▲ Tout mais pas ça. Feat Holly.

Après une heure de cours plutôt intéressant sur l'histoire antique, Charlie avait à présent une pause de deux heures, lui permettant d'aller manger mais aussi se détendre à la Winthrop House. Sortant de la salle, il entendit son téléphone biper, découvrant alors un message de son meilleur ami Avery. A cet instant, leur discussion à Las Vegas, lui revint en mémoire. Comment cela avait-il pu se produire ? Il pensait bien sûr au fait qu'il se soit à présent marié, et en plus de cela, en couple avec elle. Cette Holly. Dire qu'au début, il l'avait apprécié. Qu'ils avaient même déconné ensemble. Mais elle, elle était finalement comme toute les autres, à s'immiscer dans la vie d'un homme en prétextant te comprendre, pour finir meilleure amie et enfin dans ton lit. Charlie avait les nerfs sans vraiment comprendre. Peut être était-il un peu trop possessif envers son meilleur ami, qu'il adorait par-dessus tout ? Peut être. Il espérait juste que cela ne dur pas trop et qu'elle ne lui prenne pas toutes ses soirées tant qu'à faire. Une fois en couple, les femmes ont cette tendance affreuse de passer toutes leurs soirées avec leurs mecs, sans laisser le temps à ceux-ci de pouvoir sortir avec ses amis. Combien de fois, Charlie avait connut ce genre de coup foireux avec les copines d'Avery ? Combien, hein ? La colère montait en lui, et étant impulsif de nature, il ne tenait plus sur place. Charlie ressentait le besoin de faire part de ce qu'il ressentait au problème en question. D'un coup de tête, il demanda à son amie où Holly pouvait bien être, prétextant l'envie de parler avec elle pour lui faire part de la joie pour eux-deux. Une fois la réponse, en vue, il partit dans la direction indiqué sans réfléchir, n'écoutant que ses pulsions incontrôlables. Débarquant dans la salle même, ou un cours se trouvait puisqu'elle y était. Charlie l'appela d'un ton neutre en lui demandant si possible, de se dépêcher. En une seul seconde, toutes les personnes présentes avaient dérivé leur regard sur lui. Légèrement gêné, il regagna la sortie. Le jeune Wilcox l'attendait alors en glissant ses mains dans ses poches. Il comptait bien lui dire ce qu'il avait sur le coeur, sans retenue, désormais.

Je pouvais enfin retourner en cours ! C’était comme une libération après avoir été enfermée pendant deux semaines dans cette putain de quarantaine à l’hôpital. Et en plus de ça, nous avions du rester pendant un semaine chez nous en attendant qu’on aille mieux, ça avait été lé truc de trop. Je ne pouvais pas rester chez moi à ne rien faire, c’était juste impossible. Alors le retour en cours avait été une bénédiction. Enfin… je disais ça parce que mes cours me passionnaient, je ne pensais pas que c’était le cas pour tout le monde vu la tronche des étudiants dans les couloirs de la fac ce jour-là. Assise à une place au fond de la classe, je prenais mon cours d’histoire de l’art au dix neuvième siècle avec beaucoup d’attention, écoutant le prof qui semblait tout autant passionné que moi parce que qu’il disait. Cela faisait environ une heure et demi que nous étions en cours quand tout à coup, quelqu’un toqua à la porte. Je tournais la tête vers la porte qui s’ouvrit, fronçant légèrement les sourcils en découvrant Charlie qui me réclamait. Pourquoi était-il ici ? La première chose qui me vint à l’esprit en le voyant et me réclamant, c’était qu’il y avait un problème. Il s’était passé quelque chose ? Peut-être avec Avery ? C’était la seule relation que nous avions en commun. Me raclant la gorge, je lançais un regard désolé au professeur et je me levais pour sortir de la salle de cours et je me retrouvais donc dans le couloir avec Charlie, croisant les bras au niveau de ma poitrine en sentant l’air frais du couloir. « Qu’est-ce qui se passe ? », murmurais-je, légèrement angoissée. « Il est arrivé quelque chose à quelqu’un ? Il… il est arrivé quelque chose à Avery ? » Ça me faisait peur qu’il vienne me chercher en plein milieu d’un cours, pour moi, c’était forcément quelque chose de grave.

