« Un jour ma fille, tu prendra ma place. » Combien de fois ai-je entendue cette phrase qui sonnait toujours si diabolique à mes oreilles ? Petite c'était mon rêve, m'asseoir dans le fauteuil de papa, dans son immense bureau. Les journées où mon père m'apportait au bureau étaient les plus mémorables de mon enfance, il aimait passer du temps de qualité avec moi à son bureau... Et moi, j'étais tellement en manque de présence paternelle qu'au lieu de m'en fâchée je sautais sur les occasions pour vivre une journée complice avec lui. Pathétique. Qu'est-ce qu'on ne ferait pas lorsqu'on à 10 ans pour que son père nous remarque hein ? Quand j'étais jeune je me disais que mon père profitait de nos moments père-fille-au-bureau pour passer du temps avec moi, c'était le cas hein, mais maintenant je sais que c'était pour impressionné le galerie. Aujourd'hui je sais que mon père jouait la carte du père présent, mais qui travaillait fort. Foutaise, maintenant il n'existe plus une seule personne saine d'esprit qui pense réellement que lorsqu'on dirige une compagnie, on peut AUSSI connaître les membres de notre famille. Je le sais car, en faites, mon père m'envoie toujours une carte d'anniversaire le 17 février... Le jour de l'anniversaire de ma soeur. Du coup on repassera.
Ne vous en faites pas pour moi tout le monde, je n'ai pas eue une enfance malheureuse à me mutilé dans un coin, je n'ai pas souffert d'anorexie pour attirée l'attention de mes parents. Si mon père ne se donnait pas la peine de nous prévenir de sa présence ou non au repas du soir, ma mère elle en faisait un point d'honneur. Je me suis toujours demander ; qu'est-ce qu'une femme comme elle pouvait bien trouver d'attirante amoureusement parlant, à mon père ? Ma mère était le stéréotype même de la mère de campagne qui faisait des bons petits plats pour les voisins. Chaque soir, durant mon enfance du moins, nous avions un repas concoqueté par ma mère. C'était le jour et la nuit entre eux. Un jour, peut-être, je demanderais à ma mère pourquoi elle aimait mon père. En plus il n'était même pas fidèle comme mari ! Et elle le savait, en tout cas, si moi à douze ans je le savais, elle à trente-six devait aussi le savoir. C'était tellement... Je veux dire, pourquoi faire ça ? C'est tellement... Bon, je pense arrêter de dire le mot ''tellement''. Donc c'est ça. Mon père voulait qu'un jour je reprenne sa place dans la compagnie. Cohen Institut. Une compagnie reconnue à travers le mode pour l'innovation de la technologie. Oh non, je ne parle pas ici de Ipad, IPipi et IToutCeQuiExiste. Je parle d'avancement technologique de sécurité, maison ou commercial. Ce n'est même pas moi le petit génie de la famille en plus, c'est mon frère Brody. Moi ce que j'ai toujours voulue faire c'était être traductrice. Faut croire que ce que je dis à mon père lui rentre par une oreille et lui sort par l'autre.
Comme vous avez lu, j'ai un frère et une soeur. Je suis l'aînée, moi c'est Lyla, j'ai une frère qui me suit de 13 mois, Brody qui lui étudie à Yale et j'ai pour terminée une soeur nommée Alex qui elle, étudie à Brown. Nous nous aimons tous, puisqu'entre Brody et Alex il y à aussi treize mois. Ma maman aime faire les choses rapprocher, en moins de trois ans elle à fait trois bébés. Impressionnant. J'aime mon frère et ma soeur, mais je suis heureuse qu'ils n'aillent pas voulu venir à Harvard. De toute manière c'est dans notre ADN. Depuis notre naissance notre père nous parle d'une université en particulier pour chacun de nous. Si moi j'ai déçue mon père en choississant les langues et le théâtre, alors qu'il prévoyait comptabilité et gestion, Brody et Alex ont suivit le bon chemin. Je suis fière d'eux, oui d'accord ils ne sont pas du genre à aller contre courant et jouer la carte de la provocation, mais ils ne sont pas comme ça et j'y peux rien. Je les aimes quand même beaucoup.
Jusqu'à maintenant, ma vie est assez ennuyeuse je le conçois. J'ai réellement commencer à vivre lorsque je suis arrivée à Harvard. L'Université par excellence, la meilleure des meilleures ( sans rancune Yale et Brown ). Là-bas je me suis découvert en tant qu'individu. J'ai découvert que j'étais une femme forte, au caractère imposant. Je suis tout de même polie, je n'ai jamais crue qu'avoir un fort caractère signifiait que nous étions des bitchs finies. Je suis simplement capable de m'assumer entièrement, je suis ce que je suis et c'est tout. J'ai aussi découvert une facette de moi que je n'ai pas appréciée... Je suis, malgré comme, identique à mon père ; la fin justifie les moyens. Même si les moyens est de profité de la naïveté d'une enfant de dix ans. Je me suis aussi ouvert les yeux sur un côté de moi un peu plus... fou. J'adorais les fêtes, je ne les fréquentais pas quotidiennement, j'ai tout de même des études à faire et je suis une élève studieuse, mais lorsque je me présentais aux fêtes j'étais très heureuse. Alors que je m'étais toujours crue comme une personne timide, j'ai pu voir qu'en fait j'étais très sociale et que j'aimais sympathisée avec le monde. Oui, décidemment, Harvard ma permis de voir qui j'étais réellement.
