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C'est le quatorze février 1898 à Wales, que les membres de la famille Flint m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Joshua Maximilian. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de musique et d'art plastique depuis cinq ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell ou les Mathers. | Joshua M. Flint Looks alot like John O'Callaghan |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle anne et j'ai 23 ans. Je suis québécoise et j'ai connu le forum grâce à ma soeur qui joue Harlow. Le forum est beau et actif alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise John O'Callaghan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par vulture. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
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APRÈS LA BOMBE C’est stupide d’écrire à un journal. Il n’y a que les filles qui font ça. Elles y écrivent tout sur le garçon de qui elles sont follement amoureuses, écrivent son nom dans un cœur, ce genre de connerie. Pourtant, c’est ce que le psychologue m’a dit de faire et qu’il vérifierait si j’y écrivais bien quelque chose à tous les jours. « Joshua, you suffer from an important post-traumatic syndrom. Joshua, you suffer from an important post-traumatic syndrom. These things happen frequently after an accident like the one you’ve lived. Don’t worry, I’ve treated hundreds of patients like you and I can promise you that you’ll be fine in no time. » Oui, je me trouvais à proximité de l’une des bombes. J’ai du faire un séjour à l’hôpital… encore une fois. Je n’ai presqu’aucun souvenir de cet évènement si ce n’est que le bruit de la bombe, la détonation. Enfin, ça et m’être à nouveau réveillé sur un lit avec bandages et aiguilles plantées dans ma peau. C’était comme revivre un cauchemar, pourtant, c’était la vraie vie. « How did you feel when you woke up? Do you remember anything? Maybe a sound or a feeling. » Je soupirai. Jamais il ne saurait pour Abbie. Personne ne saurait jamais. « Both my head and my body were hurting and I was wondering why I survived. Well, how it was possible. I mean, I was close to the bomb. I spent weeks unconscious, I’ve had surgery on certain parts of my body and I didn’t and still don’t understand why I’m not dead. I guess I owe it all to my lucky star. » J’esquissai un sourire. Faux. Totalement faux. Pourtant, avec le temps, j’avais appris à convaincre les gens autour de moi que mes sourires étaient sincères, que je le pensais lorsque je disais que j’allais bien. Et comme tous les autres, Dr Carter y cru. « Alright, can I take a look at your journal? » À contre-cœur, je lui tendis. C’était une partie du travail et j’avais, de mon plein gré, accepter de le faire. Pourquoi? Je n’en ai aucune idée. Probablement parce que je voulais qu’on arrête de me poser milles et unes questions. Je voulais que l’on arrête de me demander si tout allait bien. J’en avais marre. Je n’allais pas bien, mais je n’avais besoin de l’aide de personne. « Who is she? The girl you keep talking about? » Éviter la question ne ferait qu’éveiller les soupçons. « Oh, I don’t talk about anyone specificly. I just write the things that go through my mind. Just rambling. » Il me dévisagea pendant un instant et retourna à sa lecture. « Interesting. Sadly, we don’t have time anymore, but I’ll see you next week. » « Alright. » J’ai repris mon cahier puis suis sorti de ce bureau qui me donnait la nausée. Comme s’il pouvait comprendre. Comme s’il pouvait m’aider. | LOWELL. Étant un étudiant en art, ça n'est qu'une question de logique. La musique et le dessin sont mes deux grandes passions. J'ai d'ailleurs fait partie d'un groupe de musique assez connu alors que j'habitais encore à Wales. I'm married to the music for better or for worse. Cette phrase me décrit assez bien. Pour moi, jouer de la musique ou écrire des chansons, c'est comme une thérapie... enfin au meilleur de ses capacités. Et puis, la musique est ce qui m'a permis de tenir le coup jusqu'ici. C'est le seul truc qui réussi à me faire sentir un peu mieux, à me donner l'envie, pendant quelques minutes, de continuer à vivre. MATHER. À son arrivée ici, Joshua était dans un état relativement stable. Il pouvait vivre sa vie sans trop de difficulté. Toujours émotionellement boulversé à cause du décès d'Abbie, il a cependant sombré à nouveau suite à l'attentat. Se retrouver dans un hopital lui a rappelé ces mauvais souvenirs et depuis, il boit bien plus qu'il ne le devrait. Il est une âme en peine qui vogue à la dérive sans but. Il a d'ailleurs fait un séjour à l'hopital après être entré en coma éthylique. |
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