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O'BRIEILLY Հ de nuit comme de jour

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de nuit comme de jour
 
fiche par ©century sex  

Ce sont les mots qui lui manquaient le plus. Ce n'est pas comme-ci tu ne parlais pas beaucoup. Ce n'est pas comme-ci tu étais du genre à te taire. Mais, aujourd'hui, ce sont seulement les mots qui lui manquent. Helena ne sait pas si elle broie du noir, mais elle se plaint. Pour elle, pleurer dans le noir, c'est bien ça permet de réfléchir. Mais, maintenant,Lena n'y arrive plus. Elle fait quoi ? Ses yeux se ferment et elle prie, là comme ça... Elle crie vers quelque chose, quelqu'un...Dieu ? Sans aucun doute. Ca n'existe plus en fait "pleurer"...c'est un mot "banni", un mot pour les culs mous. Quand elle a envie de pleurer, elle pense à Cam, elle est folle dingue, mais qu'est-ce qu'elles se marrent ensemble. Elle pense à la tendresse d'Isa derrière ses airs froids. Lena pense à Noé et elle se dit, "mais qu'est-ce qu'il a ce type, pour être aussi coincé ?". Elle pense à Josh et elle se dit que la vie continue qu'il n y a pas besoin de pleurer. Plus besoin. Surtout si c'est inutile. Surtout, si ça ne change rien. Et pourtant ses lèvres se resserrent et là...Non...ô, non...,t'as les larmes qui coulent, non Lena ! Putain, faut que ça s'arrête, mais ça veut pas...c'est pas sérieux. T'as mal. Elle prend un coussin, le plus moche si possible, elle l'écrase sur son visage...son mascara va se répandre dessus. Au pire, ce n'est pas grave, elle l'échangera avec une autre coloc. On va croire que c'est un dessin, t'es une artiste, alors elle va te croire...T'es une manipulatrice, comme ils disent, tout le monde te croit... Elle se lève, faut sortir de là, faut qu'elle prenne l'air. Tu t'en fous de ce qu'il dit, il ne sait même pas ce que tu ressens, ce que tu es. Il s'en fout. Tu ne sais pas comment tu fais pour être aussi atteinte ses temps-ci. Tu prends en sensibilité. Tu t'attendais à quoi, qu'il te dise de rester ? Lena, reste...j'comprends pourquoi t'es partie...Je sais,...reste, parce que tu sais, je...je...MAIS ! Ce ne sont que des conneries, t'es plus le genre à croire les contes de fées. Elle sort de sa chambre, les jambes nonchalantes. La belle n'est pas sortie de toute la journée, alors ses jambes pèsent à force de rester allongées. Elle sautille, se dégourdit et à peine sortie de son trou, elle remarque une scène de ménage chez son voisin d'en face.  Le coloc bizarre comme elle l'appelle. Lena s'arrête n'osant pas ouvrir sa porte complètement, elle l'observe via le trou de sa serrure... Une jeune femme sans doute de son âge le gifle, elle le traite de tous les noms notamment de gamin, d'immature. Et là, t'as l'impression de te voir quand tu es en colère, ça te fait rire hein ! Cette même colère qui dévoile ton manque de patience et en outre tes sentiments.

Et elle s'en va, l'incongrue, tu te sens rassuré et tu ouvres grandement ta porte... Il est là, fin, tu sens sa présence, son regard que tu évites un bon bout de temps. Il fait tard. Il fait sombre. T’essuie tes larmes, puis ton regard recroise le sien. Qu'est ce qu'il énerve avec ses airs de crétin, mais tu le sens, lui...Il n'est pas bête, il n'est pas manipulable. Il est seulement à l'ouest. Tu t'accoudes contre ta porte puis tu l'observes calmement en essuyant légèrement les larmes qui continuent de valser sur tes joues...c'est encore une fille frustrée que tu baises pas assez bien ?...tu casses le silence, Lena, t'es pas polie, tu ne le connais même pas. Mais, t'as l'habitude de le voir dans cet état, de voir les filles se plaindre et lui. Souvent, c'est parce qu'il ne les laissent jamais passer le seuil de sa chambre...pourquoi tu ne laisses jamais une fille rentrer chez toi ?...elle se rapproche du jeune homme doucement, le regard méfiant avant de dire..t'as peur qu'elles te violent, ou il te faut un passe spéciale? Elle a envie de rire, mais elle se retient.