Puis un jour, sans crier gare l'amour est venue frapper à ma porte. Quand je dis qu'Harvard nous donne des ailes ! Dès que je l'ai vue j'ai compris qu'il marquerait ma vie à tout jamais. Est-ce ma moitié ? Je ne le sais toujours pas aujourd'hui, mais je sais que l'amour que j'ai pour lui est bien réelle, c'est dévorant... Mais commençons par le début ! J'ai croisé Arthur Connor tout à fait par hasard. Cela pris très peu de temps avant que nous formions un couple. J'avais eu un petit ami au lycée, je l'ai quittée parce que bon, je voulais rentré à Harvard les mains libres et je suis tombé sur ce garçon au coeur brisé. Je savais qu'il sortait d'une relation difficile, je n'en ai pas demander beaucoup plus. Cela ne m'intéressais pas. C'était lui qui m'intéressais, la personne qu'il était. Ensemble nous avons vécus une histoire d'amour remarquable. Nous étions beaux et je suis certaine que les gens nous enviaient. Nous n'éprouvions aucune gêne à s'embrasser en public, se tenir la main, se coller... C'était naturelle pour nous. Je vivais réellement une belle histoire d'amour digne des meilleurs romans - ou les plus ennuyants puisqu'il n'y avait jamais de conflit -. Nous étions sur la même longueur d'onde, nous vibrions en même temps, sur tout. J'avais trouver le gros lot avec lui. Je l'aimais beaucoup. J'ignorais si je l'aimais d'un amour véritable ou simplement d'un amour collégiale. Encore aujourd'hui je me pose la question, mais l'amour reste de l'amour. Pourtant, après deux belles années remplies d'émotions les plus belles les unes que les autres, il est arrivé quelque chose.
J'étais sortie, il y avait une fête. J'adorais les fêtes et Arthur le savait. En tout cas, j'aimais les fêtes à thème et le thème me plaisait. Avec Arthur nous avions une confiance total l'un envers l'autre et donc il n'à pas eu de problème à ce que j'y aille seule, accompagnée des copines. Pendant la soirée mes amies m'ont abandonnées pour aller draguer des garçons. J'étais en couple, ce n'était pas dans mes plans de matchs. Puis j'ignore comment c'est arriver je me suis mise à discuté avec un garçon, il était beau et gentil. La fête commença à devenir lourde et nous sommes parties ensemble. Je me sentais bien avec lui, il était si drôle. Mes rires n'étaient pas forcés, au contraire même. Il ma conduite vers un petit champs tout mignon et nous sommes allés discutés sous un arbre, tout en regardant les étoiles. Je passais réellement un moment formidable en sa compagnie. Tellement formidable que sans comprendre, ni lui ni moi, nous nous sommes mis à nous embrasser. Je ressentais une vague de frisson m'envahir le corps, jamais Arthur ne m'avait procuré ce sentiment. Arthur... Je ne pensais pas du tout à lui et de fil en aiguille, le garçon et moi avons finis par faire l'amour. Les heures suivant je suis restée avec lui et nous sommes reparties pour l'Université. C'est lorsque je me suis retrouvée en face d'Arthur que j'ai réalisé l'impact des conséquences. Je n'ai pas pu me retenir et j'ai murmurer. « Je t'ai trompée. ». J'ai quittée la pièce et nous ne nous sommes jamais reparler depuis.
Les années se sont écoulés, entre temps j'ai fréquenter le garçon en question, celui avec qui j'ai tromper Arthur. Malheureusement, malgré nos moments plaisant ensemble je n'arrivais pas à me laisser complètement allée. J'éprouvais trop de remord face à Arthur, je l'avais tellement aimé ce garçon-là. Qu'avait-il le nouveau copain pour que je veuille abandonnée tout ça ? Ma relation avec lui dura quelques mois, presqu'un an en faite. Mais une année de faux sourire et de faux plaisir. C'est lui me plaqua, il savait au fond de lui que mon coeur n'était pas tout à fait là. « Lorsque tu seras sûre de quelque chose tu viendras Lyla. ». J'ai donc décidée après quelques mois de célibat de retenter ma chance auprès d'Arthur... Enfin, c'était sans compté la présence de Cory, l'ex d'Arthur... J'ignore ce que l'avenir me réserve.... Qui vivra saura.