En voyant enfin la jolie brune sortir de son cours, à priori complètement paniqué, ce qu'il pouvait comprendre vu ce qu'il venait de faire, Charlie la regardait d'un ton pour le moment neutre. Il savait qu'il allait passer pour un détraqué mais il se devait de lui faire part du fond de sa pensé. Il avait horreur qu'on touche à Avery, sachant qu'au niveau de l'amour, il était plutôt fragile, la preuve, il venait de se marier et en plus, le pompon, se mettre en couple avec la personne qu'il avait sous ses yeux. Le jeune Wilcox ne savait pas vraiment les attentions d'Holly, mais quoi quelles soit, il n'avait définitivement pas confiance en elle. Bien qu'elle soit une amie à la base. Il tenait à Avery, et il ne comptait pas que quelqu'un d'autre lui brise le cœur, ou ce genre de pacotille par l'amour. « Non, il est rien arrivé de grave, du moins, c'est pas ce que je peux en dire de votre couple. Tu sais Holly, je t'aime bien, vraiment, mais tu devrai savoir que j'aime pas vraiment qu'on touche à mon meilleure amie. Vous étiez des meilleurs amis et tout à coup, ça a changé, comme ça. J'arrive pas vraiment à y croire. » Disait-il en fronçant légèrement les sourcils. Son ton n'était pas hargneux, mais seulement froid. Il s'inquiétait seulement pour son ami. « Tu comprendra donc, que je ne sois pas du tout pour votre couple. » Affirma-t-il avec toute franchise. S'il se souvenait bien, Holly avait vu son comportement avec Ace, quand elle était avec Avery. Elle n'avait donc pas vraiment d'illusion à ce faire, le jeune Winthrop allait se comporter de la même manière.  

C’était clair et net dans mon esprit : Si Charlie était venu me chercher en plein milieu d’un cours, c’était que quelque chose clochait. C’est vrai quoi, pour n’importe quelle personne saine d’esprit, on vient déranger quelqu’un en plein cours quand quelque chose de grave était arrivé. Et le fait que ça soit Charlie qui vienne me voir, ça m’inquiétait d’autant plus qu’à part Avery, on avait personne d’autre en commun. Du moins, pas à ma connaissance. Et puis, je pouvais lire presque une inquiétude sur son visage qui me gênait et qui me faisait encore plus peur. Je lui demandais donc ce qui se passait et je lui posais directement la question fatale : qu’est-ce qui se passait et surtout, est-ce que c’était grave ? « Non, il est rien arrivé de grave, du moins, c'est pas ce que je peux en dire de votre couple. Tu sais Holly, je t'aime bien, vraiment, mais tu devrai savoir que j'aime pas vraiment qu'on touche à mon meilleur ami. Vous étiez des meilleurs amis et tout à coup, ça a changé, comme ça. J'arrive pas vraiment à y croire. » Je fronçais les sourcils sans le quitter du regard, décroisant les bras à ma poitrine pour poser mes mains sur mes hanches. Il était sérieux là ? « Attends… si tu veux qu’Avery arrête de voir des filles, faut que tu l’emmènes dans un couvant mon vieux ! » Le pire, c’était qu’il était sérieux. Je savais comment il se comportait avec Ace et je redoutais maintenant qu’il fasse la même chose avec moi. « Tu comprendra donc, que je ne sois pas du tout pour votre couple. » J’arquais un sourcil en secouant la tête, « Parce que tu crois qu’on a besoin de ta bénédiction ? » J’avais pris un ton moqueur. Très, très moqueur. « T’inquiète pas, j’vais pas te le piquer ton meilleur ami… ça change même absolument rien ! » Je m’approchais de lui et j’attrapais la peau de sa joue du bout des doigts comme une grand-mère ferait avec son petit enfant, « J’vais pas te le voler ton amoureux Charlie ! », lançais-je sur un ton toujours aussi moqueur.

