Après une nuit de folie [kassio]

je finissais de faire mes cartons car je quittait la résidence pour emménager avec Lilly. J'avais encore plusieurs truc à faire. Alors je sort de ma chambre d'étudiant puis tombe nez à nez avec kassio. Elle fit demi tour en me voyant alors je cours vers elle lui attrapant sa main puis me positionne face à elle. tu as bientôt finit de m'éviter? Tu ne répond plus â mes texto ... Si tu regrette notre petit.... Écart ..... Très bien on oublis ça même si j'ai du mal à oublier cette fameuse nuit .. je me dit alors que peut être elle avait eu ce qu'elle désirait et donc m'évite pour ne pas devoir se justifier. Je lui lâche alors la main puis soupire. j'ai été mauvais? Tu es déçu? .... Pas moi et je regrette pas mais si tu veux pas en parler c'est ok. je lui sourie elle était belle mon amie et encore plus complètement nue, je me rapproche d'elle et lui dit à l'oreille par contre j'ai du mal à oublier ton corps , tes seins... je ferme alors les yeux faisant semblant de m'imaginer Kassio nue en face de moi avec un sourir pervers.

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Je n'avais rien de prévu aujourd'hui. J'en profitais alors pour revoir mes cours et travailler un peu sur la médecine. Après tout, j'avais intégré Harvard pour réussir mes études, et je ne pouvais me permettre de rater mon année. Ce n'était pas gratuit tout ça, et je bossais tellement pour payer tous les frais que je ne pouvais me permettre un écart important. Mais l'envie de manger me prenait soudainement. Ca faisait déjà plus d'une heure que je m'imaginais entrain de manger un chocolat et n'avait faut que l'imaginer jusqu'à enfin décider de m'accorder une pause et de refermer mes cours. J'étais presque entrain de baver à déjà l'imaginer fondre dans ma bouche. Sans attendre, je me levais de mon lit, et marchais dans le couloir en direction de la cousine. Quelqu'un sortit subitement de sa chambre. Voyant que c'était Louis, je fis aussi vite demi-tour et revenais sur mes pars, espérant qu'il ne m'ait pas reconnu. Tomber sur lui, c'était tout sauf ce que je voulais. Je marchais à toute allure, espérant atteindre ma chambre avant qu'il ne m'atteigne mais il avait été plus rapide que moi. Il intercepta mon bras pour me stopper, m'obligeant à lui faire face. « Tu as bientôt fini de m'éviter? Tu ne répond plus à mes textos... Si tu regrettes notre petit... écart ... Très bien on oublie ça même si j'ai du mal à oublier cette fameuse nuit... » Il ne me laissa même pas le temps de lui répondre qu'il ajoutais d'autres propos: « J'ai été mauvais? Tu es déçu? Pas moi et je regrette pas mais si tu veux pas en parler c'est ok. » Non, je ne voulais pas en parler. La raison pour laquelle je l'évitais depuis ce soir-là. Il s'approchait ensuite de mon oreille pour y glisser quelques mots. « Par contre j'ai du mal à oublier ton corps , tes seins... » D'un geste de la pain, je le poussais à l'épaule gentiment. « Ne rends pas les choses plus compliquées. » finis-je enfin par placer. « Ce n'est pas question de regretter ou que tu as été mauvais, j'ai juste pas envie d'en parler... » Je tentais du mieux que je pouvais d'éviter à lui dire la vraie raison pour laquelle je le fuyais. Je n'avais pas envie de parler de ça avec lui, même si je savais qu'il avait le droit de savoir.

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je regarde alors la jeune femme elle avait pas l'aire contente à vrai dire elle regrettait j'en était sur mais ne voulait pas l'avouer. Enfin bref elle voulait pas en parler c'est son choix. Elle me bouscula ceci me fit rire. quoi?? Ok bon si tu préfère ... J'ai simulé voilà je t'es trouvé nul au pieux... j'en pensait pas un mot c'était même tout le contraire mais j'adorais faire chier mon monde et puis j'avais envie de voir un sourire sur sa jolie frimousse. pourquoi me force tu a dire des choses que je ne pense pas...ok ok j'en parle plus. je devais changer de conversation mais j'aimais pas la voir faire la gueule en plus je suis carrément trop curieux pour rester la sans savoir. dit moi alors ce qu'il ne va pas? T'as tes foufes? et bien quoi? Généralement lorsqu'une fille est de mauvaise humeur c'est soit elle s'est fait larguer soit elle a ses règles. t'as envie d'en parler ? Je sais que je fait l'idiot la plupart du temps mais j'arrive à rester sérieux quand il le faut. dis je en ayant un aire bien plus sérieux que la seconde d'avant.

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Je maudissais définitivement ce petit creux que j'avais à l'estomac. J'étais sortir de ma chambre au mauvais moment, me retrouvant nez à nez avec Louis que j'essayais d'éviter depuis plus d'une semaine. J'avais beau faire demi-tour et marcher à toute allure qu'il m'avait rattrapé avant même que je n'atteigne le pallier de ma porte. J'étais prise au piège, obligée de lui faire face. Aucune issue, à part la vérité. Il voulait tout naturellement savoir ce qu'il se passait, bien que j'aurais préféré qu'il ne me pose pas la question. En fait mon comportement de fuite avec lui l'avait plus alerté qu'autre chose. « Quoi? Ok bon si tu préfères j'ai simulé, voilà, je t'ai trouvé nulle au pieu... Pourquoi me forces-tu a dire des choses que je ne pense pas... Okok, j'en parle plus! Dis-moi alors ce qu'il ne va pas? T'as tes foufes? » Je relevais très vite le regard vers lui, presque gênée de le croiser. Pourtant je rigolais intérieurement de sa question. Directement parce qu'une fille ne veut pas parler c'est à cause de son mauvais cycle. Je secouais alors la tête pour contredire ce qu'il disait.« Ca n'a rien avoir avec notre performance Louis. J'ai rien à dire sur ça, c'est juste que... » Le problème qui me tracassait avait du mal à se libérer et résonner dans l'air. Il m'avait coupé en argumentant son envie de savoir le malaise. s la question. En fait mon comportement de fuite avec lui l'avait plus alerté qu'autre chose. « T'as envie d'en parler? Je sais que je fait l'idiot la plupart du temps mais j'arrive à rester sérieux quand il le faut. » Je soupirais une bonne fois. Il avait le droit de le savoir, et ça faisait depuis bien trop longtemps que je traînais ça sur ma conscience. « On aurait pas du faire ça l'autre soir Louis. Il y a quelque chose que tu ne sais pas... » Je restais mystérieuse sur le pourquoi du comment, avant de prendre mon courage à deux mains et de lui dire. « Ma mère a retrouvé quelqu'un depuis déjà un petit moment et... faut croire que c'est ton père. » Voilà, c'était fait, c'était dit. Je le lui avais caché, car je savais sa méfiance vis à vis de lui.

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