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Nelson Walden-Ritz ► César Casier

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Nelson Ezrael Walden-Ritz
fiche; terminée


C'est le 13 avril 1992 à New York, que la famille Walden-Ritz m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Nelson. Je suis Célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Hétérosexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Administration & psychologie depuis maintenant 2 ans je travail comme étudiant. Et pour terminer, je fais partie des Winthrop House.

Études
Ah les études. Doux domaine n'est-ce pas ? Je pourrais en dire long sur le pourquoi du comment de mon choix, mais en fait, tout tient en un mot : héritier. Quand un jour, on sait qu'on va devoir reprendre ce que papa tient de main de fer, ça nous pousse parfois à faire des choix... stupides. Quelque part, je le suis un peu, je sais qu'il me méprise & la plupart du temps je le déteste. Mais il est le seul parent à ne m'avoir jamais abandonné. Donc je suppose que faire de l'administration c'est pour pouvoir reprendre ce qu'il a construit. Pour ma mineure, ah ah, c'est juste pour comprendre les femmes. J'aime les femmes, leur corps, leur faire plaisir pour la plupart. Enfin, tant que cette fille n'est Elysia en somme. Je peux être charmant quand ça me prend. Si si, je le jure ! Pour ce qui est du campus, achète-toi une vie men, je vais pas étaler la mienne pour toi. Mais si tu y tiens vraiment et parce que j'aime bien rendre jaloux les gens sur mon incroyable vie, dis-toi que je m'amuse, je baise, je vis, bref, je suis heureux.


Caractère
Je suis rempli de contradictions. Je le sais, pas besoin de me voiler la face. Je pense des choses et je fais le contraire. C'est comme ça et je m'aime bien comme ça. Donc pourquoi changer ? Le défaut que la plupart des gens me reprochent c'est mon narcissisme. Moi & mon égo le vivons plutôt bien pourtant. Oui, j'aime me regarder, oui, j'aime qu'on parle de moi mais dans le fond, tout le monde aime ça, c'est juste que chez moi c'est un peu plus prononcé. Ou plutôt, moi je l'admets sans honte. Aussi non, je suis assez têtu, j'aime avoir raison, je déteste qu'on me contredise, quand j'aime pas des gens, je suis assez sarcastique et froid avec eux, j'aime bien me foutre de la gueule des gens à leur dépend en étalant ma culture. Pour ce qui est de ma qualité... ma sociabilité, je suis un peu le type passe partout, sympa qu'on apprécie rapidement. C'est comme ça. Peut-être que je suis comme ça parce que j'avais pas ma place dans la famille où ma mère m'a abandonnée... du coup, j'essaye de la trouver partout où je peux... et ouais, j'aime avoir ma place dans un cercle "familiale". Enfin, ça c'est ce que je suis en temps normal... mais... pas avec Elysia. Je n'arrive pas à m'exprimer convenablement avec elle. C'est une amie je crois, une amie d'enfance même... mais... je sais pas, peut-être que quand elle est arrivée dans ma vie, au lieu de l'accepter comme elle était, je lui faisais sentir toutes les frustrations de ma petite vie déjà bien remplie... j'avais été abandonnée, ma belle-mère me détestait, mon père ne m'accordait pas d'importance, je me sentais impuissant, j'avais envie d'hurler, j'avais envie qu'on m'écoute et elle, elle le faisait. Alors... je lui criais dessus, j'étais ignoble jusqu'à la voir pleurer. Je pense que les larmes qu'elle a versé... c'était celles que j'étais incapable de laisser couler moi-même. En partie. Désormais, pff, c'est trop prise de tête tout ça.


Everyone Has Their Own Story

« Nelson ! Nelson, réveille-toi ! » le petit garçon papillonne des yeux surpris, la lumière de la pièce l'éblouit et il se cache les yeux derrière ses petites mains encore tout rondelette, signe de son jeune âge. Le brun aux cheveux hirsutes se redresse et tend aussi tôt les bras vers sa mère pour qu'elle le câline après un réveil si brutal. La femme hésite avant de serrer le corps frêle de son fils. Elle le serre trop fort et il gémit, elle le libère et dépose un baiser brûlant sur son front.