Son ton ne plaisait pas du tout au jeune Wilcox qui, à travers son regard, le montrait grandement. Elle pouvait bien se foutre de sa gueule mais en attendant, il était bien décidé à ne pas lâcher l'affaire, croire le contraire serait mal le connaître. Remontant ses bras, afin qu'ils atterrissent sur son torse et de manière croisé, il la regardait avec franchise et sans la moindre honte. Il n'avait pas confiance en elle, et puisqu'il tenait à son meilleur ami, il se devait de le protéger envers les filles. Surtout envers elle. Il s'en souvient encore de ce jour, où Avery lui avait apprit la fameuse nouvelle, celle qu'il s'était marié. A cet instant Charlie sentait qu'il gâchait sa vie. Il était jeune, pourquoi arrêter de profiter si tôt ? Surtout pour une fille qui n'en valait peut être pas la peine. Et ça, il avait connue. Sûrement une des raisons pour laquelle il essayait que son meilleur ami ne commette pas la même erreur que lui. « Attends… si tu veux qu’Avery arrête de voir des filles, faut que tu l’emmènes dans un couvant mon vieux ! » A ses propos, le jeune Winthrop leva les yeux vers le plafond d'un air qui se voulait désespéré. Ce n'était pas son attention, mais t'en qu'il n'avait pas évalué la fille en question, Charlie restait septique. D'autant plus, qu'il ne l'a connaissait pas réellement, bien qu'ils aient parlés à plusieurs reprises et qu'ils s'entendant bien. « Arrête, si tu te crois drôle, ça ne l'est as du tout. Ce n'est pas ce que je veux ? J'ai juste aucune confiance en toi. T'es une femme, t'es comme toutes les autres, au fond. Et je ne veux pas que tu lui fasse du mal. » Il parlait toujours avec une tel  franchise, qu'il s’étonnait lui même. Ace n'avait pas eu le même discours puisqu'il ne l'a connaissait pas. « Parce que tu crois qu’on a besoin de ta bénédiction ? » Celle-là, il fallait s'y attendre. Bien sûr que sa bénédiction ne comptait pas, mais ses conseils qu'ils donnaient auprès de son meilleur ami, oui, et il ne comptait pas s'en priver. Il préféra alors se taire sur ce sujet, en gardant en tête cette idée. « T’inquiète pas, j’vais pas te le piquer ton meilleur ami… ça change même absolument rien ! »  Son ton moqueur l'insupportait de plus en plus. Et c'est seulement à sa dernière réplique, qu'il sentait son impulsivité monter de nouveau. Elle voulait jouer ? Se moquer ? Elle ne perdait rien pour attendre. « Tu verra bien qui aura raison face à l'autre, Holly. Tu peux te moquer, mais au final, j'ai tendance à être déterminé et à atteindre mes objectifs. On verra bien. »  

Cette façon que Charlie avait toujours eu d’épier Ace jusqu’à la rendre folle m’avait toujours fait halluciner. Je dois avouer que sur le coup, ça m’avait bien fait rire parce que c’était comme s’il était jaloux de moi. Jaloux parce que j’étais avec lui. Je pouvais le comprendre… enfin non. Je pouvais comprendre qu’il veuille le protéger, après tout, c’était son meilleur ami et c’était exactement ce que j’aurais fait ave sa nouvelle copine. Aller la menacer en lui disant que si elle brisait le cœur de mon meilleur ami, elle aurait à faire à voir. Mais le truc, c’était que Charlie me connaissait. Et j’étais persuadée qu’il m’appréciait parce qu’on rigolait bien quand nous étions tous les trois avec Avery. C’était pour moi important que je sois amie avec son meilleur ami. Alors sa réaction me dépassait. « Arrête, si tu te crois drôle, ça ne l'est as du tout. Ce n'est pas ce que je veux ? J'ai juste aucune confiance