Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEh mais je te connais toi ! [Norah - Nikolai]
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Eh mais je te connais toi ! [Norah - Nikolai]

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Mes premiers jours à Havard se passaient vraiment très bien mais je devais avouer qu'ils passaient vraiment très vite ! Cela faisait déjà 2 semaines que j'avais quitté ma Russie natale pour venir finir mes études dans cette superbe université. 2 semaines, et je n'avais encore donné que très peu de nouvelle à ma chère mère.

J'avais donc enfin décidé de me rendre en salle informatique pour lui envoyer un bon gros mail et lui raconter tout ce que j'avais fait depuis mon arrivée ici. Je savais que je lui manquais autant qu'elle me manquait et notre relation faisait qu'on avait tous les deux besoin de se donner beaucoup de nouvelle et j'avais largement failli à mon devoir ces derniers jours ...

Je mis déjà 15 bonnes minutes, mon plan dans les mains, à trouver cette salle. Ce n'était pas gagné, mon sens de l'orientation ne m'aidait pas vraiment. Enfin, voilà la porte de la salle informatique. J'entrais à l'intérieur. Il n'y avait pas tellement de monde et cela m'étonnait fortement. Je m'attendais vraiment à voir une salle comble et même à avoir du mal à trouver un ordinateur de libre. Je m'installais alors sur un poste près de l'entrée.

Alors que la machine démarrait, je regardais autour de moi. Mon regard tomba sur une jeune fille, assise en face de moi, deux rangées plus loin. Elle semblait très concentrée puis, elle se mit à rire. Ce sourire me donna fit bizarre, comme une impression de déjà vu. Je restais figé quelques secondes avant de réaliser.

C'était il y a quelques années, je me souviens, nous étions partis en vacances avec ma mère, rien que tous les deux, comme on l'a rarement fait. Nous étions partis à Paris car j'avais toujours rêvé de voir la tour Eiffel. Je me souviens de cette jeune femme, nous étions dans un club et elle était là à une animation. Je me souviens l'avoir remarqué pour son magnifique sourire et on avait discuté. Elle était adorable, pleine de joie et de bonne humeur. J'ai vraiment de très bon souvenirs d'elle et je suis certain que c'est bien elle, face à moi. Je me levais et m'approcha d'elle, tentant le tout pour le tout.

- Coucou, excuse moi de te déranger ... Ça va surement te paraître étrange, mais je crois qu'on se connait ... J'ai souvenir de t'avoir rencontré un jour, à Paris.
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J’avais enfin terminé ma dissertation sur la Renaissance en France, abandonnant derrière moi Catherine de Médicis et François I, à mon grand désespoir. J’adorais vraiment cette période, les châteaux étaient magnifiques, c’était vraiment une des périodes les plus prolifiques en matière d’art. Et puis, selon moi, il fallait avouer que c’était l’une des plus glorieuses périodes du royaume de France. J’avais fait de Catherine mon nouveau modèle. Une femme avec un sacré caractère, qui savait comment obtenir ce qu’elle voulait, et qui était prête à attendre plusieurs années avant de finalement atteindre son but. Comme lorsqu’elle avait récupéré Chenonceau des mains de Diane de Poitiers, la maîtresse de son mari. Oui, j’étais vraiment en admiration devant cette femme. Après avoir travaillé sur cette dissertation pendant des heures avant d’’y mettre le point final, j’estimai avoir le droit de m’octroyer quelques minutes de détentes avant d’aller prendre mon service au Lord Hobo. J’allais donc en salle informatique pour flâner sur internet. Je ne passais pas beaucoup de temps sur les ordinateurs, préférant largement rechercher les informations dont j’avais besoin dans les livres de la bibliothèque, à l’ancienne. La technologie et moi, ça faisait au moins trente-six mille. Non pas que je ne m’en sortais pas, je n’étais pas non plus une femme des cavernes. Mais je ne voyais pas vraiment l’intérêt de tout ça, surtout quand on avait personne à qui envoyer de mails. Et comme cela faisait plus de quatre ans maintenant que je n’en recevais plus de la part de Siméon… Je n’avais aucune attente. Je fus donc surprise en ouvrant ma boîte mail de voir qu’elle n’était pas vide et que, parmi tous les spams envoyé par des sites en tout genre ainsi que quelques informations sur le campus, se trouvait un mail de Charlie. Ce n’était pas vraiment dans ses habitudes – ni dans les miennes – de me contacter via internet. Perplexe, j’ouvrai donc le dit mail pour découvrir le lien d’une vidéo. Je ne pus m’empêcher de rire en découvrant une vieille chanson que nous écoutions alors que nous étions encore jeunes. Il avait le chic pour me remonter le moral même à distance ! Cette petite attention venait d’illuminer ma journée, tout comme la rencontre que je m’apprêtais à faire. Le sourire encore aux lèvres, un homme m’interpella, persuadé de m’avoir déjà rencontrée. Je levai les yeux vers lui, et mon regard s’illumina instantanément. Evidemment que nous nous connaissions, je me souvenais parfaitement de lui. Comment aurais-je oublier un tel charme russe ?

