qui sentait étrangement bon. « Ça va bien ce soir, beau gosse…? » Elle aimait bien l’appeler ainsi. De un parce que c’était pour le taquiner. Et de deux, parce qu’elle avait la certitude que c’était vrai.
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Ouvrant enfin la porte, il découvrit la belle brune, -délicieuse comme toujours- dans un manteau assez long pour lui arriver au dessus du genoux. D'ailleurs, en laissant son regard divagué jusqu'à ceux-ci, il remarqua ses longues jambes, nues, lui permettant d'imaginer toutes sortes de scénarios possible. Avait-elle décidé de venir nue finalement ? Un frisson lui parcouru l'échine sans crier garde. Il était clair, qu'elle lui plaisait. C’était indéniable. Se re-concentrant sur son visage lumineux, il l'a laissa rentrer dans sa chambre. Tout était parfaitement rangé pour une fois.. Ou plutôt en bazar dans son placard afin que tout soit parfait. Refermant la porte derrière elle, il la regardait par la suite tourner sa tête de gauche à droite, comme si elle pouvait voir l'apparence de sa chambre. Alors qu'il allait engagé la conversation, la jolie jeune femme le dit d'elle même. « Ça sent… ça sent le romantisme. » Il écarquilla les yeux, en cherchant une réponse. Comment allait-il pu expliquer cet air de romantisme qu'il avait amener dans sa salle de bain, afin de la séduire  « C'est la Saint Valentin. Et puis, ça ne fais jamais de mal. » Finit-il par dire en se rendant compte de sa stupidité à ce sujet. Ce n'était pas vraiment une réponse, mais c'était la sienne. Plongeant ses mains dans ses poches de jean, légèrement nerveux, il la regarda peu à peu se retourner dans sa direction, apercevant enfin ses grands yeux verts. « Ça va bien ce soir, beau gosse…? » Il esquissa un sourire à l'entente de cette phrase. « Je me porte plutôt bien, mais je le serai encore plus quand tu verra ou plutôt sentira ta surprise.. Donne moi tes mains Dixie. Et laisse-moi te guider.. » Ajouta-t-il en finissant par murmurer peu à peu, comme si cela devait rester entre eux. Une fois ses mains douces entres les siennes, Charlie la guida doucement jusqu'à sa salle de bain. « Je te montre ta surprise.. » A cet instant, il lâcha l'une de ses mains pour se concentrer sur son autre main en la baissant légèrement afin qu'elle sente l'eau chaude du bain, ainsi que sa mousse. « Surprise Dix'. J'espère que tu as bien prévue le maillot de bain, comme on se l'était dit. Parce que nue.. C'est pas que ça me dérange, mais.. Je vais m'taire. » Finit-il par dire en riant légèrement afin de ne pas s'enfoncer tout seul. L'obscurité avec ses bougies, qui réchauffait la pièce, donnait bel et bien cet air noeud-noeud de saint valentin. Mais Charlie se mentait toujours à lui même bien que cela ressemble réellement à un rendez vous, et qui plus est, romantique. Portant ses mains à sa chemise en jean qu'il s'apprêtait à déboutonner, il eut soudain une idée qui pourrait les rapprocher un peu plus. Une idée qui l'excitait un peu trop à son goût, mais qu'il voulait faire tout de même. Gardant l'une de ses mains dans la sienne, il la posa sur son buste. « Déshabille-moi. Puisse que tu ne peux pas me voir, tu pourra t'imaginer comment je suis, ainsi. » Charlie ne savait pas du tout, comment la jeune femme allait répliquer à ses propos plutôt osé alors qu'il ne se connaissait seulement depuis quelques semaines. C'était rapide, mais il se servait cette fois-ci de son handicape, pour assouvir sa curiosité si vive à son sujet. Dixie était un véritable mystère pour lui.    

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Dixie & Charlie.