Cette étreinte est la dernière que cette femme, que cette mère offre à son fils. Aujourd'hui elle l'abandonne ! Elle n'a pas le choix, son nouveau compagnon n'aime pas le petit, il est jaloux, le voir lui rappelle qu'avant lui, elle a été avec un autre et il pique de plus en plus de colère. Elle l'aime, elle l'aime tellement... mais elle aime aussi Nelson... mais elle a besoin de son petit-ami, elle a besoin d'être aimer pour se sentir vivante. Alors elle prend Nelson & le dépose sur le pas de la porte d'une maison très grande dans l'Upper East Side de Manhattan. Elle le regarde une dernière fois. « Quand je serais au bout de la rue, tu sonnes à la porte Nelson d'accord ? Promets-le oui ? Et... donne cette lettre au monsieur, pas la madame ! » le petit garçon hoche la tête en voyant sa mère partir pour lui faire un dernier signe de main. Elle a les yeux embués. Mais elle a choisi. Elle a choisi l'amour passionnel à l'amour maternelle. Une larme coule sur sa joue. Il est trop tard pour se retourner. Une fois hors de sa vision, le petit sonne à la porte. Cette porte où commence sa nouvelle vie.




« Tu n'es qu'un bon à rien ! Un ingrat ! » Hurla sa belle-mère. Nelson, 16 ans n'était plus un enfant, il était habitué aux piques de colère de la bonne femme. Alors il la regarda avec mépris avant qu'un sourire n'étire ses lèvres. « Peut-être, mais je suis et reste l'héritier. C'est triste non d'être stérile ? » sourit-il sans compassion aucune. Fier de son coup d'éclat que son père lui ferait payé plus tard, il sortit de sa grande maison pour trainer dans les rues de New York. New York, sa ville, son terrain de jeu grandeur nature. Il téléphona aussi tôt à des amis qui lui dirent de le rejoindre dans un bar qui ne regardait pas trop sur les cartes d'identités. Le jeune homme ne se le fit pas dire deux fois.

Une bière à la main, il rigolait bruyamment avec ses potes et comme eux tous s'amusaient à faire des remarques grivoises pour faire rire la compagnie. « Nelson. Regarde un peu celle-là comme elle est pas mal ! » lui indique Pierre, le français, le nouveau du groupe. Nelson releva la tête et aperçu Elysia. En un instant, la lueur dans le regard du jeune homme changea et sans explication, il se leva pour aller la rejoindre. « Qu'est-ce que tu fais ici ? » Tonna-t-il d'une voix dure tout en lui empoignant le bras, il était fâché qu'elle soit là, comme n'importe quel autre ado de leur âge. Il plissa le nez, se rendant compte que son comportement pouvait être un signe quelconque d'attachement. Il la lâcha et la regarda de haut tout en la reluquant de bas en haut sans aucune gêne. « Oh, ne me dis pas que tu essayes de séduire quiconque Elysia, tu peux tout de suite laisser tomber, tu n'as aucune forme, tu es... banale, personne ne peut te voir, tu es transparente. Rentre chez toi ! » il vit les yeux de la jeune femme se remplir de larme et il sentit comme à son habitude un sentiment de fierté gagner son cœur. Il pouvait la toucher, il pouvait la blesser parce qu'elle tenait compte de ce qu'il disait. « Tu n'es qu'un connard sans cœur ! » clama-t-elle en partant aussi tôt... c'est à ce moment-là qu'il se rendit compte que les paroles de la jeune femme pouvait le toucher en plein cœur aussi. Il secoua la tête et alla rejoindre ses amis pour finir sa bière. « Tu tires une drôle de tronche Nelson... » tenta Anton, le new yorkais tourna lentement la tête vers son ami, la colère bouillonnait encore en lui, comment cette petite peste avait-elle osé lui répondre ? Il haussa les épaules avec indifférence avant qu'un sourire faux n'étire ses lèvres. « C'est parce que j'ai soif ! Tournée générale ? » proposa-t-il en sortant la carte de crédit de son père qu'il avait dérobé plus tôt dans la journée. Ses potes saluèrent cette initiative et le jeune homme relégua au loin ce... machin avec... son amie.