en toi. T'es une femme, t'es comme toutes les autres, au fond. Et je ne veux pas que tu lui fasse du mal. » J’essayais de prendre ça à la légère et d’en rire, mais intérieurement, je commençais à bouillonner. Surtout que quoi que je fasse pour détendre l’atmosphère, il rendait les choses encore pire. « Tu verra bien qui aura raison face à l'autre, Holly. Tu peux te moquer, mais au final, j'ai tendance à être déterminé et à atteindre mes objectifs. On verra bien. »  Je fronçais les sourcils en le regardant. Sérieusement ? C’était le truc de trop. « Attends… tu serais prêt à tout faire pour nous séparer ? Quitte à ce que ça le rende malheureux ? Et à ce que ça me rende malheureuse ? Je pensais qu’on était amis Charlie ! » Je n’avais pas la prétention de penser que ça le rendrait méga malheureux qu’on se sépare. Mais le truc, c’était que dans cette relation, on ne jouait pas que notre couple. Notre amitié aussi. Et je n’étais pas prête à le perdre, j’avais trop besoin de lui. « Tu te prends pour qui au juste ? », demandais-je sèchement en m’approchant de lui. Là, il m’avait mise trèèèès en colère. « Si y’a bien une personne qui doit avoir peur qu’on brise le cœur de l’autre, c’est moi. D’abord j’ai du me battre contre Maëlys qui lui courait après, ensuite j’oublie pas le fait qu’il ait trompé son ex petite amie avec ma meilleure amie qui d’ailleurs a disparue dans la nature… tu crois pas que j’ai peur de me faire briser le cœur ? » Je le pointais du doigt en ajoutant, « J’te préviens… joue pas à ce petit jeu avec moi Charlie. J’suis pas Ace, j’me laisse pas faire et si tu veux pas qu’Avery ait à choisir entre nous deux, t’as intérêt à fermer ton clapet et à nous laisser tranquille, okay ? J’suis sa meilleure amie, j’veux que son bonheur alors t’as pas à t’inquiéter pour ça. »

« Attends… tu serais prêt à tout faire pour nous séparer ? Quitte à ce que ça le rende malheureux ? Et à ce que ça me rende malheureuse ? Je pensais qu’on était amis Charlie ! » Non, pas jusqu'a ce que cela rende Avery malheureux, peut être pas. Ou peut être que si. En fait, Charlie n'en savait rien, mais il était sur d'une chose, c'était que leur couple était une mauvaise idée, très mauvaise. Et oui, il l'a considérait comme un amie, du moins, jusqu'à ce qu'ils apprennent qu'ils se soient mariés et en plus qu'ils soient ensemble. Il n'arrivait pas à comprendre qu'une meilleure amie puisse passé de l'autre côté. Qu'elle puisse passé d'une forte amitié à un amour passionnelle. Si au Spring Break ses deux là se retrouvaient toujours collé ensemble, il voyait déjà le tableau. Charlie allait devoir les séparer pour passer un peu de temps avec son meilleur ami. « Tu te prends pour qui au juste ? » Cette question, l'agaça au plus haut point. Il se prenait un peu pour le meilleur ami de son copain. C'était normal qu'il veuille le protéger, et bien que cela passe par une engueulade avec sa petite amie, il le ferait. Sans problème. « Si y’a bien une personne qui doit avoir peur qu’on brise le cœur de l’autre, c’est moi. D’abord j’ai du me battre contre Maëlys qui lui courait après, ensuite j’oublie pas le fait qu’il ait trompé son ex petite amie avec ma meilleure amie qui d’ailleurs a disparue dans la nature… tu crois pas que j’ai peur de me faire briser le cœur ? »Dit-elle en le pointant du doigt visiblement très remonté par ses propres propos. D'une certaine manière, elle n'avait pas tord. Elle avait plus à perdre, vu le passé plutôt sulfureux