Une fois la porte ouverte, Dixie ne pouvait qu’imaginer le regard que portait Charlie sur elle. Semblait-il attiré? Au mieux, excité, au pire, dégoûté. Mais il ne semblait pas dégoûté. Le Winthrop restait discret, et silencieux, mais n’avait pas l’air de la trouver peu attirante. Bon point pour elle. La Mather ne put s’empêcher de tenter de discerner quoi que ce soit dans la pièce où elle se trouvait. Malheureusement, elle n’arrivait à rien voir. Elle sentait. Elle ne voyait rien. En se mordillant la lèvre inférieure, elle porta son regard aveugle sur Charlie.   « C'est la Saint Valentin. Et puis, ça ne fais jamais de mal. » Dixie hocha la tête avec un léger sourire accroché à ses lèvres. Une pensée inutile, mais qui en ce moment semblait très importante, lui traversa l’esprit : Charlie trouvait-il qu’elle sentait bon? La goutte de parfum qu’elle avait mis à son cou avant de venir ici était-elle de trop? Bah quoi, elle était stressée à la seule idée qu’il puisse la trouver dégoûtante ou banale… Elle aimerait bien se sentir spéciale aux yeux de quelqu’un pour une fois. Et aux yeux de Charlie, ça semblait vraiment…agréable. « Tu t’es plutôt bien débrouillé pour reproduire l’odeur de la Saint-Valentin, c’est vrai. », dit-elle en réponse à son commentaire précédent. Dixie posa une question toute simple au jeune homme. Comment allait-il? Ce qui la fit sourire, et émettre un léger rire en plus, c’est qu’elle avait posé cette question en sachant pertinemment qu’il était stressé. Pas difficile à percevoir. Jamais elle ne saurait vraiment expliquer comment et pourquoi elle arrivait à discerner tous ces petits détails qu’elle ignorait ou ne ressentait pas auparavant, mais c’était tellement bien comme ça. Il était nerveux, plus qu’elle ne pouvait l’être elle-même d’ailleurs. « Je me porte plutôt bien, mais je le serai encore plus quand tu verra ou plutôt sentira ta surprise.. Donne moi tes mains Dixie. Et laisse-moi te guider.. » À ses mots, la belle brune haussa un sourcil. Que lui avait-il préparé comme surprise? Elle était toute excitée de découvrir ce qu’il avait bien pu faire avant son arrivée, quoi qu’un peu nerveuse aussi. Elle se laissa guider, bien évidemment. Sentir le contact du jeune homme contre elle, bien que ce ne soit que les mains, la fit légèrement frissonner. Elle le suivait, sans parler, attendant de voir, de sentir.. Elle n’eut pas à attendre bien longtemps. Charlie tira doucement sa main vers le bas, vers le sol, jusqu’à ce qu’elle atteigne de l’eau. Une eau chaude, où se trouvait de la mousse. « Surprise Dix'. J'espère que tu as bien prévue le maillot de bain, comme on se l'était dit. Parce que nue.. C'est pas que ça me dérange, mais.. Je vais m'taire. » Un sourire lui échappa d’entre les lèvres. Un rire doux, cristallin, et sincère. Elle répondit dans un souffle, un murmure cherché pour être légèrement…invitant, et sexy. « Pour savoir, faudra que tu cherches sous le manteau…» Dixie lui fit un clin d’œil immédiatement après en se mordant la lèvre inférieure. Qu’est-ce qu’elle aimerait avoir ses yeux présentement. Merde. Respire Dixie. Sent. C’est ce qu’elle fit. Charlie avait préparé quelque chose de merveilleux. Et c’est pour elle qu’il l’avait préparé. Du moins, pour ce soir. Fallait profiter du moment présent, parce que ça pouvait se défiler bien assez vite. Justement, bien vite, le jeune homme l’attira un peu plus vers lui en déposant l’une de ses mains sur son buste. « Déshabille-moi. Puisse que tu ne peux pas me voir, tu pourra t'imaginer comment je suis, ainsi. » De nouveau, la jolie Mather arqua un sourcil, en souriant en coin. Sans répondre quoi que ce soit pour le moment, elle décida qu’elle ne se ferait pas prier deux fois. De sa main, elle entreprit de déboutonner lentement chaque bouton de la chemise du jeune homme. Elle entrouvrit la bouche sans s’en rendre compte et retint presque son souffle. Une fois que le dernier bouton fut déboutonné, elle passa sa main doucement le long de son torse, simplement. Il était musclé. Il était vraiment bien bâti. Sa main passa également sur son cou. Un cou qui semblait délicieux à embrasser. Elle rougit. Sa main continua son chemin jusqu’au visage, à la ligne du menton, puis sur la bouche. Une bouche si douce et masculine qu’elle aimerait bien goûter un de ces jours. Vint le tour des joues, où elle sourit, et du nez. Puis des yeux. Les yeux qu’elle aurait vraiment aimé être en mesure de voir. Elle soupira, tout en redescendant sa main, la faisant passer par le même chemin. Une fois arrivée aux abdos, elle resta immobile quelques instants. « T’empêche pas de faire pareil avec moi… », dit-elle dans un murmure. Sa main glissa finalement plus bas. Et elle découvrit qu’en fait, il n’était qu’en boxer. Elle rougit un peu plus. « Je te le laisse, ou je te l’arrache, dis-moi? », souffla-t-elle.