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J’étais las de ne pouvoir être moi. Le coeur encagé, l’ennuie toujours à ma portée, il m’en fallait beaucoup pour que je reste fidèle. Il y avait toujours quelque chose de mieux quelque part, quelque chose de plus coloré. Dans ce monde c’était mal vu d’être unique, encore plus d’être seul. Les femmes n’avaient pas la patience d’être avec moi, ni le courage de lutter sans relâche pour mon attention, alors je butinais. Je m’accrochais, puis laissais au suivant.  La femme est magnifique. J’adore le goût de leur lèvres, la douceur de leur peau, j’adore faire plaisir, faire subir, prendre le contrôle, leur faire perdre la tête... mais cela ne m’apporte rien, absolument aucun plaisir, que celui le plus altruiste et rares étaient les occasions où je mourrais d’envie de donner sans rien en échange qu’un goût sucré imprimé aux bords des lèvres. Délicieux, mais insuffisant. J’oubliais surtout, c’est pas le problème, je me fascine, je me pensionne, j’en oublie d’être humain. J’en oublie mes rendez-vous, j’en oublie des prénoms. Ça fait mal, j’en suis conscient, je suis moi, j’y peux rien. La noirceur venait de s’étendre à l’horizon, m’obligeant un déplacement pour ouvrir les lumières, il n’était pas encore l’heure de dormir. J’allumai ma console, comme tous les soirs, m’installant au pied de mon lit, les jambes battantes dans l’air libre, la liberté totale de m’abandonner à un univers alternatif, d’entrer dans le jeu comme si j’y étais. Je me mis à crier à la télévision, tirant la langue pour me donner plus de talent, mauvais perdant au possible. La porte s'entrouvris un instant, mon coeur fit manqua un battement. Une belle brune au visage crispé de colère attendait que je lui porte secours à l’antre de ma chambre. je me précipitai sur elle, la retenant de faire un pas de plus et de découvrir tous mes secrets illégaux. «Qu’est-ce que tu fais là?» Soufflais-je en refermant la porte sur mon passage. Elle me regarda sévèrement, m’accusant de lui cacher une part de ma sincérité, d’entretenir une autre femme sous mon lit. N’importe quoi. Comme si une femme n’était pas assez... J’arquai les sourcils. «T’es ridicule.» Ne pus-je me retenir de dire amèrement. S’en fut tout, apparemment ces choses ne se disait pas au nez d’une femme, j’en prendrais note. Elle s’enfuit, me collant sa paume à la joue en un ultime adieu. Wow. Le claquement me tritura le visage entier, mais c’était mon âme qui en avait subit le plus gros choc. Je devrais m’en flatter peut-être, être assez important à ses yeux pour mériter ses émotions, mais je n’étais pas fier de moi. J’étais seul de nouveau, horriblement seul. Je m’apprêtais à aller me morfondre sur l’enfant qui sommeillait en moi quand je l'aperçu enfin, perchée, voyeuse, juste là au coin de sa chambre. Elle évita mes yeux, ses joues mouillés d’une peine dont j’ignorais tout. Je ne voulais même pas savoir. Quand elle releva les yeux sur moi elle osa enfin prendre parole. C’était étrange, ces circonstances, sa soudaine beauté aux lueurs de ces lumières tamisées. «C'est encore une fille frustrée que tu baises pas assez bien ?» J’écarquillai les yeux, c’était particulier comme choix d’entrée en matière, ces mots étant les premiers qu’elle m’adressait depuis jamais. «Je n’ai jamais reçu la moindre plainte.» C’était un fait, le mal baisé... c’était moi. Je cru bon de retenir dans mon camp un peu de mystère. Elle essuya de nouveau ses larmes coulantes qui ne semblaient pas vouloir s’arrêter. Dommage de gâcher un si beau visage. «Pourquoi tu ne laisses jamais une fille rentrer chez toi ?» Elle fis quelques pas vers moi, je calai mon dos à la porte de ma chambre, je n’aimais pas que l’on m’aborde directement, que l’on me touche sans nécessité. J’évitais le pire. Apparemment elle avait prit le temps d’observer mes entrées et venues. Charmant. «T’as peur qu'elles te violent, ou il te faut un passe spéciale?»  Sa manière de présenter les faits était un peu trop direct à mon goût et le sujet de conversation était particulièrement choisie pour mon compte. Parler d’une chose qui ne me passionnait en rien n’avait pas tendance à me dénouer la langue pendant des heures. «Jamais est un grand mot. Peut-être ne rentrent-elles pas seulement quand tu es là pour en être témoin... Et qui n’a pas peur du viol? J’espère que la question était rhétorique.» Elle était si prêt, si envahissante. Jolie regard, perçant et intimidant. Arf, elle m’énerve déjà. Je portai une main à son visage, capturant de mon pouce une de ses larmes, la gardant prisonnière... celle là au moins ne pourrait pas faire de gaspillage de beauté. «Et toi pourquoi pleures-tu? Laisse moi deviner.» Hum. Je fis semblant d’avoir à y réfléchir, mais c’était déjà tout calcul. «L’amour? Peut-être que c’est toi qui devrait réfléchir et interdire l’accès à ta chambre comme à ton coeur. La baise en vaut-il réellement ce prix?» Je frottai sa larme entre deux doigts, mouillant ma peau comme elle mouillait ses joues. Attendant, curieux pour une fois de savoir comment c’était pour une personne sensible à l’amour, aux corps embrasés.


