Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility∞ même quand j'essaye d'être tranquille tu me casses les couilles (helena)
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∞ même quand j'essaye d'être tranquille tu me casses les couilles (helena)

Anonymous

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J'aime les profs, non sans rire. C'est vrai quoi, en deux jours avec le nombre de cours qu'on a et le nombre de devoirs qu’il nous donne ils pensent sincèrement qu'on a le temps pour faire une recherche pour un truc bidon ? Eh bien oui. C'est frustrant, énervant et ça me bouffe ma fin de journée. Au lieu de rejoindre ma chambre je venais quitter le cours d'histoire avec une recherche sur une longue période de guerre pour une rédaction à rendre pour demain. Je le hais ce prof, sérieusement ! Une fois mon sac poser sur la table ou se trouvait l'ordinateur qui allait pouvoir m'aider, je venais l'allumer, commençant alors mes recherches et prenant notes des choses importantes. C'est quelques minutes plus tard que je venais finalement voir Helena entrée dans la pièce. Putain... Murmurais-je dans ma moustache, manque plus qu'elle. J'étais déjà bien assez en galère pour supporter son arrogance et sa bêtise, au final je vais devoir faire avec. Reprenant les choses je ne laissais pas mon intention se porter sur elle, manque plus qu'elle soit en assurance.
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Tu t'avançais un peu nonchalante. Les cours qui pesaient entouré de ton bras droit. Toi, demandant une table assez tranquille pour réviser. La salle informatique, c'est un peu ton endroit, tu n'aimes tellement pas aller à la bibliothèque. T'as besoin de parler de te mouvoir tranquillement sans interruption incessantes en "shut". Tu vins poser tes gros livres sur une grande table de groupe. Tu t'asseyais en sortant ta tablette d'une pochette en cuir. Tu t'étais sérieusement mise à suivre tes cours. Tu étais assez bonne élève, seulement un peu brusqué par les événements de la semaine. Jeno, Alexys, puis quelques autres. Ça te mettait mal à l'aise. Ça te troublait assez et le besoin de voir ta famille, resserrer Samson dans tes bras, t'en avait clairement besoin. Besoin de pleurer, d'hurler et d'oublier. Tu te sentis néanmoins observer, tu relevas ton regard en direction de cette source de chaleur. Un brun qui te regardait d'une manière dégoûtée, ...encore ce même air. T'avais l'impression de revoir le regard de ton ex te toisant de la sorte. Et lui, ce même ex qui te dis : "... tu m'dégoutes Lena, comment j'ai pu t'aimer à ce point..." Ça te fait mal. Et dans ce genre de moment, t'es sur la défensive, tu penses plus à ce que tu dis. T'élimines cette source de douleur...Tiens, Dylan...dis-tu en baissant ton regard vers ta tablette...ce n'est pas en me regardant que tu puiseras ton inspiration...puis tu souris amèrement...quelle chanceuse, je suis de me retrouver en face d'un type comme toi ! Ironie...ça me rassure quant à mes choix sur mon avenir.
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