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« Pour savoir, faudra que tu cherches sous le manteau…» Avait-il rêvé ou cela ressemblait réellement à une invitation de sa part ? Si cela l'était, Charlie ne se ferait pas prier. Il avait peut être du mal à se dévoiler mais déshabiller une fille, ça il savait encore, très bien faire. De plus, son clin d'oeil et ce geste si sensuelle qu'elle faisait en mordant ses lèvres ne le laissait pas de marbre bien au contraire. Ses yeux n'arrêtaient pas de se balader de haut en bas, sans pouvoir regarder autre chose, que ce qu'il avait en face des yeux. Dixie. Une bien étrange créature, qui même sans sa vue arrivait à se faire désirer et à se tenir devant lui avec une tenue suggestive. Ou du moins, c'est ce qu'il espérait. Que pouvait-elle cacher sous se mentaux ? Une robe ? Des sous-vêtement ou alors vraiment nue ? Non, il devait se faire des idées, ce n'était pas possible. Quoi que leurs messages pouvaient prouver le contraire ? D'une certaine manière, il s'était fortement rapproché, pour le plus grand plaisir du beau brun. Il l'aimait bien, elle lui plaisait grandement. A sa demande qu'il pensait intéressante, Dixie se contenta de sourire en déboutonnant peu à peu sa chemise. Lui, se laissait faire avec fascination en regardant, ses yeux, ses pommettes, son nez et enfin sa bouche qui s'était légèrement entre-ouverte. Il louchait presque sur elle, en s'ordonnant intérieurement de ne pas l'embrasser, surtout pas la toucher. Non, il ne pouvait pas, et il n'y arriverait pas. Pourtant, ce n'était pas l'envie qu'il lui manquait. Peu à peu, sa main se se déplaça sur son torse musclé, son cou, son visage, et même sur sa bouche charnue. Cela ressemblait de plus en plus à des caresses pour le plus grand plaisir du jeune homme qui sentait ses poils se hérisser. Mordillant l'intérieur de sa joue, il sentait son souffle chaud devenue court sur sa peau. Charlie bouillonnait de pus en plus, et avait terriblement chaud, heureusement qu'une source d'eau chaude se trouvait à proximité. « T’empêche pas de faire pareil avec moi… » Un sourire se dessinait sur ses lèvres, parce qu'il avait bel et bien oublié que lui aussi, il avait ce droit de la toucher. Et il n'allait pas se faire prier, bien qu'il se fixe encore des barrières. « J'avais oublié ce petit détail. » Avoua-t-il en laissant un léger rire rauque s'échapper de ses lèvres. Mais alors qu'il allait poser sa main sur son trench, elle posa sa main près d'un point qui lui était très sensible en lui murmurant quelques mots. « Je te le laisse, ou je te l’arrache, dis-moi? » Il hésita un instant, avant de poser sa main sur son bras et du bout des doigts remonter peu à peu jusqu'à ses épaules. « Fait ce que tu souhaites. Fais-toi plaisir. » Il porta par la suite ses mains au niveau de sa taille, afin d'ouvrir de son trench et découvrir enfin la jolie tenue. Elle n'était pas nue. Mais aucune déception ne se lisait sur son visage, puisqu’elle se trouvait en maillot de bain, une tenue légère, agréable à la vue. « J'aime beaucoup ce que tu porte, je vais me rendre ridicule face à toi. » Disait-il en riant légèrement afin de penser à autre chose que ce qu'il voyait en face de lui. Remontant ses mains jusqu'en haut de l'habit, il obligea la jeune femme à l'enlever avec douceur, afin qu'elle n'ai plus ce tissus gênant sur le dos. Son manteau dévala alors, jusqu'à rejoindre le sol. Enfin, il pu poser ses yeux sur ses formes fines et splendides. Elle avait tout ce qu'il fallait où il le fallait. Dixie rejoignait donc le club très fermé des jolies filles. « Dixie. T'es vraiment magnifique. » Ses yeux se fermèrent alors en posant l'une de ses mains dans son cou, sur ses lèvres douces, puis son nez et ses cheveux fins. « Tu viens avec moi.. Qu'on rejoigne le bain avant qu'il refroidisse, je vais t'aider. Je veux t'aider. » Disait-il avec conviction.  

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