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Jamais est un grand mot. Elle leva ses yeux au plafond, comme exaspéré par lui... Peut-être ne rentrent-elles pas seulement quand tu es là pour en être témoin...J'habite en face de toi crétin, pas besoin de t'observer, tu pourris déjà assez ma vue...elle se mit à pouffer. Et qui n'a pas peur du viol? J'espère que la question était rhétorique... Lena s'approchait de lui. Encore et encore, elle le sentait distant...ça le mettait mal. Il n'aimait pas ça, mais elle se complétait dans son malaise. Elle le regarda quelques instants...Il la fit frémir en passant une main légère sur son visage, était-ce celle de Jeno ? Son coeur s'enflamma, elle ferma quelques instants ses paupières...reviens à la vie Reilly. Ce n'est pas lui. Et ça fait mal, tellement quand il faut revenir à la réalité. La réalité tue l'humanité et la sauve d'une certaine manière, elle ouvre les yeux, elle permet les grandes décisions. Et toi pourquoi pleures-tu?...Lena baissa son regard,... Laisse-moi deviner. Elle eut le coeur qui battait fort, elle n'avait pas envie de l'entendre dire, oui parce que sa situation à elle est désastreuse. Oui, du présent, parce que c'est encore le cas... Hum. Non, non Lena, il va le dire, tu vas pleurer, c'est pas bon bon...tu vas hair, tu vas avoir mal au coeur, non non...Ses mimiques l'agacèrent...TAIS-TOI, ARRÊTES ! a-t-elle eu envie de dire, mais Lena ne veut pas montrer ses faiblesses, elle ne veut pas être LA faible dans l'histoire. L'amour? ...Tais-toi, tais-toi, TAIS-TOI ! Hé toi, elle déteste ce mot maintenant...elle s'affole intérieurement et son regard le fuit...Peut-être que c'est toi qui devrait réfléchir et interdire l'accès à ta chambre comme à ton coeur. La baise en vaut-il réellement ce prix? Elle a envie de rire, un rire noir...alors elle laissa échapper une phrase si soudaine...j'suis pas une PUTE !...Elle avait couché une seule fois, c'était son premier amour...elle n'était pas une proxénète ! Il frotta sa larme, il frotta sa larme, une larme tiède...une larme, vous savez. Il l'écrasa entre ses doigts et elle le repoussa...t'avise plus de m'approcher, m'approche plus Jeno, m'approche plus...Mais, c'était trop lourd, le poids des mots pesait sur elle. Son regard perdu, les larmes qui reviennent en flots intense, elle s'approcha de ce jeune homme et elle le serra très fort contre elle. Reilly avait eu besoin d'extérioriser sa haine, sa peine, sa tristesse, elle pleurait, alors elle pleura.


Le compteur d'électricité a lâché. Il faisait noir dorénavant dans le couloir...elle se sépara légèrement de lui et observa son visage. Lena avait besoin d'oublier, elle en avait grand besoin...dans son regard, elle voyait celui d'un autre...celui de Jeno. Elle hocha dans tous les sens sa tête pour se bannir les images de celui-ci. Les cheveux bouclés de cette dernière se baladant sur le torse de son voisin. Il faisait noir, mais elle sentait son pouls, elle sentait son souffle...moi, je suis pas cette fille que t'as abandonné sur le seuil de ta porte,...Lena caressa ses lèvres contre les siennes, tout doucement, fermant ses yeux. Ensuite, elle posa ses lèvres fortement contre sa bouche, les pressant tendrement, doucement, plusieurs fois. Helena se détacha de son emprise, avant de se diriger vers sa porte...j'ai ouvert une seule fois une porte, celle de mon coeur...c'est cette dernière qui est tellement dure à fermer.
