ein erstaunliches Treffen PV Alicia

Il faisait froid sur Cambridge aujourd’hui, alors Lukas pris le soin de mettre son manteau d’hiver Armani et mis ses bottes Uggs. Lukas devait aller au Registrar’s d’Havard pour aller chercher des papiers qui confirmait qu’il était étudiant à temps plein. Ces papiers allaient servir pour renouveler son visa d’étude/travail aux États-Unis. Lukas marchait tranquillement dans la neige, malgré qu’il ne fût pas trop habituer au froid. Il y avait des journées froides à Frankfurt, mais pas trop souvent. De plus, la Nouvelle-Angleterre cette année battait des records de froid et de neige. Lukas n’aimait pas le fait que son nez colle quand il marchait à l’extérieur. Après quelques minutes de marche, il put apercevoir le Grand Hall. Le jeune allemand marcha un peu plus vite, car il était tanné du froid déjà. Quand il entra dans le building, son téléphone sonna. C’était son meilleur ami Fabian. Cela faisait un bail qu’ils ne c’était pas parlé, alors Lukas pris l’appel et s’assis dans les grandes impressionnantes escaliers. Fabian était toujours en Allemagne et c’est pour cela qui ne se parlait pas trop souvent. Il y avait quand même beaucoup de gens dans le Hall, mais chacun se préoccupait de leurs choses. Lukas répondis à Fabian « Oh mein Gott Fabian, Ich bin froh, von dir zu hören.» C’est à ce moment qu’une jeune demoiselle pas très loin commença à le regarder…

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Encore une journée froide, pleine de neige, et j'aimais pas ça, enfin si j'aimais la neige mais je détestais la sensation qui accompagnait cet élément: nez froids, doigts de pieds gelé, et les oreilles, les yeux qui pleure, autant dire que ça sert à rien de se maquiller. Enfin bref j'aime pas quand il fait froid et en plus faut se couvrir et tout, on se retrouve emmitouflé dans ses vêtements c'est juste chiant. Enfin bref, doudoune, bonnet écharpe gants la combinaison parfaite j'étais parti en direction du grand hall pour déposer mon certificat d'absence, bah oui que voulez vous, quand tu t'absente un mois dans une aussi prestigieuse Université qu'est Harvard t'as intérêt à avoir un sacret bon motif pour éviter l'exclusion. D'ailleurs j'étais pas tout à fait remise de cette pseudo grippe, peste ou je sais pas quoi, mais bon il fallait que j'y aille. J'étais donc dans le grand hall y avait tout un tas de monde, ça parlait dans tout les sens et s'était désagréable, j'étais pas agoraphobe loin de la mais, le bruit de tout que tout ces étudiants faisait me donnais mal à la tête. Une fois que j'avais déposé mon papier, j'étais prête à faire demi tour mais d'un coup je me mis à bloquer et voyant un visage qui me semblait familier, mais s'était pas possible enfin on s'était pas vus genre depuis quoi? Presque dix ans maintenant, s'était juste pas possible que ce soit lui, mais je me risquait quand même à m'approchas de lui. "Lukas?"

Lukas parlait au téléphone avec Fabian, quand une jeune demoiselle commença à le regarder. Elle était dingue ou quoi. Quand la jeune femme s’approche, Lukas ouvrit grand les yeux. Cela ne se pouvait pas… Vite, Lukas dit à Fabian qu’il allait le rappeler. Un seul mot sorti de la bouche de Lukas. «Alicia !». Après toute ces années, comment était-il possible de revoir Alicia qui avait été son amie quand il était plus jeune en Allemagne. Lukas n’en croyait pas c’est yeux. Il se rappelait aussi que leur séparation avait été subite et qu’il n’avait jamais eu de nouvelles d’elle après cela. Lukas se leva des escaliers d’où il était assis et marcha vers Alice. Il lui parla en allemand, « Oh mein Gott, je n’en crois pas mes yeux. Que fais-tu ici ? » Toujours étonné et d’une façon automatique, Lukas lui donna un câlin. Il ne comprenait pas ce qui ce passait ici. Le jeune allemand était tellement content qu’il oublia tout ce qu’il avait à faire pour la journée. Il voulait rattraper le temps perdus avec Alicia.

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Aborder des gens s'était pas vraiment mon style enfin surtout de cette façon et dans cette situation, enfin je veux dire des gens au téléphone mais à s'était tellement incroyable, retrouver un ami d'enfance, alors que ça fait genre dix ans qu'on s'est pas vus, mais je pouvais aussi bien me tromper. Sauf que quand le jeune homme raccrocha pour finalement me parler dire simplement mon prénom, aussitôt mon visage passa d'un air étonné à un sourire de stupéfaction plus qu'heureux, s'était bien lui, mais comment s'était possible? J'avais même pas eu le temps de me remettre de cette retrouvaille qu'il me questionnait et me prenais dans ses bras. J'en fis de même, à vrai dire ça faisait quelques temps que j'avais pas eu de démonstration d'affection de ce genre depuis un certain temps. Je m'écarta avec un grand sourire, pour lui répondre. "Mais c'est toi qu'est ce que tu fais ici? Ça va faire cinq ans que je suis là moi." Et rien que voir la façon dont il agissait il était comme un vrai gamin, le gamin que j'avais connus par le passé, certes il avait grandis et bien changé tout comme moi d'ailleurs. "Mais toi? Qu'est ce que tu fais à Harvard?" Question débile s'il est là c'est pour s'inscrire.

Finalement elle avait bien confirmé. C’était Alicia, son amie d’enfance.  Après qu’ils se sont donner un accolade, elle demanda aussi qu’est ce que Lukas fessait ici. Alicia était ici depuis cinq ans. Cela faisait un bail. Cela ne faisait que quelques mois que Lukas fût ici. Il venait tout juste de commencer. «Je suis venir en médecine ici. Je voulais m’éloigner de tout, de mon père surtout. Mais je ne sais pas si je veux continuer la médecine, car ma carrière de mannequin va assez bien ici. Sinon assez de moi toi qu’est ce que tu fous ici depuis cinq années. » Lukas n’en revenait pas du tout. Il était tellement content de la revoir. Leur séparation datait de presque dix années dans des circonstances qui avaient été assez abruptes. «Tu veux aller prendre un café ou tu es pressé ?. J’irai porter mes papiers un autre jour.»

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Il me parlait de sa vie, en quelques mots, en même temps c'est tellement long à rattraper dix an d'une vie, j'en revenais pas que ça faisait aussi longtemps, même si je sais pas je crois que je m'en fichais un peu, enfin, pas que je m'en fichais de le revoir ou quoi mais je sais pas. Je lui fis un grand sourire. "cinq ans en journalisme et histoire, tu sais bien que les musée et moi c'est une grande histoire d'amour..." Je me mis à rire niaisement, "... et journalisme parce que mélanger les deux c'est cool, enfin ça me dis bien, je suis certaine que je pourrai en faire quelques choses." Je réfléchissais un instant est ce que j'avais quelques choses d'autre à faire aujourd'hui.??? Non j'avais encore droit à quelques jours d'arrêt, enfin le droit, comme disait mon père, si tu n'as pas le droit tu prends le gauche, et puis personne ne m'en voudrais de toute façon. " Va pour un café mais pas trop loin, je sors de l'hôpital suite au virus donc bon." Je le regardais avant d'ajouter. "T’inquiète c'est bon je suis pas contagieuse."