Grace Alayna I. Vasyklo ► Abbey Lee Kershaw

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle boo et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site.  le forum avait l'air super accueillant et il est super beau donc je me suis inscrite :sifle:alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Abbey Lee Kershaw comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Shiya. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ c'est Kol crotte de biquette !
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Je suis née dans le plus grand et le plus prestigieux hôpital de Croatie, cependant rien ne se passa réellement comme prévue à ce moment la. Ma mère, cette femme qui m'avait mit au monde même face à la souffrance qu'elle avait pu vivre,  c'était elle qui m'avait donné la vie, et elle est morte peu après son accouchement d'une hémorragie interne ... Je criais, j'hurlais même face à cet arrachement soudain. Cependant j'étais loin encore de comprendre qu'à ce moment je le ne la verrai plus jamais ... qu'elle avait disparue pour toujours. Elle n'a même pas eu le temps de prendre au moins une fois dans ses bras, de voir au moins une fois cet enfant qu'elle avait mise au monde et qu'elle avait su supporter pendant neuf fois à l'intérieur de son propre corps. Cet enfant c'était moi, ce jour la j'avais perdu une mère, des souvenirs, tout mon monde s'écroulé déjà alors que je venais juste de mettre la première brique. Je me suis souvent demandée en grandissant. « Qu'est-ce qu'aurait été ma vie avec elle ? » Avec cette femme qui aurait été ma mère, mon ami, ma confidente. Mais je n'avais pas le droit de me poser cette question car je savais que je ne pouvais tout simplement pas imaginer une autre vie que la mienne qui ce passait en ce moment car c'était celle que je vivais et je ne pouvais pas la changer, le temps était passé, la vie était passé. Mon père étant ambassadeur de la Croatie, mes grands parents ont du m'élever et ils ont fait de leur mieux, j'ai toujours considéré ma grand mère comme une mère de substitution. Elle a toujours été la pour moi tout comme mon grand père. Cependant mon père n'était pas été le père dont j'avais réellement rêvé. Petite je me souviens que j'avais de très bonne petites joues, j'étais bien portante, je mangeais un peu n'importe quoi, mes grand-parents étaient tous deux de bons vivants eux aussi, j'ai très vite pris beaucoup de poids, jusqu'à dépassé la limite de mon poids à ne pas dépasser face à ma taille, et même si j'étais déjà assez grande, j'encaissé avec difficulté les moqueries de mes camarades sans gènes face au propos qu'ils pouvaient m'envoyer en pleine figure. J'étais réellement une jeune fille solitaire, j'étais rejetée par tous le monde, et je n'avais pas du tout confiance en moi à cause de mon physique et mes plus grands amis pendant des années étaient des bouquins par centaines, la littérature (étrangère ), la lecture c'était réellement mon truc et si y'en a certains c'est la musique moi je me réfugiais dans les livres ... eux au moins ne pouvaient pas me juger sur mon physique.

Je sais au fond de moi même que mon père m'en a toujours voulu, quelque part pour la mort de ma mère. A vrai dire je ne connaissait absolument rien d'elle, car personne n'aimait en parler dans la famille, je savais juste son prénom « Sarah ». Je suppose que par son prénom elle n'était pas d'origine Croate ... mais comment pouvais-je le deviner si je ne connaissais absolument rien de sa vie ? J'ai souvent essayé d'en parler avec mon père, c'était le mieux placé à vrai dire pour répondre aux questions que je me posais. Mais il n'y avait rien à faire c'était silence radio. J'ai très vite renoncé à toutes ces réponses.

A l'âge de treize ans à peine mon père me présenta une femme ... une blonde tout comme moi, belle, grande, mince, et ... assez retardé pour être gentil. Mais peut importe après tout il faisait ce qu'il voulait ... c'était sa vie, malgré cette petite appréhension face à la nouvelle vie, qu'il construirait avec cette femme que je ne sentais absolument ... pas. Et très vite notre relation passa de connaissances à ennemies en très peu de temps. Cette femme la me détestée mais je m'en foutais, après tout je vivais avec mes grand-parents et ce n'était à vrai pas plus mal pour moi, je n'avais aucunement l’intention de supporte cette attardée mentale plus de deux heures d’affilées dans la même journée.