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Je pouvais sentir le temps lentement freiner sa cadence pour laisser place à l’absurdité de cette scène. Je ne la connaissais et pourtant c’était comme si elle m’avait toujours vu à la manière qu’avait ces yeux de me reconnaître. Elle me parlait trop cruement pour mon goût, elle envahissait mon espace et pourtant j’adorais être pris au piège ainsi. Cela créait un souvenir, une émotion bien cinglante qui resterait avec moi pour toujours. Ça au moins je l’aurais vécut. Quand je parlai d’amour, de faire l’amour surtout elle s’écria; «J'suis pas une PUTE !» J’arquai un sourcils, évidemment je ne l’accusais pas de l’être, loin de là. Qui étais-tu alors jolie créature? Ses larmes défuguraient son visage d’une poétique et violente façon, comme je ne pouvais tolérer ni le premier ni le second je m’acharnai à les lui voler de mon pouce. Elle bondit sous mon contact pourtant léger comme une plume et me grogna; «T'avise plus de m'approcher, m'approche plus Jeno, m'approche plus...» Cela devenait de puis en plus étrange. Je retins mon souffle de peur de la faire encore plus rager, je n’osais même plus la regarder directement dans les yeux, comme on l’aurait fait d’un animal sauvage. Cette femme que j’aurais pu diagnostiqué bipolaire sans license finit par me coincer entre ces bras, m’étouffant dans sa haine du souvenir qui semblait la hanter. Je fis de mon mieux pour rester immobile, je la joignant pas dans son accolade… en fait je n’aimais pas trop qu’on me touche non plus. Sentir sa poitrine sur mon torse me rappelait que trop vivement la passion que ses courbes ne m’inspiraient pas. Comme l’aurait fait les courbes de quiconque en fait. «Je … je crois qu’il y a méprise sur la personne… Je ne suis pas…» Je balbutiais ces mots sans me comprendre moi-même, quant la lumière disparue en un souffle. C’était bien ce qu’il manquait. «Moi, je suis pas cette fille que t'as abandonné sur le seuil de ta porte...» Le mystère s’assombrissait. Elle ne voulait même pas m’aider à l’aider. Non que c’était de mes affaires, mais elle me regardait… elle me regardait comme aucune inconnue ne m’avait jamais regarder. Cela fit vrombir mon coeur, mélangea mes pensées jusqu’à les rendre parfaitement incompréhensible. Elle frôla ses lèvres aux miennes, j’en frisonnai. Mais que faisait-elle? Qui étais-je pour elle? Pourquoi m’étais-je trouver sur son chemin, à cette heure précise? Elle m’embrassa avec passion et douceur, j’arrivai à en clore les yeux pour m’imaginer à mon tours le visage d’une autre. Hum. Sa bouche goûtait le sucre, l’addiction. L’illégalité de la chose rendait le tout encore plus excitant, je volais un baiser qui aurait dû être adressé à un autre et cela me plaisait. Ses larmes se mélèrent au bruit de ses lèvres claquant les miennes à quelques répétitions. Quand enfin elle en eu fini de me faire rêver, elle alla se réfugier dans son trou, auprès de sa porte de chambre. «J'ai ouvert une seule fois une porte, celle de mon coeur...c'est cette dernière qui est tellement dure à fermer.» Je ne pouvais qu’imaginer ce qu’elle avait dû survivre par le passé qui la faisait souffrir encore au présent. En cette instant je décidai d’une chose, je me fis une promesse… cette femme, je la veux dans ma vie. Je veux connaître son histoire et lui faire apprendre mon prénom. Je veux l’entendre le prononcer, je veux l’entendre le soupirer. Je la veux tout court. «Alors ne la ferme pas.» Je m’approchai d’elle, la poussant jusqu’à l’intérieur de sa chambre alors que je refermai sa porte sur mon passage. Mes yeux la déshabillaient déjà, j’ignorais ce qui m’arrivais… à quoi je jouais. Je voulais être lui et je voulais qu’une femme me veuille comme elle aimait ce… «Si j’étais Jeno, que me dirais-tu, que me ferais-tu? Tu as envie de te venger? Tu veux encore m’embrasser? Prend ce que tu veux, je te l’offre.» Je glissai ma langue sur mes lèvres, la trouvant. Doucement je vins m’adosser à la porte close, lui bloquant l’accès au monde extérieur, il faudrait d’abord me passer sur le corps, littéralement.