Le choix n'était pourtant pas si difficile. Il suffisait juste de choisir, de cocher et c'était bon. Pourtant, les études d'Histoire qu'il avait toujours clamé suivre à la fin des High School lui semblèrent dérisoire. Il disait ça pour voir son père fulminer. Sa belle-mère jubilait quand il disait ça, parce que ça montrait le bon à rien qu'il était, elle, dès qu'elle avait matière à le critiquer, était heureuse comme si c'était Noël avant l'heure. Il se passa la main dans les cheveux et se regarda dans le miroir quelques secondes. S'observant avec minutie. Il ressemblait à son père, tout le monde lui disait, parfois, il aurait aimé... avoir aussi des choses de sa mère. Il secoua la tête, penser à elle faisait toujours aussi mal, même après autant d'années. Il poussa un soupir avant de faire son choix. Administration. Sa mère avait beau être gentille, aimante, protectrice, elle l'avait abandonnée. Son père avait beau être un enculé égoïste... il continuait de lui offrir un toit et lui passer la plupart de ses caprices. Il était son héritier. Il était l'enfant qu'il avait accueilli malgré sa réticence du début. Il ferma les yeux. Son père serait heureux, il le savait, il ne le montrerait sans doute pas mais Nelson le savait. Alors il cocha et donna sa feuille à son père pour qu'il envoie son choix définitif à Harvard.

Harry regarda la feuille et déposa ses lunettes sur le bout de son nez pour voir ce qu'avait écrit son unique enfant. Lorsqu'il arriva au choix des études, il le vit cligner des yeux avant qu'une sourire n'étende ses lèvres. Il déposa la feuille, fit le contour du bureau & entoura son fils de ses bras dans une étreinte que le jeune homme n'attendait pas. Surpris, il finit tout de même par entourer son père à son tour. « Merci fils. » « De rien papa. » répondit faiblement Nelson en s'accrochant avec force au costume de son père avant qu'un raclement de gorge dans leur dos les firent arrêter. Le sourire du jeune héritier s'élargit en voyant la mine outrée de la femme de son père. Elle les toisa avant de tourner les talons. Bien fait pour elle. « Nelson, amuse-toi à Harvard, mais n'oublie pas d'étudier tout de même » Nelson haussa un sourcil en entendant son père. Il sortait beaucoup, adorait faire la fête, était pas mal connu des bars & boîtes de New York... mais dès qu'il n'était pas dans une ambiance festive, Nelson avait toujours un livre en main, il aimait apprendre plus que tout. « Papa, je suis un Walden-Ritz, je ferais honneur à qui je suis ! Sans oublier d'être populaire évidemment » « Évidemment ! » rajouta son père en lui tapotant le dos.

En quittant la pièce, Nelson se sentait plutôt fier de son choix et il avait hâte de faire ses preuves à Harvard.

the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - Sheena
↬ ÂGE - 17 ans pour toujours
↬ PAYS/RÉGIONS - Belgique
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Elo
↬ TES IMPRESSIONS - Je l'aime bien, il est cool, j'aime bien le css & le design aussi
↬ CRÉDIT(S) - N-Dia & tumblr
↬ AVATAR - Cesar Casier
↬ SCÉNA' OU PI ? - Scénario
↬ LE MOT DE LA FIN - J'ai faim. Nan sans déc, j'ai une question, en fait, j'ai vu que c'était un scénario & que quelqu'un avait déjà tenté sa chance pour le rôle plus réservation & tout le bordel Nelson Walden-Ritz ► César Casier 2157042859 sauf que la personne a pas fini sa fiche & a plus posté depuis je sais plus quand '-' donc j'aimerais savoir si c'est pas grave ce que j'ai fait & tout & tout ?

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OH CESAAAAAAAAAAAR hanwii
Bienvenue parmi nous Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun :luv2:
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Merci Nelson Walden-Ritz ► César Casier 321341868

Ton nom Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188 Hepburn quoi ! Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188
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CESAR Nelson Walden-Ritz ► César Casier 2931463659 Nelson Walden-Ritz ► César Casier 2931463659 Nelson Walden-Ritz ► César Casier 2931463659 Ce choix d'avatar est fortement cool et même carrément canon. Bienvenuuue Nelson Walden-Ritz ► César Casier 1188809706
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Oscar est un très bon choix également Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188

Merci en tout cas Nelson Walden-Ritz ► César Casier 1153642411
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Welcoooome ! Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188
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BIENVENUUUUUUE Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188
César <3


Elysia va être ravie xDD
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Merci à vous deux ! Je l'espère :excited:
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Bienvenue sur ILH futur Winthrop :hanhan: hanwii :loukas:
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    Bienvenuuuuue à Harvard Nelson Walden-Ritz ► César Casier 2511619667 Nelson Walden-Ritz ► César Casier 3850463188
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