Le lycée, une forme d'indépendance pour beaucoup d'élèves, mais pas pour moi, je n'avais pas envie de grandir, c'était bien trop tôt, et j'étais réservée, j'étais le souffre douleur de tout le monde. Y'en avait un qui était particulier ... enfin c'était vite dit ... Adam, ce mec, c'était genre le beau gosse du lycée par excellence. Comment résister à cette gueule d'ange ? A vrai dire j'ai succombé moi aussi, comme toutes les filles de l'établissement. Ses cheveux d'or, ses yeux vert étaient magnifique. Cependant pour lui, je n'étais que cette petite chose fragile qu'on pouvait facilement manipuler et torturer, de manière subtile, c'est ce qu'il faisait, il me taquinait, me rendait folle, c'était sur. Et pour cela j'avais envie de tous les écraser, un par un. C'était horrible comment ils me rendaient dingue. Je n'aimais pas ce genre de personne qui se considéré comme au dessus des autres. Cette périodes fut très éprouvante pour moi.
A l'âge de quinze ans mon grand-père décéda d'une crise cardiaque à l'âge de quatre vingt six ans, je fus dévastée face à cette tragédie, je perdais celui qui m'avait élevé, mon père, certes il n'était pas celui qui avait contribué à ma naissance, mais c'était lui qui c'était occupé de moi pendant toutes ces années. Je soutenais ma grand-mère du mieux que je pouvais elle qui ne savait même plus quoi faire. Il fallait tout organiser pour ses obsèques. Certes ce n'était pas très réjouissant pour une jeune femme comme moi, mais je me sentais obligée d'aider du mieux que je pouvais, c'était réellement une très grosse épreuve à traverser. Mon père de son côté avait emmené sa « pouf » à l'enterrement. Je ne me suis même pas déplacé pour lui dire bonjour, alors qu'il se trouvait à peine à quelques pas de moi, assis pendant la cérémonie. Je m'étais éloignée de lui, car nous n'avions plus de contact depuis des mois tous les deux, et pour moi ce n'était pas plus mal. Suite à ce drame, je finis par être dépressive, rien n'allait plus, tout s'écroulé, c'était horrible. Je me suis mise à moins manger, même à sauté des repas par moment, et à de plus en plus vomir mes repas, et à force cela finit par être une habitude. Tout ça n'était pas très bon pour moi, et ma perte de poids fut bien trop rapide.

De plus pour ne pas arranger les choses, mes fréquentations n'étaient pas les meilleures qui soient, et très vite les trafiquants de drogue voyaient en moi la cible idéale pour me vendre le saloperie, et très vite je finis par être accro et à consommer toutes sortes de produits pas très recommandable. Il était hors de question pour mon père des qu'il l'apprit après que j'ai fais un malaise à cause de toute la drogue que j'avais pris. Il ne mit pas longtemps à me placer dans un centre de désintoxication. Cette souffrance, cette agonie que l'on peut ressentir, pendant des heures, des jours, de semaines, des mois était vraiment insoutenable, on avait l'impression réellement de mourir lentement, mais en souffrant atrocement. Je suis sortie de cette enfer après quelques mois d'enfermement et d'éloignement totale avec le monde extérieur, en sortant de la ce fut la libération. Je retrouvais le pays, la ville que j'aimais tant. Mais pas pour longtemps il était hors de question que je salisse l'image de la famille, mon père décida de m'envoyé loin de mes proches, de ma famille, de ma vie. C'est pour cela que j'ai atterrie à Harvard à l'âge d'à peine dix huit ans. Ce fut très très dure pour moi. Mon père n'était plus mon père, s'en était finie.