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Elle est un mirage.
Il devient sa normalité.
Sa lumière dans le noir.
Le noir de ses désirs.
La peur du lendemain.
Le lendemain de la veille.
Sa joie.
Sa haine.
Sa consolation.
Le berger qui retrouve sa brebis.
Il la prend dans ses bras, puis rentre dans son terrier sombre......Alors ne la ferme pas. Elle rit en se laissant pousser,...viens alors. Elle ne connait pas son nom, elle ne connait pas sa vie, elle ne connait rien. Ce rien deviendra peut-être quelque chose. Ce rien ne peut rester qu'un néant. Il peut devenir les larmes de ses joues qui deviendront des rires nouveaux. Il peut devenir sa chaleur dans le lit. Il peut devenir son morceau de chocolat préféré. Sa musique, son loisir personnel.

A-t-il vu les mouchoirs ?...Ouai, les kleenex, eux qui sont remplient de ses larmes, eux, qui remplissent sa poubelle. A-t-il vu Lena, combien tu es faible ? Il referme la porte. Use-t-il de ta faiblesse ? Sait-il que tu ne risques pas de retourner en arrière, que tu risques de t'attacher parce qu'en lui...tu le vois. Ces yeux la déshabillent, elle se retourne gênée...qu'est-ce qu'il a cet idiot ?...me dis pas qu'il te désire !...quelque peu déstabilisée, elle passe une main sur son front. Si j'étais Jeno, que me dirais-tu, que me ferais-tu? ...il la sort de sa réflexion, ce seul nom la fait trembler, son petit coeur bat encore...malheureusement. Elle lui dirait quoi à cet avorton ? Qu'elle ne l'aime plus, ...elle lui ferait ressentir la douleur qu'elle a eu, les contractions, le bébé qui est mort, le peu de soutien ? Son incompréhension ?...Helena avait peur, seulement ça. Mais qu'elle nouveau sentiment t'anime maintenant ? Qu'est-ce qui se passe ?...Tu as envie de te venger? C'est comme s'il lisait dans tes pensées... Tu veux encore m'embrasser?...Non, si...je n'en sais rien...laisse-moi...ses paroles la troublent, veut-elle encore ? ...ou ne veut-elle pas...les grandes questions existentielles... Prend ce que tu veux, je te l'offre. Elle se retourne déconcerté...t'es ma-la-de ! mais, t'es f..Elle n'est pas mieux que lui, c'est elle qui a commencé. Il glisse déjà sa langue sur ses lèvres, elle n'a pas le temps de faire un geste, de lui dire de s'arrêter. NON !La brune se retrouve perdue dans une folie nouvelle. Ce type pourrait-il comprendre un peu de sa peine ? Il trouve sa langue et les deux s'unissent, elles se caressent. Ils se languissent. Il bloque la porte, il l'empêche de sortir, visiblement...il attend plus d'elle...il veut encore plus qu'elle ne l'aurait espéré...Lena passe ses mains sur ses épaules, l'embrasse langoureusement avant de se détacher de lui, les yeux clos, le sourire aux lèvres. Elle a aimé. Ca ne te gêne pas ? soupire-t-elle, ...ça ne te gêne pas de trahir ta petite copine ?... elle rit un peu,... t'es bizarre bizarre...mais elle aime ça. Jeno. Elle essaye de l'effacer de sa pensée, de le détruire. Ses mains parcourent son torse, puis elle recule d'un pas en faisant descendre les bretelles de son débardeur. C'est un jeu là que tu fais ? ...Tu fais quoi Lena, arrêtes !...J'te dis que ça sert à rien, c'est un autre type qui va te briser le coeur ou pt'être bien que c'est toi qui le brisera !Elle passe des mains derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Chaleur. Excitation. Ça faisait longtemps. Elle lance la chose a dentelle sur lui en faisant un signe pour qu'il se rapproche. C'est absurde. Elle se sent si différente. Son coeur bat difficilement. Lentement. Comme s'il se remettait à démarrer, comme-ci un nouveau carburant coulait dans son moteur. Elle ne sait pas. De toute façon, son coeur a tendance à déconner...il bat pour tout et pour rien. Helena ne connait plus réellement la véritable signification des battements de son coeur, mais elle sait qu'il la maintienne en vie...dis-moi ton nom chuchote-t-elle...Elle veut bien s'amouracher.  Aujourd'hui. Pas de son ex. Pas de celui qui baise sa copine à tout bout de champ, parce que peut-être même qu'en en cet instant, ils le font. Mais, de ce type qui l'a regarde en cet instant, l'inconnu a qui elle transmet tous ses sentiments les plus profonds, ceux qu'elle réservait pour son ex. Elle veut bien pleurer dans ces bras. Aujourd'hui. C'est un défi. Un jeu. Peu importe. Mais. Bien que la peur l'envahisse, jouer ne lui fait plus de mal. Toi, le type qui ose la toucher...Ne joue pas, surtout si tu comptes abandonner la partie. Continue si tu y tiens. Continue. Mais, ne joue pas avec elle.