« Nikolaï ! Si je m’attendais à te croiser ici. Effectivement, on s’est rencontré à Paris il y a… une éternité, j’ai l’impression ! Mais dis-moi, que fais-tu sur Harvard ? Tu es là pour tes études ? »

J’avais presque envie de lui sauter au cou tellement j’étais heureuse de le revoir. Nous n’avions peut-être pas eu de contact pendant plusieurs années, mais il n’empêche que je gardais de très bon souvenir de cet été à Paris où nous nous étions rencontrés. Nous avions tout de suite accroché, et j’espérais vraiment, maintenant qu’il était là, que nous reprendrions notre amitié là où elle s’était arrêtée.
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« Nikolaï ! Si je m’attendais à te croiser ici. Effectivement, on s’est rencontré à Paris il y a… une éternité, j’ai l’impression ! Mais dis-moi, que fais-tu sur Harvard ? Tu es là pour tes études ? »

J'étais heureux de voir qu'elle se souvenait aussi bien de moi que moi d'elle. D'un côté, j'étais même très surpris. Il était vrai que cela faisait un certain nombre d'années que nous avions perdu contact mais je devais avouer que certaines fois, avec certaines personnes, les retrouvailles nous renvoyaient au moment où on s'était quitté, comme si c'était tout simplement hier. Cependant, nous avions vécu pendant tout ce temps, et on allait surement avoir un tas de choses à se raconter.

- Oui, cela fait vraiment longtemps ! Je suis content de te revoir. Je suis arrivé cette année ici, pour finir mes études de médecine. J'ai fais mes 8 premières années en Russie et j'ai eu envie de faire ma 9eme année ici, je comptais rester ici pour travailler ensuite. Et toi alors ? Tu étudies quoi ?
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Je n’en revenais pas d’être tombé sur Nikolaï ici, au milieu de la salle informatique d’Harvard. C’était tout simplement incroyable de le revoir après toutes ces années passées chacun dans notre pays. Et pourtant, je n’étais ni mal à l’aise ni perturbée par sa présence. C’était tellement naturel de le retrouver. Nous avions tant de choses à nous raconter. Il est vrai que d’ordinaire, je n’aimais pas raconter ma vie, même au peu de personne que je comptais pour mes amis – ce qui tenait largement sur les doigts d’une seule main. Mais Nikolaï, c’était différent. Lors de cet été où nous nous étions rencontrés, le courant était passé tout de suite entre nous. Il avait été comme le grand frère que je n’avais jamais eu.

« Moi aussi je suis contente de te revoir ! Alors comme ça tu es un futur médecin, c’est génial ! Je ne suis pas tout à fait dans le même domaine d’étude que toi. Je suis en histoire de l’art, avec une mineure en archéologie. Je n’ai pas pu aller à l’école du Louvre vu que mes parents ont déménagé ici après mon bac… Mais on fait avec ce qu’on a. »

J’avais envie de tout savoir sur ce qu’il avait fait pendant toutes ces années, et j’avais tant de choses à partager avec lui, mais la salle informatique n’était peut être pas le meilleur endroit pour cela. Je le regardais avec un grand sourire.

« Mais dis moi, ça te dirait que l’on aille boire un café ou qu’on fasse un tour ? Ce sera mieux pour discuter, et je suis sûre que tu as plein de choses à me raconter ! »
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