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Le danger rôde dans la nuit
Le silence s'installe sur le campus d'Harvard à Cambrigde. Marchant d'un pas modéré, nous nous dirigeons vers la sortie. Nous n'avions qu'une hâte rentrer chez nous, dans ce petit appartement que nous partagions avec Leonor et sa petite soeur. Le ciel noir s'éppaisit un peu plus, la lune n'est pas présente et le froid de l'hiver, de sa brise mordante nous fait frisonner.
Nous regardâmes notre portable, l'heure qui y appairaisser était on n epeux plus tard. 23 Heure 45, soit nous ne serions chez nous qu'à 24 heure environs si nous comptions les 15 minutes de bus pour rentrer. Nous levâmes les yeux en soupirant, encore une fois nous avions trop travailler sur le projets de stand pour le club humanitaire. Mais nous voulions tant aider les autres que nous ne voulons rien laisser au hasard.
Une silhouette se découpe derrière nous, mais étant dans notre dos, nous ne nous en appercevâmes en aucune façon. Nous continuons notre chemin plus lentement, gèné par le vers glas et la neige. Sans bruit et sans appel une main se pose sur notre bouche, nous empéchant de crier et de protester. Un bras puissant nous serra contre une potrine chaude. Notre sac tombe sur le sol et s'éparpille, nous gigotâmes pour nous défaire de l'emprise de notre raviseur, sans aucun succés. Nos yeux s'écarquillérent au fur et à mesure, qui nous entraine dans les fourrés. Nous somme brutalement poussait au sol.
Puis nous ne suivons plus ce qui se passe, seul la peur nous étreigne, paralysant nos pensers, glaçant nos réflexes et laisant libre champ à notre agresseur. Nous fermons les yeux, le plus fort possible, nous tortillant dans le but de nous échapper de son emprise plus forte encore. Nous ouvrons de nouveau les pupilles pourvoir son visage, mais il n'y à rien d'autre qu'une silhouette sans visage, une ombre dans la nuit noir. Nous essayons de crier, mais sa main aussi grande que notre visage nous en empéche.
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