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J’aimerais savoir lire dans ses pensées, jamais un don n’a semblé plus nécessaire qu’actuellement. Je voulais faire partie du combat, cette bataille qu’elle menait sans subtilité d’elle-même à elle-même, se cachant de tout témoin. Elle abusait de ma curiosité, c’était ça. Je ne la laisserai pas faire. Je me donnai dès lors la mission de la faire parler, sans lui faire deviner que je l’analyse dans ma taciturnité. Je veux qu’elle s’époumone et je veux être là pour assister au spectacle. Je lui proposai de m’embrasser, simple provocation dans le but de la choquer… mais aussi un bien solide envie brûlante qui sommeillait au fond de moi. «...t'es ma-la-de ! mais, t'es f…» Voilà qui refroidissait rapidement mes ardeurs. Donc, elle n’avait rien sentie, j’en prenais note… pour une fois que moi j’arrivais à vivre une étincelle, il fallait bien que par malheur ce ne soit pas réciproque. «Nous sommes tous fous dans ce monde, c’est ce qui me rend humain.» Malheureusement… Sans trop se justifier ni s'annoncer, elle se penche pour clamer mes lèvres et mes épaules. Elle me prend sans chasteté. C’est bon, c’est doux, c’est salé encore. Mais c’est surtout court. Elle se recule encore, décidément, elle me laissera toujours sur ma faim.«Ca ne te gêne pas ? ...ça ne te gêne pas de trahir ta petite copine ?... t'es bizarre bizarre…» Cette remarque me fis sourire. Elle me connaissais trop peu pour pouvoir prévoir ma réponse, mais elle était toujours la même, toute ma vie ça avait été la même. «J’ai pas de copine, et même si c’était le cas, je ne ressentirais pas la moindre gêne à laisser parler mes envies, on a qu’une vie à vivre après tout. N’es-tu pas d’accord?» J’humectai mes lèvres, en attente d’une nouvelle récompense. J’adorais la texture et le parfum, j’adorais la courbe bien moulé qui s’écrasait contre ma peau sensible. Mon coeur en redemande. Ses mains me frôlèrent le torse, mon t-shirt se moulant à ma peau en feu. Arf, déjà elle me rendait dingue. Elle se recula, abaissant sans attendre la bretelle de son haut, dégrafant son soutien-gorge pour me le lancer au visage. J’écarquillai les yeux en découvrant ce nouveau morceau de chair. Ce subtile artifice qui envanima mon esprit. Soudain ça me frappa en plein visage. D’un geste elle me somma dans ses bras et j’hésitai. Un seconde de trop qui ne pourrait pas passer inaperçu. Je la voulais, elle était belle… ô vraiment aveuglante, mais ça… j’aimais pas vraiment ça. «...dis-moi ton nom» J’haussai les épaules, m’approchant malgré tout, plaquant mon torse vêtu sur sa poitrine, je pouvais sentir ses seins s’écraser contre moi… délicieux. «Tu n’as pas besoin de connaître mon nom. Tu l’oublierais de toutes manières, pour toi il n’y aura toujours qu’un Jeno, je le vois dans tes yeux. Qu’est-ce que tu es en train de me faire? J’aime pas ce jeu. » Je voulais seulement ses lèvres après tout, c’était une petite sucreries sans conséquence. Je glissai mes mains dans son dos, la retenant à moi pour ne pas qu’elle se sauve, j’aimais bien sentir son souffle s’écraser sur moi, ça me réchauffait. De toutes manières, rien ne fonctionnait entre mes jambes, enfin, partiellement.

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