d'Avery, mais Charlie ne s'en faisait toujours pas pour elle. Têtue comme une mule, il défendait son pote. « J’te préviens… joue pas à ce petit jeu avec moi Charlie. J’suis pas Ace, j’me laisse pas faire et si tu veux pas qu’Avery ait à choisir entre nous deux, t’as intérêt à fermer ton clapet et à nous laisser tranquille, okay ? J’suis sa meilleure amie, j’veux que son bonheur alors t’as pas à t’inquiéter pour ça. » Là, elle cherchait véritablement la merde. La jeune femme se mettait à présent à le menacer et cela ne lui convenait pas, loin de là. Il poussa sa main d'un revers de la sienne afin qu'elle ne le pointe plus aussi vulgairement du doigt. « Tu crois vraiment que je vais me la fermer ? Tu me crois capable de faire ça ? Mais tu me connais très mal, je ne vais certainement pas me laisser faire par toi. Et demande lui de choisir entre toi et moi, mais si il te choisit. Un jour, ça se finira et là, qui aura raison ? Et Avery; vers qui il se retournera ? Alors vas-y demande lui, et fais moi rire. Et si je m'inquiète. J'ai connus des histoires, et j'ai de très bon exemple qui prouve qu'être en couple est une belle connerie. Alors, non, je pense que je peux m’inquiéter. Je te le re-dis, je n'ai pas confiance en toi. Ça semble clair, non ? » Finit-il par répondre en haussant légèrement la voix. La colère commençait à monté, et le jeune Wilcox bouillonnait intérieurement.

J’étais stupéfaite, mais aussi déçue. Vraiment très déçue. Charlie et moi nous connaissions, et il nous était souvent arrivé de bien rire ensemble, surtout quand nous étions tous les trois avec Avery. Nous avions tous les deux les mêmes envies : qu’Avery soit heureux. Il avait eu une année extrêmement difficile avec la mort de plus de la moitié de sa famille. Mais je ne comprenais pas en quoi le fait que nous sortions ensemble changeait quoi que ce soit. Je n’étais pas le genre de fille à avoir toujours un œil sur son copain,  à toujours vouloir l’avoir avec soit. Rien ne changeait au fond. Le truc, c’était juste qu’il y avait une certaine ambiguïté entre lui et moi qu’il n’y avait pas lorsque nous étions seulement meilleurs amis. Mais ce qui me tuait, c’était qu’il me menaçait d’essayer de briser notre couple. Forcément, je voyais rouge et je commençais à me mettre en colère. Très, très en colère même. Charlie poussa ma main et je fronçais les sourcils une fois que mon discours fut terminé. « Tu crois vraiment que je vais me la fermer ? Tu me crois capable de faire ça ? Mais tu me connais très mal, je ne vais certainement pas me laisser faire par toi. Et demande lui de choisir entre toi et moi, mais si il te choisit. Un jour, ça se finira et là, qui aura raison ? Et Avery; vers qui il se retournera ? Alors vas-y demande lui, et fais moi rire. Et si je m'inquiète. J'ai connus des histoires, et j'ai de très bon exemple qui prouve qu'être en couple est une belle connerie. Alors, non, je pense que je peux m’inquiéter. Je te le re-dis, je n'ai pas confiance en toi. Ça semble clair, non ? » Je déglutis en le regardant, et d’un coup, sans prévenir, je le giflais. D’un coup sec. Bim. Dans sa tronche. « Va te faire foutre, Charlie. », lançais-je avant de tourner les talons pour retourner dans ma salle de classe. Je me tournais vers lui alors que j’avais ma main sur la poignée, « Viens encore me faire chier en cours pour des conneries et là, tu pourras t’inquiéter. » J’ouvrais la porte et je rentrais dans la salle de cours. Non mais j’le crois pas !